Petit dimanche musical (17)

Continuons donc ce petit dimanche musical qui devrait se prolonger encore quelques semaines (quelques mois ?) car vous avez toujours de bien belles choses à nous faire découvrir. La première vidéo nous est proposée par Christophe, il s’agit de Guaranteed de Eddie Vedder :

Et la musique continue avec la fanfare Ciocarlia (Sylvain), Bonnie & Clyde de Serge Gainsbourg (Oetincelleo), Cordoba de Isaac Albeniz (Steph), Music for a while de Purcell (Joëlle), The turn of the century de Yes (BF15), Lift me up de Moby (Fred D), Sunny afternoon des Kinks (Anne) et Desolation Row de Bob Dylan (moi-même). Bon dimanche en musique.

Erreur de boîte aux lettres

C’est demain le deuxième tour des municipales. Hier, une dame du village d’à côté a distribué un tract électoral dans ma boîte aux lettres. Je veux bien voter pour elle. Sauf que je n’habite pas Boulot mais Bussières. Je souhaite de tout coeur à cette personne d’être élue … au moins pour qu’elle ait l’occasion, pendant son mandat, d’apprendre à connaître les limites de sa commune.

Nouvelles images d’écureuil

Depuis plusieurs années, les écureuils du voisinage se donnent tous rendez-vous à la maison Dupdup. Ce matin, d’eux d’entre eux étaient en train de rechercher des noix qu’ils avaient enterrées dans le sol (pour rappel : voir l’article de mai 2006 dans lequel j’avais déjà relaté ce comportement). Depuis ce début d’année, les écureuils (habillés de neuf suite aux soldes) restent attablés plusieurs heures chaque matin à ma mangeoire, se délectant de noix, noisettes et graines de tournesol. Voici deux photos qu’a réalisées Boris (alias « le Russe ») lors d’un petit week-end passé à la maison il y a quinze jours.

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Quand nous bouffons de la merde !

Je suis intimement persuadé que notre mode de vie moderne, et notamment notre mode d’alimentation, constitue, d’un point de vue de la santé, une véritable bombe à retardement et que nous n’en mesurerons les effets réels que dans plusieurs décennies.

Jusqu’à présent, je savais qu’en mangeant de la nourriture achetée dans les magasins les plus classiques, on ingurgitait des centaines de molécules chimiques de synthèse et qu’on se s’empoisonnait à petit feu. Tout le monde sait cela aujourd’hui, il faut vraiment se voiler volontairement la face pour ne pas être au courant. Mais je ne pensais pas que les grandes surfaces pouvaient contraindre le consommateur moyen, innocent, à manger de la viande pourrie à son insu. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Regardez le reportage suivant si vous avez le courage d’aller jusqu’au bout.

Il y a un autre reportage qu’il ne faut pas louper – mais probablement le savez-vous, vu le nombre de mails qui a circulé – c’est « le monde selon Monsanto, de la dioxine aux OGM, une multinationale qui vous veut du bien » qui passe demain soir mardi 11 mars à 21H sur Arte. Il paraît que ce reportage, lui aussi, est édifiant … !

En compagnie de Léo Ferré (1)

Je n’ai pas eu le temps de préparer votre « petit dimanche musical » habituel. Avec l’arrivée des beaux jours et les travaux de jardinage qui battent leur plein (soixante arbres fruitiers à tailler + la vigne + le travail du sol + …), je dois avouer que j’ai beaucoup moins de temps à consacrer à ce blog.

Mais, en vous proposant une petite séquence de Léo Ferré, ce dimanche restera tout de même musical.

Si je ne devais conserver qu’un seul chanteur dans ma discothèque, ce serait incontestablement Léo Ferré pour qui je nourris une admiration sans bornes. Je suis un inconditionnel de cet artiste. J’aime son style d’écriture, son inspiration, sa voix, sa manière d’interpréter les grands poètes, sa révolte…

Voici une première vidéo, filmée dans les années 75, époque à laquelle Ferré s’accompagnait volontiers d’un orchestre symphonique. Avec ce Requiem, c’est, une fois de plus, du grand Ferré.

