Jardin à orvets

J’aime la biodiversité. Qu’elle soit sauvage ou cultivée. J’éprouve une joie infinie à être entouré d’une diversité de formes de vie. Et comme je déteste les pelouses uniformes, j’essaie d’entretenir la mienne en fauchant le plus rarement possible afin que les différentes plantes qui la composent aient largement le temps de produire leurs graines. Ainsi, celle qui est derrière la maison n’est fauchée que deux fois dans l’année, ce qui lui permet d’avoir le temps de fleurir au printemps.

Les insectes viennent y butiner nombreux mais je m’aperçois que malgré mes efforts, ils régressent au fil des années. Mais le problème est beaucoup plus général. Avez-vous remarqué aussi leur diminution progressive au fil des années ?

J’ai l’habitude de cultiver des massifs de fleurs au milieu de la pelouse et de laisser s’installer le fouillis au pied des fleurs. Cela procure une zone où de nombreux animaux, escargots et autres, peuvent trouver refuge. Le pied de ces massifs garde toujours une certaine fraîcheur et une certaine humidité, même en plein été, et j’y vois régulièrement la couleuvre à collier.

Mais ma plus grande satisfaction est d’y rencontrer souvent l’orvet. J’avais rarement eu l’occasion de l’admirer jusque là, mais depuis que j’habite dans cette maison (il y a maintenant sept ans), les observations de l’orvet se comptent par dizaines. Actuellement je vois ce reptile presque toutes les semaines. Quand je sais que je vais avoir du monde à la maison, j’en capture un, l’installe au fond d’un seau, puis le relâche à l’endroit exact où il a été capturé dès que mes amis l’ont vu de près. Le but de l’opération : faire aimer ce monde méconnu des reptiles et faire en sorte que la crainte injustifiée de ces animaux disparaisse. Mais je sens que ce n’est pas facile. Joëlle n’a pas trop envie de toucher ces petites bêtes. Et vous ?

Petite devinette (8)

Allez, est-ce que vous pouvez deviner de qui est cette phrase, en jouant le jeu, c’est à dire sans aller chercher la réponse avec Google ?
« Aujourd’hui, comme rarement dans l’histoire de la pensée universelle politique, la force de la pensée environnementaliste apparaît comme un mouvement qui peut offrir une alternative sérieuse de gouvernance face à l’échec dramatique de la prédominance des politiques néo libérales. »

1966/1971, ma période rock préférée (avant-propos)

La musique de la fin des années 60 m’a énormément marqué et j’envisage depuis longtemps de lui consacrer une série d’articles. C’est probablement la période la plus féconde de l’histoire du rock. La musique a emprunté à cette époque les voies les plus diverses et son influence est encore très vivante aujourd’hui. Pourquoi 66/71 ? En fait, je ne suis pas si sûr que ça des dates. Peut-être que la musique de « ma » période musicale préférée a commencé en 65 et a continué jusqu’en 72. C’est possible, mais à un an près on va dire que, grosso modo, c’est 66/71. Je découvrirai probablement les dates précises au fur et à mesure de l’écriture de ces articles, lorsque je lirai sur mes pochettes de disques les vraies dates d’enregistrement.

Mais avant de commencer, il me faut faire un retour sur les bouleversements musicaux qui ont précédé cette période. Mon premier article sur les années 66/71 paraîtra dimanche prochain. Aujourd’hui, je tiens juste à rappeler ce qui s’est passé au cours des dix années qui ont précédé cette période.

L’histoire commence le 12 avril 1954 (un hasard, c’est le jour de ma naissance. Peut-être suis-je né, à cause de cette incroyable coïncidence, sous le signe de la musique). Ce jour-là, Bill Haley enregistre le premier rock de l’histoire, le fameux Rock around the clock. Si d’autres auteurs donnent la primauté de la naissance du rock and roll à Elvis Presley qui enregistrera quelques mois plus tard (en juillet 54) ses premiers titres, c’est uniquement parce que Bill Haley n’a jamais été considéré comme un véritable rocker, il venait du monde de la country et il y retournera plus tard. Mais Rock around the clock est bien un authentique rock !

