L’ibis sacré

Comme on l’a parfois évoqué sur ce blog, difficile de trancher la question : « faut-il chercher à éliminer les espèces invasives ? ». La question est d’ailleurs souvent sans fondement car lorsqu’une espèce invasive est observée, il est presque toujours trop tard. Lorsqu’on s’est rendu compte des dégâts perpétrés par la coccinelle asiatique en France, il y en avait déjà sans doute des dizaines ou des centaines de milliers dans la nature. Idem pour les plantes. Par contre, pour les oiseaux, l’intervention de l’Homme peut se faire au tout début de l’invasion car un oiseau de grande taille comme l’ouette d’Egypte (espèce invasive dont j’ai déjà parlé sur ce blog) ne passe pas aussi inaperçu qu’un insecte.

J’ai observé récemment en Camargue une autre espèce invasive : l’ibis sacré, le fameux oiseau vénéré des pharaons égyptiens.


On connaît assez bien l’histoire de

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Vautour haut-saônois

Quelle surprise que ce vautour fauve perché sur la maison de nos amis à quelques kilomètres seulement de chez nous ! C’était le 10 février dernier.

(images faites par Y…)

Il s’en passe des choses en haute-Saône, hein ?

Le grimpereau des jardins

Le grimpereau des jardins se détecte surtout à l’ouïe. Mais la fréquence de son chant se situe plutôt dans les aigus. Et il arrive qu’en vieillissant on devienne un peu sourdingue (du côté des aigus justement), c’est un oiseau qui peut donc avoir tendance a disparaître un peu de notre vie. Mais quand les yeux restent bons, il est encore facile de le voir de-ci de-là.

Quelques images de

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Les oiseaux de l’hiver 2017-2018

A chaque début d’hiver j’écris ce même type d’article destiné à ce que chacun raconte ce qu’il se passe autour de son poste de nourrissage pour oiseaux.
Les hivers se suivent et ne se ressemblent pas.
L’an passé, globalement très peu d’oiseaux à la mangeoire.
Cet hiver commence bien différemment. En quelques jours, l’affluence est telle que je me demande si les 250 kg de tournesol que j’ai achetés pourront suffire.

Bien sûr les trois espèces de mésanges habituelles sont là dès le premier jour : charbonnière …

… bleue et

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Sur la route des vautours

Toujours pas de vautours dans cet article qui n’a pour objectif que de vous présenter d’abord la région où s’étend l’une des plus grandes colonies françaises de vautours fauves. Direction donc : les Baronnies, en Drôme Provençale. Remuzat plus exactement

Depuis Nyons, pour accéder à Rémuzat, on suit la vallée formée par

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Intro au monde des vautours

S’il n’y avait eu que des scientifiques pour me transmettre leurs connaissances de la nature, jamais je ne me serais intéressé au monde sauvage. Mais j’ai eu la chance de rencontrer des gens qui étaient des amoureux de la nature, avant d’en être de fins connaisseurs.

La connaissance pure est aride, le monde scientifique emploie un ton distancié et froid qui n’est pas là pour faire des émules (ce n’est pas son rôle d’ailleurs). Par contre, l’amour pour les êtres vivants qu’ont certains est un feu qui se transmet de proche en proche et qui conduit certains d’entre nous (ceux qui avons eu la chance de rencontrer de telles personnes) à vivre quelque chose de fusionnel avec la nature.

Il y a eu Claude-Roland dans ma vie, puis Jean-Yves, Jean-Claude, Jean-Pierre … ils étaient bien plus que des universitaires, ils étaient des « passeurs » qui nous indiquaient un chemin possible. Tout cela s’est passé pour moi à la fin des années 70.

Et si je me suis nourri de ces très belles rencontres, j’ai puisé également beaucoup de choses dans les écrits de très grandes personnes, et notamment de deux grands auteurs suisses. Ces deux auteurs m’ont accompagné toute ma vie.

