Plutôt que de se couper les cheveux pour y voir plus clair, cette vache highland a préféré s’acheter une très grosse paire de lunettes. Et elle ne voit pas mieux !
Et en plus, elle n’arrive même pas à ressembler à Michel Polnareff…
J’ai un faible pour les limicoles, cette famille d’oiseaux que l’on appelait autrefois « petits échassiers ». Cette une très grande famille d’oiseaux comprenant courlis, vanneaux, échasses, avocettes, chevaliers, bécasseaux, bécassines, bécasses, huîtriers, gravelots, pluviers, …
Texel, en Mer du Nord, est un petit paradis pour cette famille d’oiseaux.
Si tous les chevaliers peuvent y être observés en période de migration, le Chevalier gambette est par contre la seule espèce de chevalier à s’y reproduire (à ma connaissance).
J’ai déjà parlé de cet oiseau à plusieurs reprises sur ce blog. Voici une nouvelle série d’images faites au cours de mon dernier séjour sur l’île en mai dernier. On était en pleine période de nidification mais le printemps 2023 ne semblait pas très favorable à la reproduction de cette espèce car, pour la première fois à cette époque, nous n’avons vu aucun jeune.
Autrefois, dans un passé pas si lointain, les régimes totalitaires s’installaient par la force.
Aujourd’hui ils commencent à s’installer ça et là par la voie des urnes.
Avec l’affaire Tesson et la bande de fêlés qui l’a déclenchée, on voit se profiler un nouvel ordre mondial et une nouvelle dictature : celle de la bien-pensance, qu’il conviendrait plutôt d’appeler celle de la rien-pensance.
En attendant que sur ce blog il y ait débat (ou non) sur ce sujet, une vidéo dans laquelle Sylvain Tesson parle de son dernier livre « avec les fées » :
Lors de mon dernier séjour à Texel en mai 2023, j’ai passé un temps fou à observer les sternes de cette île de la mer du Nord. J’aurais aimé revenir avec beaucoup d’images de la sterne arctique mais celle-ci était peu présente.
Cet article est donc consacré à l’espèce qui était la plus abondante lors de ce séjour : la sterne pierregarin.
Une colonie de sternes c’est impressionnant car ça vole partout et on ne sait plus où regarder. Les images de l’oiseau au vol nous interpellent sur le fait qu’on les appelait autrefois « hirondelles de mer », car mis à part un peu la queue, il est difficile de trouver une parenté, même lointaine, entre hirondelles et sternes.
Dans une colonie de sternes, ça crie de partout.
Les bains sont fréquents.
A Texel, les sternes pierregarins se reproduisent sur les petits îlots des étangs côtiers (à noter qu’à Texel tout ces petits étangs ont été créés par l’Homme pour assurer la reproduction des oiseaux).
Les sternes côtoient d’autres espèces qui se reproduisent également sur ces petits îlots car la défense face aux prédateurs est plus efficace lorsque le nombre d’oiseaux nicheurs est important.
L’oiseau que côtoie le plus souvent la sterne pierregarin sur son site de nidification à Texel : la mouette rieuse.
La cohabitation entre les deux espèces est bonne …
… mais bien entendu il y a quelques petites frictions de voisinage à proximité immédiate du nid.
Ces petites chamailleries ont souvent lieu dans le ciel.
Il arrive même que derrière une mouette à quatre ailes se cache une pierregarin.
Mais toutes ces petites querelles sont sans conséquences.
La prochaine fois, je vous parlerai du chevalier gambette.
En triant des photos pour mon prochain article sur les oiseaux de Texel, je tombe sur cette photo que je me rappelle avoir faite ce printemps, mais que j’avais complètement oubliée entre temps : une sterne pierregarin en train de déposer sa signature dans le ciel …
Cela faisait au minimum un siècle qu’il avait disparu de la vallée de l’Ognon.
Mais aujourd’hui, le castor est de retour dans ma commune.
