Lors d’un précédent article j’avais parlé de l’hirondelle rustique photographiée notamment chez Luc en Belgique cet été. Ce jour-là (c’était le 18 août), il y avait beaucoup d’hirondelles et on sentait que le départ en migration était imminent.
Oiseaux
Nos amis à plumes
L’hirondelle rustique
Le guêpier d’Europe (suite et fin)
D’ici quelques jours, ils seront là ! Sans doute que les premiers guêpiers sont même déjà arrivés dans la vallée du Doubs et peut-être aussi dans la vallée de l’Ognon où quelques couples se sont installés les années passées.
A l’heure où ce blog s’arrête, j’aimerais terminer cette belle aventure avec de la couleur. Beaucoup de couleurs. Et nul autre oiseau que le guêpier d’Europe ne peut nous offrir un tel feu d’artifice. Alors, en complément au premier article que j’avais écrit l’an passé, voici une petite série d’images consacrées au guêpier d’Europe.
Oiseaux du Mexique (2)
Vous aviez été très bons lorsque vous aviez déterminé les cinq premières espèces d’oiseaux que Sylvain a photographiées au Mexique (voir ici le précédent article).
Mais là, je crois que cela va être bien plus difficile. D’autant plus que le blog s’arrête et que j’ai mis le paquet : 16 photos !
Le grèbe huppé (2)
En complément à mon article de l’an passé consacré au grèbe huppé, juste une image de cet oiseau réalisé sur un étang de la Brenne.
En direct de la nature estonienne (5)
Il y a du nouveau du côté du site web de nos amis Estoniens. Non seulement la cigogne noire qui avait abandonné son nid en 2009 et qui n’était pas revenue en 2010 s’est enfin décidée à nicher mais en plus il y a cette année deux nids équipés chacun d’une webcam.
En cliquant ici, on peut se rendre sur le site estonien, version anglaise. Il suffit ensuite d’aller dans la colonne de gauche à la rubrique Black stork camera puis de cliquer sur Direct stream pour une observation en direct et sur Stork TV pour visionner une sélection des meilleures scènes. Voici l’une de ces scènes …
… ainsi que l’accouplement entre Tiina et
Oiseaux du Mexique (1)
Dupdup Junior est au Mexique. Il vient d’envoyer quelques images de bêtes à plumes qu’il a faites là-bas sur la côte Ouest, côté Pacifique. Mais voilà-t-y pas que Dupdup Père a la flemme de les identifier. Et voilà-t-y pas que certains d’entre vous se piquent au jeu dès qu’il y a un animal à déterminer. Alors, Etincelle & Co vont-ils pouvoir mettre un nom sur chacune de ces bestioles ?
Alerte chez les cormorans de la Loue
Les journaux en parlent depuis plusieurs mois : la Loue, l’une des plus belles et meilleures rivières de 1ère catégorie de toute l’Europe est mourante, voire morte. Les quantités de poissons ont chuté de 80 à 90%. Les oiseaux sont évidemment atteints : diminution des martins-pêcheurs, des cincles, des hérons cendrés… Les grands cormorans subsistent ça et là mais leur état est déplorable. On a signalé la présence de certains d’entre eux au ventre gonflé et aux ailes en partie atrophiées. Une petite balade effectuée dimanche à Ornans me l’a confirmé : les grands cormorans ne sont vraiment pas en forme.
Alors : métaux lourds ? cyanobactéries ? pyralène ? … Beaucoup d’hypothèses sont permises.
Le cul dans un fauteuil (4)
Evidemment, malgré ce qui a été raconté dans un précédent article, tous les rouges-queues noirs ne nichent pas dans des tracteurs ! Certains ont des habitats plus classiques, en milieu rocheux par exemple (leur habitat d’origine) mais aussi et surtout au niveau des habitations humaines : dans le trou d’un mur, un vieux nid d’hirondelle rustique, sur une poutre …
Le couple qui niche autour de la maison n’est pas encore revenu de son petit voyage (« petit » voyage, car le rouge-queue noir n’est pas un grand migrateur, il passe l’hiver autour du bassin méditerranéen) et je l’attends avec impatience.