Si j’ai aimé les textes de Robert Hainard, c’est parce que je sentais, par-delà le connaisseur de terrain qu’il était, l’artiste et l’homme sauvage, l’homme de la forêt primitive, derrière chacun de ses mots.

Si j’ai aimé Paul Géroudet et l’ai autant lu (plusieurs fois chacun de ses livres) c’est parce que je sentais, bien plus que le scientifique qu’il était, le poète derrière chacune de ses phrases.

J’ai souvent fait référence à Paul Géroudet sur ce blog. C’est pourquoi, avant d’écrire quelques articles sur les vautours (suite à une petite escapade en mai dernier dans la Drôme), j’ai eu envie de citer une fois de plus ce grand écrivain. Disons plutôt, pour être honnête, que j’ai eu envie d’écrire un petit préambule sur les milieux naturels dans lesquels vivent les vautours et sur leur rôle dans la nature, que j’ai relu avant cela l’ouvrage de Géroudet consacré aux rapaces et que dans ce livre tout était écrit de manière admirable.

Sur l’habitat commun à toutes les espèces de vautours, voici ce qu’écrivait le grand Paul en 1965 : « Plateaux déserts, croupes dénudées, gorges taillées au vif des montagnes, pierres surchauffées sous la lumière … des ombres immenses glissent lentement sur la terre, de grands oiseaux planent en silence dans un ciel qui semble plus profond … Cette âpreté tragique, ce sauvage romantique d’un Midi presque africain, nous le trouvons encore ça et là, de l’Espagne à la Grèce, dans les contrées les moins peuplées, les plus pauvres, celles surtout dont l’ossature  a été dépouillée par la hache, le feu et la dent du bétail – celles que hantent les vautours. »

Quand au rôle des vautours et la répulsion que nous pouvons avoir vis à vis de ces mangeurs de cadavres, tout est dit dans cette phrase : « Ces rapaces impressionnants sont aussi les plus inoffensifs : ils ne donnent pas la mort, ils la suivent et en effacent les traces ». 

Rendez-vous bientôt pour un premier article sur le vautour fauve.

Les oiseaux du printemps 2017

Cette image faite la semaine dernière en mer du Nord est plutôt pédagogique : l’étourneau sansonnet du milieu est encore en plumage d’hiver alors que ses deux compagnons ont déjà revêtu leur costume de printemps, signe que la saison de reproduction est bien là.

Et cette photo n’est évidemment qu’un prétexte pour qu’on parle sur ce blog de la saison de nidification 2017, en espérant qu’un bon crû va succéder au printemps dernier qui était catastrophique en raison d’une pluviométrie exceptionnelle.

Alors, ça donne quoi chez vous les oiseaux ce printemps ?

Le milan royal … enfin !

Les choses sont assez bizarres et pas toujours explicables. J’avais arrêté presque complètement la photographie animalière et, mis à part mes petites escapades en vacances (Texel, la Bretagne et la Camargue), je n’ai réalisé aucune photo au cours des deux dernières années. Pourquoi avais-je arrêté, je n’en sais trop rien … Et voilà t-y pas que c’est le jour-même où j’ai décidé d’arrêter les articles sur la nature sur mon blog que je me suis remis à la photo.

Et dès que je suis reparti dans mon affût, « la cabane » dont je vous ai souvent parlé, les observations sont reparties avec une intensité que je n’avais pas connue depuis plusieurs dizaines d’années.

