Humour

La Bonne dit à son Curé : Monsieur le Curé, Notre vin de messe est arrivé !
Le Curé répond : Marie, ce n’est pas NOTRE vin de messe puisque tu n’as pas le droit  d’en boire, tu dois donc dire VOTRE vin de messe. Compris ?

Le lendemain matin, Marie dit à son Curé : Monsieur le Curé, VOTRE bois de chauffage est arrivé ! Le Curé dit : « Marie, tu dois dire NOTRE bois de chauffage puisque nous nous en servons tous les 2 ! As-tu compris cette fois ? Oui, dit Marie.

Est-ce tout pour aujourd’hui Marie ? Non , répond la Bonne, Monsieur le Curé, VOTRE braguette est ouverte, et NOTRE quéquette est sortie…..

Humour

Le corbeau sur un arbre perché
Ne foutait rien de la journée.
Le lapin voyant le corbeau
L’interpella et lui dit aussitôt:
Moi aussi, comme toi, puis je m’asseoir
Et ne rien foutre du matin jusqu’au soir?
Le corbeau lui répondit de sa branche:
Bien sûr, ami à la queue blanche,
Dans l’herbe verte tu peux te coucher
Et ainsi de la vie profiter.
Blanc lapin s’assit alors par terre,
Et sous l’arbre resta à ne rien faire,
Tant et si bien qu’un renard affamé,
Voyant ainsi le lapin somnoler,
S’approcha du rongeur en silence,
Et d’une bouchée en fit sa pitance

Moralité : Pour rester assis à ne rien branler
Il vaut mieux être très haut placé…

Avec ou sans élan ?

Etincelle a fait un petit voyage en septembre dernier au pays des élans. Elle en a rapporté de belles images dont elle a fait quelques beaux diaporamas disponibles sur youtube.

Voir ici les

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Humour

Transmis par Luc
Scène désolante de racisme en Belgique.
Reconduite à la frontière d’un clandestin français par deux policiers flamands.

… le Français avait pourtant fait un effort d’adaptation !

Guerre des sexes (1)

Histoire de rire un peu et de donner un peu de piment à ce blog, moi qui suis pour la paix entre les sexes, j’organise deux petits concours :

– le premier n’est réservé qu’aux mecs. Ce sera à celui qui fait le texte le plus drôle sur le thème suivant : « le sac à main d’une nana » !

– le deuxième est exclusivement réservé aux filles, le thème en sera : « un mec devant son match de foot à la télé » !

Merci de m’envoyer vos textes par mails, ils seront publiés vendredi prochain (il suffit de laisser un commentaire pour que j’aie vos coordonnées et que je puisse ensuite vous communiquer mon adresse électronique).

Allez, à vos plumes ! (je sens qu’on va bien se marrer !).

Humour et politique

C’est Eva Joly qui vient de remporter le « prix Press club humour et politique 2010 » pour sa formule : « Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l’ai mis en examen. » Ce prix est décerné tous les ans par un jury de journalistes et d’humoristes, il récompense des propos volontairement ou involontairement drôles d’une personnalité politique.

Professions en crise !

Avec cette crise,  tout le monde souffre :

Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault,  la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.
A EDF, les syndicats sont sous tension.
Coup de sang à l’usine Tampax.
Les bouchers veulent défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce  : ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs, c’est la tuile.
Les  faïenciers en ont ras le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d’occuper les locos : ils veulent conserver leur train de  vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de  vivre au jour le jour.
Les pédicures  doivent travailler d’arrache-pied.
Les  ambulanciers ruent dans les brancards.
Les  pêcheurs haussent le ton.
Les prostituées sont dans une mauvaise passe.
Sans oublier les imprimeurs qui sont déprimés et les cafetiers qui trinquent,
Les carillonneurs qui ont le bourdon,
Les électriciens en résistance,
Et les dessinateurs qui font grise mine …

Je suis sûr qu’entre tous les blogueurs du blogadupdup, on pourrait compléter cette liste, non ?

« Sécurité », vous avez dit « sécurité » ?

Le risque zéro, on en crève (voir ici un article que j’avais écrit il y a quatre ans sur le sujet). Dans l’association où je travaille, on est dans l’obligation de mettre en place un plan sécurité (Document Unique de Prévention des Risques). Ceux qui l’ont déjà fait dans d’autres boîtes sont unanimes pour dire que ce plan frise le ridicule. Ainsi va-t-il falloir par exemple que, pour me couvrir, j’écrive noir sur blanc aux animateurs que quand ils se déplacent, ils doivent respecter … le code de la route ! Mais j’écrirai un article sur ce sujet quand je me serai attelé à la mise en place de ce plan. Nul doute que je rangerai alors l’article dans la catégorie « humour ».

Lorsque nous sommes allés observer les vautours fauves au printemps dernier en Lozère, Joëlle et moi étions hébergés dans un petit village de vacances VVV. Pas génial. Mais pas cher du tout.

Dans le coin salon minuscule, il y avait des consignes de sécurité expliquant comment éteindre le feu avec l’extincteur. Le panneau est assez explicite (même si on se demande pourquoi il faut se baisser au niveau du sol alors que, si on suit l’ordre des phrases du panneau, vous avez déjà attaqué le feu au préalable).


Imaginons qu’il y ait réellement le feu (ça peut arriver, non ?). Qu’est-ce que je fais ? Ou plutôt qu’est-ce que Joëlle et moi faisons ? Bêtes et disciplinés, nous suivons d’abord les consignes. Nous cherchons donc d’abord l’extincteur. Bon Dieu, il est où ?

Constatant vite que l’extincteur n’est pas dans la salon près du panneau, nous nous partageons les rôles. Comme il y déjà de la fumée qui s’épaissit au fil de secondes qui passent, Joëlle part en rampant à la recherche de l’extincteur dans la chambre n°1 tandis que moi je rampe en direction de la chambre n°2. L’extincteur n’est ni dans l’une ni dans l’autre. Un peu paniqués, nous nous retrouvons l’un et l’autre, les mains vides, dans le couloir.

Nous ne sommes plus très loin de la porte de sortie. Joëlle suffoque. Je rampe encore deux mètres et j’ouvre la porte (qui n’est même pas pourvue de serrure au ras du sol – j’hallucine ! – faudra que j’en parle au gardien !). Joëlle se glisse dans l’ouverture. Il était temps, j’avais une godasse qui commençait à cramer et Joëlle subissait une début d’épilation naturelle grâce aux petites flammèches qui lui couraient le long des jambes.

Et enfin à l’air libre, sains et saufs, nous nous frottons les yeux, nous les écarquillons. Et là, que voyons-nous dehors, pour notre plus grand bonheur ? Un extincteur accroché au mur extérieur !