La teigne du poireau n’aime pas le poivre

LE COIN DU JARDINIER (28)
J’aime bien les petites astuces que connaissent les jardiniers. Il en existe des tas qui sont, pour beaucoup, vouées à disparaître. Car la mémoire collective orale, qui se transmet de bouche à oreille, fout le camp et beaucoup de savoir-faire disparaissent ainsi progressivement.

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Le ver du poireau est une plaie. Pour s’en débarrasser il existe plusieurs méthodes, notamment celle qui consiste à jardiner en mélange carottes et poireaux. Chaque plante tire alors de cette cohabitation un bénéfice réciproque : le poireau éloigne la mouche de la carotte et la carotte éloigne le ver du poireau. Je n’ai pas testé cette méthode, ne semant pas ces plantes aux mêmes époques mais il semblerait que son efficacité soit toute relative.

Les vieux de mon village trempent les racines de leurs poireaux dans de l’eau légèrement javellisée avant de les repiquer et il semblerait que ce soit assez efficace.

Le ver du poireau étant en fait une chenille (la chenille d’un papillon appelé « teigne »), on pourra empêcher le papillon adulte de venir pondre ses oeufs en plaçant un voile de forçage sur les poireaux lors de leur repiquage. C’est probablement la méthode la plus efficace qui soit connue.

Mon ami Robert utilise quant à lui une méthode inédite et très originale : il met trois grains de poivre dans chacun des trous juste avant le repiquage du poireau. L’odeur du poivre serait-elle suffisamment forte pour empêcher les papillons de venir pondre ? Ou les papilles de chenilles seraient-elles beaucoup trop délicates pour supporter le goût du poivre ? Je n’ai pas la réponse précise mais comme cette méthode semble très bien marcher, je vais m’empresser de l’appliquer dès ce printemps … !

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(ma récolte de ce matin)

Un oeil tourné vers les élections américaines (1)

Aux Etats-Unis, la course à l’investiture démocrate continue donc, grâce au rebond d’Hillary Clinton. Les Républicains américains n’ont jamais eu bonne presse en France, même chez les électeurs de droite, probablement à cause de leur politique étrangère et je ne vais froisser personne sur ce blog en disant que ces derniers n’ont pas ma faveur.

Je ne me suis jamais passionné pour ce qui se passait au niveau politique outre-Atlantique, bien qu’étant persuadé que le résultat des élections américaines peut avoir de grosses répercussions sur le reste du monde.

Cette fois-ci, je suis de très près ce qui se passe. L’idée d’avoir un président femme ou un président de couleur me séduit fortement. Bien entendu, ce n’est pas parce qu’Hillary Clinton est une femme qu’elle est meilleure en politique (quoique, ça mérite débat …) mais je crois à la valeur des symboles.

A y regarder de plus près, il n’y a pas de différence fondamentale entre les programmes des deux candidats démocrates (si ce n’est un plan de couverture maladie universelle qu’Hillary Clinton espère bien imposer à une Amérique qui crève aussi, ne l’oublions pas, sous son nombre de pauvres). Pourtant, j’ai une nette préférence pour Obama. Pas à cause de ses qualités exceptionnelles (intelligence, éloquence et charisme) mais bien à cause du symbole que représenterait son élection.

D’un point de vue politique intérieure, la victoire d’un candidat de couleur permettrait aux Etats-Unis de se réconcilier avec leur triste passé : passé ancien (esclavage, ségrégation) et passé récent (le triste épisode des noirs de la Nouvelle Orléans livrés à eux-mêmes lors de l’inondation de la ville).