Il faut dire qu’il a fait plutôt froid en Franche-Comté, non pas un froid exceptionnel (car ici on a l’habitude que le thermomètre descende en dessous de -10°C, il a même fait -20,7°C à Besançon le 9 janvier 1985) mais un froid qui dure (ce dont on n’avait plus l’habitude, tellement les hivers derniers ont été doux). Cette période de gel a affamé les oiseaux et notamment les rapaces. Au lieu d’avoir comme chaque hiver précédent une ou deux buses (parfois trois) au poste de nourrissage, j’en ai compté jusqu’à neuf. Mais ça, je vous en parlerai plus tard …

Ce dont j’ai envie de parler aujourd’hui, c’est d’une observation exceptionnelle à ce poste de nourrissage : celle du MILAN ROYAL. Et cette fois-ci, pas d’erreur d’identification comme j’avais pu le faire autrefois avec un milan noir !

J’avais dit que je ne referais pas d’articles sur la nature dans l’immédiat. Mais l’envie de partager ces observations m’a rattrapé. Et plusieurs parmi vous ont trouvé dommage que je ne mette pas sur le blog les images du milan royal que je leur avais envoyées par mail. Alors, allons-y !

Et j’ai bien compris le message de Papilio macaron et la pauvreté actuelle de sa revue de presse café du lundi matin … ! :wink:

Et il va y avoir une nouveauté sur ce blog, c’est que dorénavant, en cliquant sur chaque image, vous pourrez l’avoir en meilleure qualité (j’aurais pu le faire plus tôt mais je pensais qu’avec le poids des images mes articles allaient être bien plus longs à ouvrir). Mais attention, ne mettez pas de commentaire sur les photos mais uniquement sur l’article car sinon votre commentaire ne sera pas signalé dans la colonne droite du blog et personne ne le lira.

La scène que je vais relater s’est déroulée en fin de matinée le 17 janvier dernier.

Quelques buses étaient là en train de  festoyer quand soudain le milan royal est arrivé, il est passé assez près des buses.

Malgré sa grande envergure (1,60m environ), le milan royal n’est pas un prédateur puissant, c’est plutôt un chapardeur. Même la buse qui est plutôt un piètre prédateur fait facilement face au milan royal et celui-ci a eu du mal à voler un peu de nourriture malgré son attitude d’intimidation sur la photo précédente.

Alors il s’est posé à quelques mètres des buses, attendant le moment favorable …

Dès que l’occasion se présentait, l’envol était immédiat et le milan venait chaparder un petit morceau de sa pitance.

Il y eut d’autres tentatives au vol, le milan descendant des airs à toute vitesse …

… mais il arriva bien souvent qu’il ne reparte qu’avec une feuille morte entre les serres …

… ou même sans rien.

Depuis ce jour faste, je n’ai pas revu le milan malgré une trentaine d’heures passées depuis dans ma cabane (en général deux heures par jour depuis 15 jours).

Dans un prochain article, mais pas maintenant, je vous parlerai de la visite inhabituelle d’un autre oiseau.

Une journée ordinaire au lac du Der

Le lac du Der, c’est un peu devenu un lieu de pèlerinage. Chaque automne, on y retourne pour y observer la migration des grues. Fin octobre/début novembre, il y en a forcément des dizaines de milliers, quelque soit la date à laquelle on y va. Les journées se passent de manière assez identique, on a les rituels qu’on peut …

Exemple de la journée du 27 octobre 2012 à laquelle participaient Luc et Marie, Dan et Dom, Joëlle et moi.

Comme le réveil des grues est quelque chose de spectaculaire il faut être sur le site de préférence avant le lever du jour.  Quand nous arrivons ce matin-là à 6H45 sur la digue du lac, des fantômes se dressent devant nous. En fait, ce sont des ornithos (Allemands, Belges, Français …) qui sont déjà vissés à leur longue-vue et qui sont déjà là (à tel point qu’on se demande s’ils n’ont pas couché là sur la digue).

1Les premières images sont floues. Est-ce le manque de lumière ou les vapeurs de la bière bue au soir qui nous jouent encore des tours ?