Imaginez mes battements du cœur (ma plus grande émotion naturaliste jusqu’à présent ?) lorsque je suis tombé ce dimanche (il y a deux jours donc) sur ceci :
Ah ces amis des bêtes, champions de la cause animale et qui pourtant infligent à leur animal de compagnie préféré la pire des souffrances, morale et physique : la castration !
Le temps a été beaucoup trop doux pour un début d’hiver.
La grive draine chante depuis début décembre, le pic épeiche tambourine depuis une dizaine de jours, la mésange bleue visite déjà les nichoirs, les bourgeons des cassissiers sont déjà gonflés et au jardin les plantes ne connaissent pas le repos hivernal habituel. Exemple de l’artichaut dont les feuilles ont grossi les dernières semaines.
Mais ici, dans l’Est de la France, on n’est pas en Bretagne et l’artichaut peut difficilement passer l’hiver en pleine terre sans protection (même s’il supporte facilement les petites gelées). Alors, comme le froid (léger tout de même, de l’ordre de -5°C) s’annonce pour au moins les 10 jours qui viennent, j’ai utilisé aujourd’hui une technique que j’ai déjà pratiquée et qui est celle de mon frère Claude.
Etape 1 – Rabattre la plante avec un sécateur à 15-20 cm au-dessus du sol.
Etape 2 – Utiliser de vieux pneus pour mettre autour de l’artichaut (deux pneus suffisent, un seul même si le plan est petit).
Etape 3 – Garnir l’intérieur avec de la paille.
C’est une bonne méthode, mais qui demande de la vigilance : on enlève la paille dès que la période de froid est finie (sinon risque de pourriture) et on regarnit de paille dès qu’une nouvelle période froide arrive. Et attention aux campagnols terrestres qui peuvent trouver sous votre protection de paille un excellent abri ! (mais je n’en ai pas dans mon jardin).
Cet article était une illustration du proverbe franc-comtois (d’autant plus véridique que je l’invente à l’instant) : « Archi froid au froid ? artichauts au chaud ! » (phrase à la sonorité musicale qui aurait pu inspirer le clarinettiste Artie Shaw si celui-ci n’avait pas eu la mauvaise idée de mourir il y a vingt ans !).
Comme je me suis lancé depuis quelques années dans l’expérimentation de cultures hivernales auxquelles on ne pense pas forcément, mon prochain article sur le jardin sera consacré à la culture hivernale des petits pois et des choux … enfin, si ceux-ci sont toujours vivants à la fin de l’hiver !
Au moment d’écrire un petit mot pour les traditionnels vœux sur ce blog, je suis resté sec devant mon écran. Que dire dans cette période plutôt anxiogène ?
Et puis voilà-t-y pas que Manu m’envoie aujourd’hui un petit florilège des citations de Pierre Dac. Elle sont connues, elles datent de Mathusalem, mais elles me font toujours rire, ou tout du moins sourire.
Alors que vous souhaiter pour affronter les temps qui viennent ? De l’humour bien sûr, de l’amour aussi. Ces deux ingrédients peuvent à eux seuls suffire à concocter de bons petits plats !
Quelques phrases retenues dans les citations de Pierre Dac :
– Il ne faut pas avoir peur des chevaux sous le capot mais de l’âne derrière le volant. – Ce ne sont pas les enfants sur la banquette arrière qui font les accidents, mais bien les accidents sur la banquette arrière qui font des enfants. – L’argent n’a pas d’odeur mais quand on n’en a pas, ça sent la merde. – Quand tu t’adresses à une femme, il faut un sujet, un verbe et un compliment. – La cravate est un accessoire permettant d’indiquer la direction du cerveau de l’’homme. – Les hommes sont comme des arbres : avec l’âge, ils deviennent dur de la feuille et mou de la branche. – Pour les riches : des couilles en or. Pour les pauvres : des nouilles encore. – Le suppositoire est une invention qui restera dans les anales. – Il n’a pas inventé la poudre, mais il n’était pas loin quand ça a pété.