D’un point de vue politique extérieure, il est certain que la victoire de Barack Obama redonnerait du baume au coeur à tous ceux qui croulent sous le joug impérialiste américain, et pas seulement au Proche-Orient. Cet homme, né d’un père Kenyan et ayant vécu en Indonésie, symbolise aux yeux du monde, comme le rappelle le journal Le Monde, « l’internationalisme, le dialogue, le métissage », alors que Bush est le triste symbole « de l’unilatéralisme, du nationalisme et de l’arrogance ». Bien sûr, on pense à l’Irak qui est en toile de fond de cette élection … Mais on pense aussi, d’une manière plus générale, aux relations qu’entretiennent les Etats-Unis avec la plupart des pays (il est difficile d’ailleurs de reconnaître un seul succès international à Georges Bush au cours de ses deux mandats, la force primant toujours sur la diplomatie).

Le résultat de l’élection prochaine peut-être un événement à la hauteur de ce qu’ont été l’abolition de l’esclavage et la lutte pour les droits civiques. Difficile de ne pas faire le parallèle entre Barack Obama et Martin Luther King. En espérant toutefois que la fin soit plus heureuse …

Du changement dans l’air (4)

La saison avance à grand pas et chaque jour apporte son lot de nouveautés.

Mercredi 27 février, les bergeronnettes des ruisseaux étaient déjà en train de visiter des cavités pour construire leur nid.

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Jeudi 28 février, j’observais le premier bruant des roseaux et le premier rouge-queue noir fraîchement arrivés du Sud.

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Samedi 1er mars, cinq bergeronnettes grises suivaient le tracteur de mon frère à la recherche de quelques petites bestioles retournées par le soc de la charrue.

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Tiens, il manque à mon tableau le tarier pâtre que je n’ai pas encore remarqué mais qui devrait déjà être revenu. Il était pourtant au bord de la mer du nord à Texel il y a trois semaines …

Et vous, vous avez remarqué d’autres changements ?

Petit dimanche musical (16)

Cette seizième édition du petit dimanche musical commence avec une vidéo de Richard Galliano et Tangaria Quartet qui nous est proposée par Sylvain :

Et la musique continue avec Bettye Lavette (choix de Anne), Serge Reggiani (choix de Christophe), El Choclo interprété par Roland Dyens (Steph), Georges Moustaki (Joëlle), No quarter de Led Zeppelin (BF 15) Smells like teen spirit de Nirvana (Fred D), Gato Barbieri (Oetincelleo), La maudite guerre de Zachary Richard (Robert) et Otis Redding au festival de Monterey (moi-même). Bon dimanche à tous.

Les âneries de Pierre Louki (2)

« Il y avait cinq étages
Et pas d’ascenseur.
Il franchit le premier étage sans trop de peine.
Le deuxième étage lui parut déjà plus difficile.
Durant l’ascension du troisième étage, il sentit de multiples douleurs.
Il souffrit terriblement pour gravir le quatrième étage.
L’escalade du cinquième étage fut un véritable martyre.
Alors
Désirant retrouver le bien-être,
Il décida de refaire le chemin en sens inverse
Immédiatement
Et il sauta par la fenêtre.

Mais ce fut le rez-de-chaussée le plus dur. »

(Pierre Louki, extrait de « Âneries », 1998)

Entendu hier à Besançon

La dernière blague qui court à Besançon, paraît-il : « En cas de fin du monde, mieux vaudra habiter en Haute-Saône … vu qu’ils ont un siècle de retard ».

Retrouvailles photographiques (3)

Je continue l’exploration de mes diapos retrouvées au fond d’un placard, longtemps après les avoir perdues. Je viens juste de retrouver mes diapos de chien viverrin, photographié au zoo de Gramat dans le parc des Causses.

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Je me rappelle qu’en 1998, Christian M……, membre de la FRAPNA, était venu me demander si le chien viverrin existait dans la vallée de l’Ognon car il avait trouvé en forêt une touffe de poils qu’il avait identifiée comme appartenant à cette espèce. Je connaissais vaguement le nom de chien viverrin mais sans plus. Mais voilà qu’à ma grande surprise, après avoir cherché à me renseigner sur la bête en question, j’apprends que la Fédération de chasse de Haute-Saône a fait empailler de jeunes chiens viverrins tués à la suite d’une destruction de terriers de renards. Cet animal est donc bien présent en Haute-Saône.