Toujours est-il qu’on avait bu de la chimay bleue, ce qui fait que tout ce début de matinée sera placé sous le signe de la couleur bleue …

2Les grues sont là, immobiles, elles

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Bretagne brumeuse

Je suis tellement habitué à avoir du beau temps en Bretagne (si si !) que ce matin-là, lorsque je me suis réveillé dans le brouillard, j’ai pensé que c’était une blague, qu’il s’agissait là de brumes liées à la bière bue la veille.  Mais non, pendant trois jours (les 7, 8 et 9 juin derniers), il y a eu ce qu’on appelle de « la brume de mer ». On était au Cap Fréhel. A quelques kilomètres de la mer il faisait un grand soleil mais au bord du rivage c’était très bouché. La brume semblait parfois se lever et on pensait que le soleil était sur le point de percer …

1… mais non, quelques minutes plus

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Le pingouin torda (2)

Ah que ça fait du bien d’être en vacances (bien qu’on puisse se demander ce que le mot « vacances » signifie pour un retraité), de quitter l’actualité politique et la bande de pingouins à notre tête pour aller en Bretagne retrouver une autre bande de pingouins, plus authentique celle-là … et surtout infiniment plus sympathique.

Après les tordus, les tordas donc ! (comme l’a déjà dit Yves, qui se tordit de rire, en commentaire sur mon premier article sur le sujet).

1Rappelons tout d’abord que les

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La mouette tridactyle

Je parlerai dans les temps qui viennent de quelques oiseaux de mer. Attention, goélands, mouettes rieuses, bécasseaux, gravelots … ne font pas partie des oiseaux marins, ce sont des oiseaux de littoral (la nuance est importante) dont l’activité se limite bien souvent à la zone de battement des marées. Les oiseaux de mer sont ceux qui passent leur temps en mer, souvent très loin du littoral, et qui ne reviennent sur les côtes qu’une fois par an (à partir de l’âge adulte seulement) pour construire leur nid.

Avec les guillemots, les pingouins, les fulmars et quelques autres, la mouette tridactyle fait partie de ce petit club privilégié des oiseaux de mer. Rien à voir donc avec la mouette rieuse que tout le monde connaît, qui est un oiseau de rivage (et même parfois des étangs d’eau douce), et dont les moeurs sont complètement différentes.

Les marins au long cours connaissent bien la mouette tridactyle qui sillonne tout l’Atlantique nord et qui en général se montre peu farouche envers l’Homme (à noter que ce caractère peu farouche est inné chez la tridactyle, contrairement aux mouettes rieuses et aux goélands, plus sauvages au départ mais qui ont été progressivement « apprivoisés » en quelque sorte par l’Homme au fil du temps).

1C’est en Bretagne du Nord que

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Le pipit farlouse

La famille des pipits pose souvent des problèmes d’identification comme on l’a vu dans l’un de mes précédents articles. Il faut souvent croiser plusieurs critères (la couleur des pattes, la longueur de l’ongle postérieur, le chant …) pour déterminer avec certitude l’espèce que l’on observe.

Lors de mon dernier séjour en Bretagne (la semaine dernière), c’est en arrivant sur le parking du phare du cap Fréhel que j’ai vu et entendu le premier pipit de mon séjour.

1 2Il s’agissait du pipit farlouse, reconnaissable à

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Goélands prédateurs

Tiens, un sujet dont on a très peu parlé sur ce blog : la régulation des populations animales (ou végétales).
Je reviens du cap Fréhel. En décimant oeufs et jeunes, les goélands font des ravages dans les nids de guillemots, de pingouins, de fulmars, de mouettes tridactyles …

IMGP5939D’une manière générale, je suis pour le fait de laisser les choses se faire. La nature finit souvent par trouver un équilibre.
Mais il me semble qu’il y a dans l’exemple du goéland deux choses à prendre en considération. D’abord le fait que le goéland est en grande partie responsable de la destruction d’espèces dont les effectifs sont désormais réduits à quasiment rien en France : guillemots, pingouins, fulmars, sternes (dont la très rare sterne de Dougall). Ensuite le fait que ce sont les activités humaines (société qui produit énormément de déchets) qui favorisent le développement rapide des populations de goélands et qu’on peut se poser la question d’une intervention de l’Homme lui-même pour essayer de remédier à la situation.
Cela dit, je reste plutôt partisan du non-interventionnisme. Mais les arguments des uns et des autres méritent d’être développés sur ce blog. Alors, qu’en pensez-vous ?