Bizarrement, à cause d’une série de malheureux hasards, le rock n’ roll ne durera que trois ans. Car entre 57 et 59, une série d’événements, qui va toucher tous les pionniers du rock, va faire disparaître (provisoirement) cette musique : Little Richard va renier cette musique du diable et se convertir à la religion, Jerry Lee Lewis épouse sa cousine et lorsqu’on s’aperçoit qu’elle n’a pas 15 ans ce scandale va le contraindre à quitter la scène, Elvis Presley part à l’armée, Chuck Berry est empêtré dans des procès et finit en prison, Buddy Holly et Richie Valens meurent dans un accident d’avion et Eddie Cochran dans un accident de voiture. Le sort semble s’être acharné sur cette musique.

Pendant les années qui ont suivi, l’énergie du rock n’ roll semble avoir disparu, remplacée par une espèce de musique frelatée dont le twist n’a été que l’un des exemples.

Mais ce n’est pas aux Etats-Unis, son pays d’origine, que le rock renaîtra. C’est en Europe que tout va se jouer. D’abord à Liverpool en 62 où quatre jeunes garçons vont mettre le feu aux poudres. Il s’agit évidemment des Beatles qui amènent à la musique rock le concept de « groupe » qui n’existait pas jusqu’à présent. La musique des Beatles ne gagnera les Etats-Unis que deux ans plus tard, en 64, et c’est grâce à ce feed-back que le rock retrouvera sa contrée de départ.

L’autre événement majeur a lieu aussi en Europe. Les joueurs noirs de blues américains, qui voient leur audience chuter, se mettent à exporter leur musique et l’Europe devient alors leur terre d’élection. Ce sont les fameuses tournées de l’American Folk Blues Festival dont j’ai déjà parlé sur ce blog et qui ont vu arriver sur notre vieux continent Muddy Waters, John Lee Hooker & Co. Les jeunes européens qui écoutent cette musique vont donner à leurs compositions musicales la dimension « blues » (ces fameux accords en Mi7, La7 et Si7). Les Rolling Stones seront incontestablement les chefs de file de ce courant, suivis par les Animals, les Them, les Yardbirds et les Bluesbreakers de John Mayall.

Le troisième événement a lieu par contre aux USA. C’est le phénomène Dylan. Grâce à Dylan, la poésie a été insufflée au rock. Il y a un avant-Dylan et un après-Dylan. Après le passage de Dylan à l’électrique, plus aucun chanteur de rock ne pourra se permettre de chanter des niaiseries (du genre She loves you yeah yeah yeah des Beatles et les textes devront être travaillés au minimum, pour ne pas dire au maximum.

Voilà où nous en sommes quand commence ma petite histoire. Rendez-vous donc dimanche prochain.

La crise immobilière ? Mais quelle crise ?

Je suis tombé sur plusieurs articles qui parlent de crise de l’immobilier. Il semblerait qu’un peu partout les prix soient en train de baisser et plusieurs articles citent le chiffre de moins 26%. Sur le secteur de la vallée de l’Ognon où j’habite, les maisons qui étaient en vente il y a quelques mois à 250 000 euros le sont aujourd’hui à 180 000. Depuis plusieurs années, il devenait impossible pour beaucoup d’accéder à la propriété et de plus en plus difficile pour certains de payer des loyers très élevés. De toute façon, même avec les nouveaux tarifs actuels, cela reste difficile et les jeunes couples sont les premiers à pâtir de cette situation.

Si j’en juge par les nombreuses réflexions que j’entends tout autour de moi, tout le monde se réjouit de la baisse en cours qui était très attendue.

Alors que cette baisse du prix de l’immobilier est salutaire pour une très grande majorité de la population, les journalistes nous parlent de crise. A croire qu’ils ne vivent pas dans le même monde que le brave populo …

Tomates à feuilles de pomme de terre

LE COIN DU JARDINIER (30)
Tous les ans, je mange les premières tomates vers le 15 juin. L’année 2007 avait été une exception et pour la première fois j’avais pu consommer quelques tomates à la fin mai. Mais les années se suivent et ne se ressemblent pas. Ainsi 2008 est plutôt une année tardive et si j’ai mangé mes premières tomates en juin, c’était in extremis le dernier jour du mois.