En farfouillant dans la bibliographie, j’apprends l’histoire de cet animal et son arrivée récente en Europe occidentale. Le chien viverrin est un animal sauvage de l’Est asiatique (Mandchourie, Chine et Japon). En 1928, il a été importé et lâché dans la nature à l’Est de Moscou en raison de la valeur de sa peau. Dans les décennies qui ont suivi, le chien viverrin a commencé de s’étendre vers l’Ouest. Il a été présent très tôt en Allemagne et c’est en 1982 que la première observation ont a lieu en France (dans l’Aisne). Cet animal est très discret, nocturne, ne vit que de peu de choses (des petites bestioles en général, un peu comme le blaireau mais se contente parfois de simples racines, de baies, de champignons et même de charognes), son observation est très difficile.

Quelques mois plus tard, on était en avril 98, deux observations fugitives me font penser au chien viverrin. La première concernait un petit animal sombre entr’aperçu à la tombée de la nuit dans la forêt de Brussey, la deuxième le même genre d’animal observé en fin de journée dans un coin humide de la forêt de Ruffey-le-Château. Les deux observations ne correspondaient à aucun animal connu pour moi. Cela aurait pu être le chien viverrin mais cela aurait pu être aussi un autre animal.

C’était donc pour me faire une idée précise de l’aspect de cet animal que j’étais allé au zoo de Gramat dans le parc des Causses (à l’occasion d’un petit séjour dans ce secteur). J’en garde le souvenir d’un animal très doux et très calme et je l’ai d’ailleurs touché à travers le grillage sans qu’il réagisse. Mais cela ne m’a pas aidé à déterminer si oui ou non j’avais réellement vu cet animal dans la nature. Le doute subsistera toujours.

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Maintenant que je connais à peine mieux ce « raccoon-dog » (nom donné en raison d’une certaine ressemblance avec le raton-laveur), j’espère être capable de l’identifier si par bonheur il venait à croiser mon chemin lors de mes balades forestières crépusculaires.

Petit dimanche musical (15)

Quinzième édition de ce petit dimanche musical qui commence avec Mon amie la Rose, une vidéo de Françoise Hardy qui nous est proposée par Oetincelleo :

Et la musique continue avec Heart of Gold de Neil Young (choix de Joëlle), Django Reinhardt et Stéphane Grappelli (Sylvain), Bo Diddley (Anne), Speed King de Deep Purple (BF15), les Ramones (Christophe), Said the spider to the fly de The Paper Chase (Steph), Jacob’s Dream de Alison Krauss (Robert), The Corrs (Fred D) et Sunshine of your love de Cream (1969) (moi-même). Bon dimanche à tous.

Retour de Texel

OISEAUX DE TEXEL (5)
Déjà cinq jours que Gaby, Guy, Christophe et moi sommes revenus de Texel en mer du Nord. C’était mon quinzième ou seizième voyage sur cette île. Une fois de plus, j’en reviens la tête pleine d’images. Enchanté par des tas de choses. Je dois dire que j’aime tout sur cette île : le vent sur le visage, les ambiances de lumières, la chaleur des bars, le calme des habitants, les maisons venant tout droit d’un conte de fées (je m’attends toujours à en voir sortir Blanche-Neige et ses sept nains), le regard paisible des moutons et même le cri des mouettes que d’autres trouveraient insupportables. Et il y a évidemment les oiseaux qui sont partout, en toutes saisons.

 

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L’observation des oiseaux hivernants était le but de ce court voyage.

 

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Je n’avais pas amené d’appareil photo mais Christophe, qui est l’auteur de toutes les photos de cet article, est un adepte de la digiscopie (technique qui consiste à photographier, à l’aide d’un adaptateur, ce que l’on voit dans la longue-vue).