La puissance de l’autour

Nos amis Estoniens, spécialistes des webcams braquées sur les nids de rapaces, nous offrent depuis ce printemps une très grande nouveauté : le nid de l’autour des palombes.
Peut-être que certains d’entre vous ont eu la chance de le voir sur leur écran en train de nourrir ses jeunes les jours derniers.

autour1Celles et ceux qui connaissent un peu les oiseaux savent que ce rapace, devenu assez rare, est un puissant prédateur. Dupdup en sait quelque chose, il l’a vu en train de dévorer … la plus belle de ses poules.

Si je fais cet article aujourd’hui c’est un peu pour rappeler la webcam qui lui est consacrée et en dire un peu plus sur le régime alimentaire de cet oiseau protégé. Et puis j’aimerais, une fois de plus, inciter les lecteurs de ce blog à lire (ou relire) les ouvrages de Paul Géroudet, la collection de ces ouvrages me semblant être « la bible de l’ornitho » (tout du moins pour les ouvrages de langue française).

Dans son ouvrage, Géroudet nous livre les résultats d’une étude faite par Uttendoerfer et parue en 1952. Uttendoerfer est un grand monsieur, son nom est célèbre dans le monde ornitho.  Il a analysé les régimes alimentaires des rapaces grâce aux restes de proies trouvés notamment dans les pelotes de réjection. L’autour devait être fréquent à l’époque car Uttendoerfer a pu analyser le contenu de 317 aires d’autour (vous imaginez le travail !).

Et qu’a t-il trouvé ? La liste est édifiante. Voyons d’abord les mammifères : les restes de 713 bestioles (18 espèces) dont 259 écureuils, 201 lièvres, 162 lapins de garenne, 52 campagnols et même un jeune renard. Et 8 309 oiseaux appartenant à 123 espèces différentes : geais (1 485), pigeons domestiques (1 425), perdrix grises (880), pigeons ramiers (712), étourneaux (482), grives musiciennes (335), corneilles noires (326), 99 poules, etc…

Evidemment, on savait que l’autour est surtout un chasseur d’oiseaux de taille moyenne. Mais la suite de la liste est étonnante : 113 faucons crécerelles, 87 éperviers, 16 buses, 179 hiboux moyen-ducs, 46 chouettes hulottes, 42 hiboux des marais, 46 canards colverts … et même 2 hérons cendrés. Paul Géroudet cite aussi des attaques sur des grands tétras. La femelle d’autour étant bien plus puissante que le mâle, toutes ces attaques sur de gros oiseaux sont sans aucun doute de son fait.

Donc le rapace que les Estoniens nous proposent de suivre cette année, c’est pas n’importe qui … !

Voici deux vidéos de cet oiseau trouvées sur youtube :

Et si on s’amusait à identifier les proies qu’amène l’autour estonien sur son nid ? Mais je vous préviens, les proies ne sont amenées sur l’aire que trois ou quatre fois par jour.

Un 29 mai au cap Fréhel (4)

Il est très probable que j’aille de nouveau au cap Fréhel cette année. J’espère revenir de ce coin de Bretagne avec une belle moisson d’images. Il me reste d’ici là à publier sur ce blog d’autres photos réalisées il y a quelques années, le 29 mai 2011. C’était un jour faste pour moi, il y avait beaucoup d’oiseaux et j’en ai ramené plein de choses, malgré des conditions lumineuses très changeantes au cours de la journée.

1Cet article est avant tout consacré à

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