10 réflexions au sujet de “Petit concert”

  1. Besançon, Besançon, il n’y en a que pour Besançon …
    Il ne pourrait pas venir jouer dans la Drôme le Stéphane ! :sad:

  2. salut Bernard,

    on ne sera malheureusement pas au concert de Stéphane… snif!
    dis voir, on voudrait créer un blog pour diffuser l’info de notre stage de chant choral.
    est-ce que tu peux nous dire à partir de quel support tu as créé le tien?…
    gratuit? simple?

    je t’appelle un de ces 4 pour un cours personnalisé!

    bisous et à bientôt

    ML

  3. Dans une chapelle de la Drôme , un joueur de « Harpe y tend  » ses cordes ….
    :wassat:

    Si Stéph veut venir jouer dans toutes les chapelles du Finistère …. Il a du boulot pour 10 ans , Rien que dans mon village il y en a 5 !!!
    :smile:

    Bon ici ce soir un tout autre concert …. Le vent à + de 110 km/h … Belle mélodie dans les arbres !!!
    Et dire que certains amis sont encore en mer …..

  4. Aïe, c’est le moment de faire le tour des chapelles pour dire des prières pour le retour de tes amis.
    Ce que Yves n’a pas précisé, c’est que les nombreuses chapelles du Finistère sont magnifiques et touchantes, bien souvent recouvertes d’un beau lichen jaune orangé.

  5. Ils reviennent encore à l’ heure des marées
    S’asseoir sur le muret, le long de la jetée
    Ils regardent encore au delà de Bréhat
    Respirant le parfum du vent qui les appelle
    Mais il est révolu le temps des Terres Neuvas
    La race des marins, chez nous ne s’en va pas
    REFRAIN :
    Loguivy de la mer, Loguivy de la mer
    Tu regardes mourir les derniers vrais marins
    Loguivy de la mer, au fond de ton vieux port
    S’entassent les carcasses des bateaux déjà morts

    Ils ont connu le temps où la voile était reine
    Ils parlent des haubans, des focs et des misaimes
    De tout ce qui à fait le charme de leur vie
    Et qui qu’ils emporteront avec eux dans l’oublie
    Mais s’il s’est révolu le temps des cap-horniers
    II reste encore chez nous d’ la graine d’aventurier

    Je n’ ai jamais su dire ce que disent leurs yeux
    Perdus dans ce visage buriné par le vent
    Ces beaux visages d’hommes, ces visages de vieux
    Qui savent encore sourire et dire à nos vingt ans
    Remettez vos cabans, et rompez les amarres
    Allez-y l’avant, mais tenez bon la barre

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