 

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Parmi les images fortes de ce séjour, je citerai l’observation de l’oie naine sur le continent juste avant notre arrivée à Texel (une espèce menacée au niveau de la planète), les vols de milliers d’oies rieuses, oies cendrées et canards siffleurs, la quinzaine de bécasseau violets observés à quelques mètres, le faucon pélerin capturant en plein vol un oiseau (probablement un pluvier doré) et le renouveau du plumage des eiders à duvet (un canard plutôt moche, et même très moche, mais qui se pare d’un plumage magnifique en fin d’hiver).

 

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Tiens au fait, quelqu’un pourrait dire quel est le petit oiseau qui se cache derrière ce bécasseau violet (tout le monde a le droit de jouer … sauf Anne qui est une autre habituée de Texel) ?

 

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A propos des JO de Pékin

On se souvient encore comment en 2001 les Chinois avaient argumenté très fort pour obtenir que les jeux Olympiques se déroulent à Pékin : ils avaient alors promis « d’énormes avancées » en matière de Droits de l’Homme. Or, rien n’a changé dans ce pays et les libertés y sont bafouées plus que jamais.

Ces JO pourraient être une superbe opportunité pour que le monde entier se penche sur le problème des droits de l’Homme en Chine. Mais il semblerait au contraire qu’ils soient une gigantesque opération de com’ pour le gouvernement chinois qui va nous montrer un pays plus clean que jamais. Clean car les étrangers ne verront pas un seul des 300 millions de Chinois qui vivent avec un dollar par jour. Clean aussi car en matière de libertés, la chasse aux sorcières et aux dissidents s’est bel et bien renforcée depuis quelques mois. Elle n’a d’ailleurs jamais cessé. Cette répression touche les avocats, les écrivains et les simples citoyens que l’on appelle weiquan (« défenseurs des droits »). Ces légalistes se réclament de la Constitution et exigent la juste application des lois de la république populaire.

En 2006, l’avocat aveugle Chen Guangcheng avait été condamné à plus de quatre ans de prison pour avoir dénoncé les rafles illégales de femmes enceintes, d’une violence inouïe, pour les faire avorter de force (dans le cadre du respect des quotas de planning familial fixés par les autorités). La répression avait redoublé tout au long de l’année 2007 avec les mises en résidence surveillée, les brutalités policières, les arrestations, les intimidations, les internements administratifs en camp de travail ou en hôpital psychiatrique.

En décembre dernier, en incarcérant Hu Jia, le dissident le plus en vue en Chine, porte-parole à travers tout le pays des « avocats aux pieds nus », le gouvernement a choisi d’envoyer un message fort à ceux qui seraient tenté de suivre l’exemple de cet homme. Il avait osé cosigné le texte suivant avec le juriste Teng Biao :

« Lorsque vous viendrez à Pékin pour les jeux Olympiques, vous verrez des gratte-ciel, des avenues dégagées, des stades ultramodernes et une foule de gens enthousiastes. Vous n’apprendrez probablement pas que les fleurs, les sourires, l’harmonie et la prospérité poussent sur l’injustice, les pleurs, les emprisonnements, la torture et le sang. Pour tous ceux qui ne veulent pas voir l’esprit olympique avili, nous croyons que la connaissance de la vérité est la première étape pour résoudre le problème. »

A l’heure actuelle, il n’y a aucune condamnation de ce qui se passe dans ce pays. Ni du Comité International Olympique, ni de notre pays, champion des Droits de l’Homme.

Petit dimanche musical (14)

Allez, un bon petit blues pour commencer un dimanche, ça peut pas faire de mal. Voici donc une vidéo (proposée par Christophe) des deux inséparables Sonny Terry et Brownie McGhee.

Continuons ce petit dimanche musical avec la musique du Temps des gitans d’Emir Kusturica (choix de Sylvain), People are strange des Doors (Joëlle), Nick Drake (Anne), un hommage à Zachary Richard (Robert), The Blood Brothers (Steph), Absolution de Muse (Fred D), et Alain Bashung (moi-même). Bon dimanche à tous.