Il y a deux ans, j’avais entrepris de raconter ce que Michel et moi-même avions vécu dans un affût permettant d’observer de très près les grues. Celles et ceux qui ne venaient pas sur ce blog à l’époque peuvent consulter les trois premiers numéros de la série (1, 2 et 3) consacrés aux grues elles-mêmes et les deux numéros suivants (4 et 5) consacrés à d’autres observations faites depuis l’affût.
Hier, j’avais du temps et j’ai entrepris de trier mes photos. Vaste programme car j’ai sans doute 20 000 photos en attente de rangement et de tri ! J’ai commencé par trier celles faites ce premier jour de mars 2013 où nous étions restés douze heures d’affilée (de la nuit noire à la nuit tombante, cela fait partie du contrat avec la LPO) dans un affût spécialement conçu pour photographes. Nous avions bravé ce jour-là un froid très humide. Fort heureusement, une petite topette de gnôle amenée par Michel, avait permis de maintenir le corps à bonne température. A la guerre comme à la guerre !