Par contre, 2008 sera peut-être une année exceptionnelle car le printemps pluvieux a fourni de la pluie au moment où les tomates en avaient le plus besoin, pendant leur phase de croissance. Le feuillage s’est ainsi beaucoup développé, la plupart des pieds dépassent déjà 1,50 m et les plants sont déjà chargés de lourdes grappes.

Presque toutes les variétés que j’avais semées en février se comportent bien jusqu’à présent (entre mon frère Claude et moi, nous cultivons cette année 52 variétés différentes). Si le mildiou épargne les fruits, la production 2008 risque d’être d’un très bon crû.

Manger des tomates du jardin pendant quatre ou cinq mois au lieu des deux mois habituels, c’est possible. Parmi les « petits trucs » indispensables pour y arriver, il faut signaler les tomates à feuilles de pomme de terre.

Les tomates à feuilles de pomme de terre sont en général des variétés sibériennes dont le cycle du fruit est très court. Le temps qu’il faut pour passer de la fleur au fruit mûr est moindre. Je suis persuadé que les jardiniers des régions montagneuses pourraient tirer tous les avantages de ce type de plante. Avec des variétés classiques, ce n’est pas facile par exemple de faire pousser des tomates dans le Haut-Jura, mais avec des variétés sibériennes je suis persuadé que ça marcherait.

Chaque année, je cultive un grand nombre de variétés. La première tomate que je mange est toujours une tomate sibérienne. Cette année, la variété la plus précoce s’appelle Kotlas. L’an passé, c’était Matina. Petite proposition : j’enverrai des graines de ces deux variétés à toutes les personnes qui le souhaitent.

Sur le bateau qui revient de Texel

OISEAUX DE TEXEL (6)
Je suis constamment tiraillé entre l’envie de renouveler complètement mon matériel photo en passant définitivement au numérique et l’envie d’approfondir la vidéo que j’ai découvert l’an passé. Une seule certitude : je ne mènerai pas les deux choses de front, la photographie et le film sont deux pratiques qui n’ont rien à voir l’une avec l’autre et qui relèvent de deux approches radicalement opposées.

J’avais décidé que je ne toucherais pas à mon appareil photo lors de mon dernier séjour à Texel et que j’en profiterais pour me décider définitivement : photo ou film ? Je suis revenu de la Mer du Nord encore plus indécis qu’avant …

Par contre, Joëlle en a profité pour faire plein de photos à l’aide de son petit compact. Voici donc quelques images faites par ma nouvelle photographe préférée sur le bateau du retour.

Ecoutons-les encore …

La presse va nous bassiner pendant des semaines avec le nouveau disque de Carla Bruni. Désolé, mais je préfère pour l’instant continuer à écouter d’autres grandes dames de la chanson française. Allez tiens, en voici deux, peut-être les plus grandes …

Petite citation

Petite phrase du professeur Christian Körner que je viens de lire à l’instant : « La diversité est le principe vital sur lequel se fonde l’évolution. Être différent est la condition nécessaire à la vie et à la survie ; être semblable signifie déclin et absence d’avenir ».
Cette phrase vous inspire ?

Le faucon crécerelle (4)

« Mes » petits crécerelles poussent à vue d’oeil. Les cinq poussins continuent leur développement. Ce soir, avec Joëlle, nous les avons observés à cinquante centimètres, à travers une petite fente du nichoir. Fabuleux de voir ainsi la vie palpiter à portée de main. Si je m’en réfère aux photos que j’avais faites il y a vingt cinq ans, les jeunes en sont à peu près au stade suivant.

Les jeunes commencent à dépecer eux-mêmes la nourriture, le plus souvent un campagnol, qui est est apportée par l’un des adultes, presque toujours la femelle.

