Je ne pouvais pas terminer (provisoirement ? définitivement ?) ce blog sans mettre en ligne les images de blaireau qu’il me reste et que je n’avais pas encore publiées !
Je n’ai pas fait beaucoup d’images de cet animal, celui que je connais le mieux tant il m’a procuré de belles soirées en forêt (sans doute plus de 500 soirées au cours des vingt dernières années), mais il m’en reste quand même quelques-unes, toutes faites il y a juste un an les 20 et 21 avril.
Il y a quarante ans, alors que j’étais au lycée, nous étions en « autodiscipline » (un concept nouveau à l’époque). Le lycée où j’étais était très vaste, il y avait des salles partout, ce qui fait que le soir les internes se répartissaient en salles d’étude par tous petits groupes et par affinités. Je ne me rappelle pas vraiment y avoir bossé un seul devoir. Mais par contre je me rappelle des lectures des grands auteurs russes, des discussions où l’on refaisait le monde… et des soirées guitare.
C’est dans ces salles d’études que je me suis familiarisé avec les partitions de Leonard Cohen et celles de Brassens. Nous n’étions en général que trois dans notre salle d’étude. Et parmi les deux copains, il y avait « le Splotch ». Le Splotch jouait aussi la musique de Cohen mais surtout de la guitare classique à merveille. Il jouait notamment un super morceau dont je n’ai jamais su le nom car je n’avais jamais pensé à le lui demander. Il y a comme ça des morceaux qui vous restent ainsi dans la tête, même longtemps après. Pendant vingt ans, j’ai gardé ce morceau-là dans un coin de ma tête, et puis plus tard, bien plus tard (au bout de 20 ans), je l’ai enfin réentendu sur un disque que je me suis acheté et j’en ai enfin découvert l’auteur. Il s’agit du Recuerdos de la Alhambra, une oeuvre de Francisco Tarrega, qui est finalement un des morceaux les plus joués en guitare classique, sans doute à cause de cette fameuse technique toute en trémolos. Il en existe de nombreuses versions sur le net. En voici une, celle de Johannes Moller :
Il y a quelques semaines, je suis allé à une dégustation de vins de la Loire chez Brind’paille. Très beau moment de partage. Mais ce n’est pas de ce partage-là dont je voudrais vous parler. Il y avait là
Dans le dernier numéro des « quatre saisons du jardinage bio », une lectrice a parlé d’un truc miracle pour éloigner les doryphores : du tabasco dilué à 1% en aspersion sur le feuillage des pommes de terre. Le tabasco, vous savez ce que c’est, c’est un condiment liquide que l’on obtient en laissant macérer des piments en fûts pendant trois ans avant de leur ajouter du vinaigre puis de filtrer.
Allez, un tout petit dernier atelier d’écriture avec cette fois-ci 10 mots couramment utilisés sur ce blog : blaireau, papillons de la Brenne, tomate, Texel, Guignolesque, Bob Dylan, botanique, hybridation, musical, guêpier.
A vos plumes !
OISEAUX DE TEXEL (22)
Lorsque vous lirez cet article, vous saurez déjà que ce blog s’arrête car tous les derniers articles de ce blog ont été publiés en même temps.
J’avais encore une bonne centaine d’idées d’articles sur le thème des oiseaux dans un coin de ma tête … tant pis, ce sera pour dans une autre vie !
Christophe revient de Texel, en Mer du Nord, et le peu qu’il m’en a dit m’a donné l’envie de trier, à la hâte, quelques images des oies de Texel.
Dans son numéro de cette semaine, Télérama lance un débat avec la question suivante : « Romancer la vie des gens, est-ce diffamer ? ».
Vous en pensez quoi ?
Vous aviez été très bons lorsque vous aviez déterminé les cinq premières espèces d’oiseaux que Sylvain a photographiées au Mexique (voir ici le précédent article).
Mais là, je crois que cela va être bien plus difficile. D’autant plus que le blog s’arrête et que j’ai mis le paquet : 16 photos !
Ici, en Franche-Comté, on parle communément de « l’acacia ». En fait il s’agit du robinier qui n’est qu’un faux-acacia. « L’acacia » est réputé pour son parfum qui est l’un des parfums les plus agréables du printemps mais aussi pour le fait qu’il est une des plantes les plus recherchées par les abeilles qui viennent le butiner et qui produisent ensuite le fameux « miel d’acacia », le seul miel qui ne cristallise pas (enfin, je crois …, à confirmer par Christophe).
Cette année, les « acacias » ont fleuri extrêmement
Il a plu dans la nuit de jeudi à vendredi. Au lever du jour, il y avait plusieurs dizaines de gros vers de terre qui s’accouplaient à l’air libre dans le jardin.
A la moindre vibration (le jardinier qui marche trop
Un article proposé par Etincelle
Lors de vos promenades dans la nature, vous avez eu (certainement plus d’une fois) l’œil attiré par des détails curieux, adorables, étranges, surprenants, ou tout simplement d’une grande beauté.
Les plantes ne sont pas avares dans ce domaine et en particulier les fougères …
Extrait de « Comme le fleuve qui coule » de Paulo Coelho
En regardant le jardin de l’autre « Donne à l’idiot mille intelligences, et c’est la tienne qu’il voudra », dit le proverbe arabe.
Nous commençons à planter le jardin de notre vie et, regardant à coté, nous voyons que le voisin est là, à épier. Il est incapable de faire quoi que ce soit, mais il se plaît à se mêler de la façon dont nous semons nos actions, plantons nos pensées, arrosons nos conquêtes.
Si nous prêtons attention à ce qu’il raconte, nous finissons par travailler pour lui, et le jardin de notre vie sera une idée du voisin.
Nous en oublierons la terre cultivée avec tant de sueur, fertilisée par tant de bénédictions.
Nous oublierons que chaque centimètre de terre a ses mystères, que seule la main patiente du jardinier peut déchiffrer.
Nous cesserons d’être attentif au soleil, à la pluie et aux saisons – pour nous concentrer uniquement sur cette tête qui nous épie par-dessus la clôture.
L’idiot qui adore se mêler de notre jardin ne soigne jamais ses propres plantes. »
Un article proposé par Fifitoucourt
Pour continuer dans les devinettes, une petite énigme zoologique concernant un curieux insecte, authentique arthropode à l’allure de dinosaure. Je ne donnerai pas la solution, car je ne la connais pas.
N’ayant jamais eu de réponse satisfaisante, je soumets donc à la perspicacité des dupdupblogueurs ce petit problème: quelle estl’identité de ce petit monstre d’environ 12 mm trouvé sur une feuille de rosier un jour de mai (si mes souvenirs sont bons) photographié avec un camescope utilisé normalement pour le dérushage et au capteur un peu fatigué, ce qui explique la très mauvaise qualité de l’image, prise en 576×720, format du DV ? (Le temps d’aller chercher un appareil plus performant, l’oiseau s’était envolé… ) L’heureux gagnant aura gagné toute
Il y a du nouveau du côté du site web de nos amis Estoniens. Non seulement la cigogne noire qui avait abandonné son nid en 2009 et qui n’était pas revenue en 2010 s’est enfin décidée à nicher mais en plus il y a cette année deux nids équipés chacun d’une webcam.
En cliquant ici, on peut se rendre sur le site estonien, version anglaise. Il suffit ensuite d’aller dans la colonne de gauche à la rubrique Black stork camera puis de cliquer sur Direct stream pour une observation en direct et sur Stork TV pour visionner une sélection des meilleures scènes. Voici l’une de ces scènes …