Et puis, comme on ne peut pas commencer décemment une nouvelle année sans musique, restons avec Pierre Dac, accompagné ici de Francis Blanche (il y a tout juste 65 ans) :
L’Histoire (avec un grand H) est parfois injuste, elle a tendance, dans tous les domaines, à oublier des personnages majeurs qui ont contribué à façonner notre identité, notre culture … On pourrait prendre plein d’exemples, tant au niveau des peintres que des musiciens, des sculpteurs, des écrivains …
Exemple : en musique, si l’on en revient à la période faste des années 60 et 70 qui a vu naître tellement de diversité que beaucoup de musiques actuelles y trouvent leurs origine ou leurs prémices, certains groupes ou musiciens sont évidemment encore bien présents dans la mémoire collective, mais d’autres, ayant eu malgré tout beaucoup d’influence sur leur époque, ont quasiment disparu des radars. Ainsi, mis à part quelques « vieux de la vieille », qui se souvient encore des Yardbirds ? Pourtant, ce groupe né en 1963 fut le creuset de certaines musiques à venir en accueillant successivement en son sein trois guitaristes devenus ensuite très célèbres : Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page, excusez du peu !
Avec Joëlle, on a vu Jeff Beck sur scène au Palais des Sports de Besançon, ce devait être en 1973. Il faisait à l’époque partie de BBA (Beck-Bogert-Appice), groupe n’ayant produit qu’un seul disque (magnifique !) avec un morceau phare ayant connu beaucoup de succès (Superstition, reprise de Stevie Wonder).
Pourquoi je vous parle de cela ? Parce que Stéphane m’a fait connaître les jours derniers un très bon guitariste (Alan Mearns), guitariste de formation classique (on trouve sur Youtube ses interprétations de Bach par exemple), qui a adapté à sa sauce des chansons d’un répertoire plus récent (en publiant notamment en 2021 un disque complet de reprises de U2 : Covered in love-Tribute to U2) et qui a produit aussi de belles compositions personnelles. Et c’est en fouillant ce soir sur Youtube ses vidéos (dans l’idée de faire un article) que je suis tombé sur cette très belle composition dont le titre s’appelle « Tombeau For Jeff Beck » et qui m’a appris indirectement que Jeff Beck était mort il y a près d’un an (j’étais passé à côté de l’info à l’époque).
Lorsqu’il intervient dans un répertoire récent, Alan Mearns joue en général sous le pseudo Yes The Raven. C’est sous ce nom qu’on trouvera sur Youtube les quelques reprises que je vous propose aujourd’hui :
If It Be Your Will de Leonard Cohen …
… Virgin Mary de Joan Baez…
… Come As You Are de Nirvana …
… Knockin’ on Heaven’s Door de Dylan …
… et, comme on va bientôt changer d’année, pour finir ce petit article : New Year’s Day de U2
Pas facile de faire un article positif par les temps qui courent !
L’actualité ne prête guère à sourire.
Et pourtant « le sourire » !
Tout à l’heure, un disque de Jean-Marie Vivier passait sur ma platine par hasard (enfin presque !). Une chanson que j’avais oubliée depuis des dizaines d’années a glissé dans mon oreille. Elle s’appelait justement « le sourire ».
Parmi les phrases ou les bouts de phrases de la chanson, quelques bribes :
C’est un peu le regard du cœur Celui qui nous vient de l’enfance Le sourire … Il y a celui que l’on reçoit Avant même qu’on ne le donne Et celui qui est maladroit Il arrive même qu’on pardonne D’un sourire …
Mais c’est souvent la seule façon De rompre avec la solitude Un sourire …
Il y a en a qui vous diraient Que c’est le rire en minuscule Que ce n’est rien mais moi je sais Que c’est la vie en majuscule Le sourire
En ce moment précis, le débit de la rivière l’Ognon (station de mesure automatique sur le site Hydroreel), mesuré en m3/s est de 49,3.