Si les blogueurs qui habitent sur mon secteur ont envie de les observer de très près, je peux organiser, à la demande, des petites séances d’observation dans les jours qui viennent (l’envol est prévu autour du 8 juillet je pense). Il suffit juste de me prévenir. Les dames qui viendraient voir avec moi dans le grenier en ressortiraient probablement couvertes de foin. Je leur souhaite du courage pour expliquer à leurs maris qu’elles se sont juste contenter d’observer avec moi des petits crécerelles … !

J’en profite pour rappeler qu’il existe un site fabuleux où l’on peut suivre en direct l’élevage d’une autre nichée de crécerelles, à peine plus âgés que « les miens ».

Prime exceptionnelle

Le patronat dit qu’il croule sous les charges sociales. Il en parfois à dire qu’il voudrait bien le bonheur de ses salariés, mais que c’est la faute à l’Etat qui lui ponctionne tout… OK, on entend. Pourtant, la loi du 8 février 2008 voulue par Sarko, donne la possibilité à tous les employeurs de moins de 50 salariés de donner cette année une prime exceptionnelle de 1000 euros à chacun de leurs salariés, sans charges sociales ou presque (je dis « presque » car il y a un tout petit peu de CSG et de CRDS). Le patronat (enfin, celui des petites et moyennes entreprises) devrait applaudir car voici enfin un truc sans charges sociales qui va lui permettre de contribuer au bonheur de ses salariés sans trop de frais. Or, vous en entendez parler ? Vous en connaissez beaucoup de vos voisins, amis, membres de votre famille … qui reçoivent cette prime (qui doit obligatoirement être versée avant le 30 juin) ?

Deux concerts militants à Besançon

A signaler deux concerts de soutien à Besançon :

Le premier est au profit des victimes de Tchernobyl. Il sera donné à deux reprises, d’abord ce vendredi 20 juin à 17H à l’église de la Madeleine puis lundi prochain 23 juin à 20H à l’église Saint-Louis de Montrapon. Il s’agit d’un choeur biélorusse de 8 hommes dans un répertoire profane composé de chansons populaires de la Russie, de l’Ukraine et de la Biélorussie. Renseignements au 03 81 60 03 67.

Le deuxième aura lieu jeudi prochain 26 juin au Théâtre de l’Espace Planoise. Réservation obligatoire au 03 81 81 81 90. Ce concert est donné à l’occasion de l’anniversaire de la naissance de l’ex-président chilien Salvadore Allende. L’invité de la deuxième partie du spectacle n’est autre que… Paco Ibanez, chanteur espagnol engagé et pacifiste qui a vécu une bonne partie de sa vie, du temps de Franco, en exil en France. Paco Ibanez est aujourd’hui âgé de 74 ans. Le voici dans une vidéo qui date je crois du début des années 2000.

Paco Ibanez est aussi un grand amoureux de Brassens à qui il a consacré un disque complet.

Sur le mur, à la lueur d’une lampe (1)

Je mets rarement la lumière extérieure, la nuit n’ayant pas spécialement besoin d’être éclairée. Mais il m’arrive d’allumer la lampe qui est devant ma porte, juste pour admirer quelques insectes qui ne manquent jamais de venir, attirés par la lumière.

J’ai pour projet de vous présenter, tout au long de l’année qui viennent, quelques-unes des espèces que je vois régulièrement sur le crépi du mur de la maison.

Voici deux papillons nocturnes que j’ai vus fréquemment les temps derniers.

Le premier est un papillon de la grande famille des noctuelles. Il s’appelle la double tache mais les scientifiques l’ont appelé d’un nom beaucoup plus intime : agrostis exclamationis (affublé d’un nom pareil, ça en jette dans les soirées nocturnes où se rend notre animal !) Ce papillon est assez fréquent dans les régions cultivées car la chenille peut vivre sur de très nombreuses plantes herbacées.

Le deuxième papillon appartient aussi à une grande famille, celle des phalènes (appelées aussi « géomètres »). Il s’appelle la timandre aimée (nom latin : timandra griseata), il est aisément reconnaissable à cette bande pourpre qui traverse obliquement les deux ailes.

Michael Chinery, dans son livre, dit que la chenille de ce papillon vit dans les lieux incultes, ça tombe bien, je suis inculte dans plein de domaines, je ne devrais donc pas tarder à trouver plein de chenilles autour de chez moi !