Cela me fait penser que je ne vous ai pas fait part des photos réalisées l’an passé avec le même système de déclenchement à distance dont je vous ai déjà entretenu plusieurs fois (voir ici le premier article sur le sujet qui donne quelques précisions techniques). Une fois de plus, c’est donc « le cul dans un fauteuil » que j’appuyais sur le déclencheur, parfois même entre deux verres d’apéros … car c’est dans un vieux nichoir en bois suspendu devant la fenêtre de la cuisine, à deux mètres de notre table, que le rouge-queue a choisi de construire son nid.
Le cul dans un fauteuil (3)
J’ai déjà parlé lors d’articles précédents de la technique de prises de vue « à distance » (le cul dans un fauteuil) qui me permet de photographier les oiseaux à l’extérieur en déclenchant depuis l’intérieur de ma maison. Mon premier article avait été consacré au pic épeiche. Cet oiseau a pris l’habitude de venir prendre des graines de tournesol et d’aller les décortiquer à sa « forge », dans la crevasse d’une écorce d’un vieux pommier toujours au même endroit.
Coup de chance : un autre oiseau, beaucoup plus rare à la mangeoire, procède de la même manière et vient décortiquer ses graines exactement au même endroit que le pic épeiche. Il s’agit du pic mar.
La mésange à longue-queue
Il y a des oiseaux « maudits » que je ne suis jamais arrivé à photographier en trente ans. La mésange à longue-que figure parmi ceux-ci. Et puis miracle – comme quoi tout finit par arriver au moment où on l’attend le moins -la mésange à longue-queue est venue les jours derniers sur une boule de graisse suspendue devant la fenêtre du bureau.
L’occasion pour moi de réaliser quelques photos dans des conditions extrêmement faciles : j’ouvre la fenêtre et il me suffit
Les grues cendrées au lac du Der (2)
Les nombreuses bières belges bues la veille au soir ne nous avaient pas empêchés d’être au bord du lac dès 6H45 du matin. Nous étions donc là, Johanna, Jean-François, Dan, Dom, Luc, Joëlle et moi, pour admirer un spectacle magnifique, celui du lever des grues.
La lumière était bleutée ce matin-là. Les grues se levaient pas groupes de plusieurs centaines et partaient avec vacarme en direction des
Le cul dans un fauteuil (2)
Le fulmar boréal
C’est encore au Cap Fréhel que nous allons aujourd’hui (avec des photos prises dans de mauvaises conditions, désolé pour la qualité moyenne des clichés !). C’est là que nous découvrons un oiseau étonnant : le fulmar boréal (que l’on appelait encore pétrel fulmar il y a peu de temps encore).
Etonnant, l’oiseau l’est d’abord par son vol. On a souvent l’impression d’une
Le cul dans un fauteuil (1)
J’avais déjà parlé sur ce blog de la manière dont il m’arrive parfois de faire des photos de renard, d’écureuil, de chevreuil, de pic noir ou de mulot à travers la vitre de la fenêtre de la cuisine. Pas très courageux le Dupdup, il ne sort même plus de chez lui !
Hé bien, l’âge venant, je vais encore plus loin sur le chemin du confort et de la fainéantise. Il m’arrive maintenant de rester assis dans mon fauteuil, à l’intérieur de la maison, et de faire mes photos « à distance ».
Le principe est simple : l’appareil photo est dehors, braqué sur un endroit précis où l’animal que je cherche à photographier est censé venir.
Le guillemot de Troïl
Après avoir parlé il y a quelques mois du macareux moine (cliquer ici pour accéder à l’article), voici une autre oiseau de la famille des alcidés : le guillemot de Troïl, proche parent des pingouins.
La mésange bleue
Le geai des chênes (1)
J’ai passé une partie de cette semaine de congés dans mon petit affût délabré en lisière de forêt. En compagnie des buses surtout – celles-ci ont toujours été au rendez-vous, même de justesse (n’est-ce pas Dan ?) – mais aussi de celle des geais. Il étaient toujours là, même au petit jour dans la grisaille du matin.