Et c’est la 22ème fois que ça arrive !
Encore un coup d’Elisabeth Borne !
Bon, j’étais en manque d’idées pour mon article, c’est juste pour l’humour.
Mais ça prête à discussion hein !?!
L’Ouette d’Egypte est une espèce dite « invasive ». Les chasseurs le disent haut et fort, mais aussi la LPO qui donne souvent un avis favorable aux arrêtés préfectoraux de destruction ! Bof bof … Si une espèce qui s’est reproduite dans la nature dans le Sud-ouest de l’Angleterre dès la fin du 17ème siècle est encore qualifiée d’invasive 300 ans plus tard, on se demande combien de millénaires il faudra encore pour que les chasseurs et les naturalistes (qui ont la même position dans cette affaire) fassent évoluer leur point de vue sur le sujet et admettent enfin la réalité : oui, l’Ouette d’Egypte fait bel et bien partie de notre faune d’Europe occidentale, qu’on le veuille ou non, et ce, depuis longtemps ! Et, au train où elle se développe (avec des conditions climatiques qui lui sont de plus en plus favorables), nul doute qu’avec son tout petit cerveau de la taille d’un petit pois, elle évolue malgré tout plus vite que ses détracteurs cités plus haut. Bon, ça c’était mon petit coup de griffes annuel (ça m’arrive pas souvent hein !?!).
Alors utile ou nuisible l’Ouette d’Egypte ? Comme si la vie avait besoin de se justifier … cette espèce, comme toutes les autres, est ! Point barre !
Cet oiseau est étonnant de par son aspect. A Texel, île de la Frise occidentale, elle est présente partout, avec des densités bien supérieures à ce qu’elles sont chez nous, et je n’ai pas l’impression que ça pose vraiment problème. Quelques images ramenées récemment de cette île de la Mer du Nord.
Et, dans la deuxième quinzaine de mai, on était en pleine période de nidification. Alors quelques images des jeunes qui en étaient déjà à des stades bien différents.
La prochaine fois, je vous parlerai d’une sterne (pierregarin ou arctique, je ne sais pas encore).
LES OISEAUX DE TEXEL (57)
Dans les années 80, le bruant des roseaux était un oiseau très commun dans la vallée de l’Ognon où j’habite. Il venait même régulièrement en fin d’hiver au poste de nourrissage. Aujourd’hui, c’est devenu un oiseau rare et je ne le vois quasiment plus jamais.
A Texel, en mer du Nord, je l’aperçois souvent dans les dunes, notamment dans les endroits les plus humides où il se reproduit.
Il est parfois difficile d’apercevoir cet oiseau caché dans la végétation …
… mais en période de nidification, le mâle chante souvent au somment d’un petit buisson ou d’un roseau.
La femelle est beaucoup plus discrète, à cause notamment de son plumage moins « tape-à-l’œil » mais aussi à cause de son mode de vie plus caché.
En mai dernier, le long d’un petit sentier, un couple nourrissait ses jeunes, assez insensible aux promeneurs qui passaient. Il y avait 40 ans que je n’avais pas fait de photos de cet oiseau, alors j’en ai profité … !
Dans un prochain article, je vous parlerai de l’Ouette d’Egypte.
Le ministre de l’intérieur a pris aujourd’hui un arrêté interdisant le déplacement des supporteurs de l’OL au Stade Vélodrome de Marseille, à l’occasion du match contre l’OM demain mercredi.
Dans quel monde on vit !?! :unsure:
Petits soucis de santé minimes les temps derniers : blocage du dos après avoir fait un faux mouvement et laryngite ce week-end, au lendemain d’une conférence où j’avais été très bavard (sans doute mon côté féminin qui ressort !). Extinction de voix et 39 de fièvre le lendemain. Bien souvent, y’a pas grand chose à faire dans ce cas-là et je suis resté pas mal de temps dans mon fauteuil à attendre que ça passe, en écoutant de la musique.