Nos élites doivent-elles décider pour nous ?

Le dernier match de l’équipe de France de football a un peu éclipsé dans l’actualité le résultat du vote irlandais sur le traité de Lisbonne. Dommage. Après avoir fait accepter à nos partenaires européens l’idée d’un mini traité, notre président va-t-il cette fois-ci nous proposer un mini mini traité ? Voila notre futur président de l’Union Européenne qui rêvait de passer sa présidence à faire avancer la machine Europe, ce ne sera plus le cas, les six mois seront passés à tenter de trouver une solution politique qui ne semble pas évidente a priori.

Trois peuples européens ont voté, trois peuples ont refusé. Les pays qui ont par contre adopté la constitution européenne sont ceux qui ont choisi de se passer de l’avis des citoyens et d’adopter la voie législative.

Petite question : cette question de l’Europe montre-t-elle le décalage croissant entre les élus et les citoyens ou au contraire montre-t-elle que les gens du peuple sont des ignares ?

Vladimir Vissotski, l’écorché vif (2)

Lorsque j’ai débuté ce blog il y a presque deux ans et demi, j’ai écrit un premier article sur Vladimir Vissostski, chantre des souffrances du peuple soviétique sous le joug communiste. A l’époque, je n’avais pas pu mettre de vidéos en ligne sur ce blog, pas seulement parce que je ne savais pas le faire techniquement, mais aussi et surtout parce que je ne connaissais aucun document vidéo sur ce chanteur.

Aujourd’hui, quelques documents nous permettent de découvrir le talent de cet immense artiste qui nous a quitté il y a déjà vingt huit ans. Voici deux de ces vidéos :

Moutons patriotes

Hier, mon neveu Florent qui s’intéresse de très près au football, a peint ses moutons en bleu, blanc, rouge.

Je me demande quand même s’il n’aurait pas dû peindre les bandes à l’horizontale !

Idée de cadeau

Les amateurs de musique baroque vont, une fois de plus, être aux anges. Après la sortie des coffrets Harmonia Mundi et Musiques à Versailles, c’est au tour de Deutsche Harmonia Mundi (la petite soeur de notre Harmonia Mundi française) de publier un beau coffret de disques à un prix très très bas : 45 euros le coffret de 50 CD.

J’ai déjà écouté une vingtaine de disques du coffret. Les interprétations sont très bonnes (de très bons interprètes tels que Gustav Leonhardt, Jordi Savall, Anner Bylsma, …), la qualité d’enregistrement également. Seul point négatif au coffret : le livret qui accompagne les disques est trop léger et n’apporte rien.

Si l’on excepte 7-8 disques d’oeuvres connues (notamment celles de Bach et de Vivaldi), la liste des disques montre qu’une très belle part est faite à des musiciens très peu connus (Astorga, Durante, Gabrielli, Facco, Jacchini, Forqueray, Antonii, Machaut, Magnus …) ou à des oeuvres peu connues de certains de nos compositeurs préférés (le confitebor de Pergolesi, Dioclesian suite de Purcell, la passion selon St jean de Scarlatti …).

A acheter donc les yeux fermés et la bourse légèrement ouverte (car le coffret revient à moins de 1 euro le CD) ! Pour celles et ceux qui aimeraient se faire une idée plus précise de la qualité du produit, je peux prêter le coffret aux personnes qui n’habitent pas très loin de chez moi.

Bouquet d’araignées

Petite réponse à l’article précédent. Il s’agissait de jeunes araignées fraîchement écloses. Fred D s’était approché de la vérité et je crois que Kn’L et Oetincelleo, en fines observatrices qu’elles sont (les nanas, ça voit tout, ça devine tout … hélas), puis Yves (en fin naturaliste qu’il est), avaient trouvé !

Oui, cette petite boule regroupe une multitude de petites araignées, il suffit d’ailleurs de toucher un peu le feuillage autour d’elles pour les voir partir affolées dans toutes les directions et ensuite revenir se pelotonner ensuite dans la masse dès que le calme revient.