Parmi les nombreux disques que j’ai écoutés, il y en a un que j’ai redécouvert et qui m’a beaucoup plu. Et ça m’a donné l’envie de proposer un article.
Aujourd’hui, presque tout le monde est sur un site de streaming musical (d’autant plus que les abonnements familiaux sont hyper intéressants), le plus usité de ces sites étant Spotify (environ 30% des part du marché, suivi de Deezer à 20% …), les plus audiophiles étant sur QoBuz (bien meilleure qualité de son). Je n’ai pas d’avis tranché sur le principe même des sites de streaming, on sait que ça rapporte peu (même très peu) aux artistes mais on sait aussi que sans eux les artistes disparaissent des radars. Là n’est le sujet de mon article (mais on peut en parler dans la discussion).
Je pense que chacun peut, dans les commentaires de cet article, proposer un disque qu’il a aimé et qu’il aimerait faire écouter aux autres. A chacun ensuite d’aller, s’il en a envie, sur son propre site de streaming et d’écouter ledit disque. Suffit juste de donner le nom de l’artiste et le titre du disque.
Juste une petite règle : chacun ne peut proposer qu’un disque par jour.
Perso, j’écouterai tous les disques proposés.
Je vous donne juste le nom du disque que j’ai aimé alors que j’étais prostré dans mon fauteuil (je n’ai même pas eu le courage de tout le week-end de m’ouvrir une bière), il s’agit de Nina Simone seule au piano, le disque s’intitule juste « Nina Simone and piano » et ça m’a réjouit l’âme (si si !). Aucun des morceaux du disque ne me semble très connu, on est loin des sentiers battus, c’est assez intimiste. Nina Simone y troque parfois son piano contre un orgue électrique. Comme je n’avais pas le courage de me lever pour changer le disque sur la platine (quand je peux j’écoute sur disque plutôt que sur mon site de streaming), je vous explique pas le nombre de fois où je l’ai écouté !
Oui, il s’agissait bien d’un poussin de courlis cendré dans mon dernier article. Merci à Jérôme d’avoir laissé durer le suspense en ne mettant que les initiales de l’oiseau. Et bravo aussi à Fifitoucourt d’avoir identifié l’espèce. Si on m’avait montré cette image, j’aurais sans doute pensé, comme Luc et Christophe, qu’il s’agissait de l’avocette (j’ai souvent vu des jeunes avocettes et je dois dire que ça y ressemblait beaucoup). Etincelle aussi avait trouvé qu’il s’agissait d’un limicole. A noter que j’avais déjà réalisé un premier article sur le courlis cendré en 2016.
Les images du poussin ont été faite sur l’île Texel en mer du nord en mai dernier. Des jeunes poussins ont traversé la route, devant les vélos qui passaient, pour aller se nourrir de l’autre côté dans la prairie humide en face.
A cet endroit, le courlis niche dans la dune et semble très habitué aux vélos qui passent (de toute façon, il n’a pas trop le choix, des vélos passent en permanence). Il n’est donc pas très farouche le long des pistes cyclables.
Le courlis cendré se reproduit dans les dunes de Texel mais les effectifs sont en baisse, comme partout ailleurs.
En période de nidification, il est très actif, on le voit souvent en train de voler …
… notamment lorsque il houspille le busard des roseaux qui est à la recherche de proies faciles, notamment de poussins.
Je pense que ce genre d’observation est quasiment impossible en France, tant la distance de fuite est importante (plusieurs centaines de mètres en France, quelques dizaines seulement en mer du Nord). C’est aussi pour ça que j’aime Texel, on en prend toujours plein les yeux !
Dans un prochain article consacré aux oiseaux de Texel, je vous parlerai du Bruant des roseaux.