Autour de moi, beaucoup de personnes se sont converties au cours des dernières années à la nourriture sans gluten.
Le « sans gluten » vous en pensez quoi ?
11 réflexions au sujet de “Sans gluten ?”
1% de la population est allergique au gluten….
Le gluten est un ensemble de protéines que l’on retrouve dans les grains de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, etc.). Les protéines constituant le gluten permettent de stocker des oligo-éléments ou des acides aminés nécessaires au développement de la jeune pousse.
Le gluten est principalement constitué de deux protéines : la prolamine et la gluténine1. Ce sont ces protéines, insolubles dans l’eau, qui donnent à la farine des propriétés visco-élastiques, exploitées dans le domaine agroalimentaire pour donner une certaine structure aux produits.
Le gluten a été décrit en 1742 par Giacomo Beccari, professeur à l’université de Bologne2. Le terme dérive du latin classique gluten = « colle, glu, gomme »3. Il était initialement appelé glutine.
Il est responsable, chez une partie de la population, d’un trouble spécifique de la digestion nommé maladie cœliaque. La prévalence de la maladie a été estimée à environ 0,5 % -1 % dans différentes régions du monde4 (environ 0,7 % de la population aux États-Unis5).
Depuis les années 2010, il fait l’objet d’un vaste effet de mode de régimes alimentaires spécialisés « sans gluten » (= « gluten free »), sans réel fondement scientifique ou médical concernant l’utilité de ce régime pour les non intolérants6,7. Cette mode représente un marché de niche très lucratif pour l’industrie agro-alimentaire8,9 permettant de pratiquer des prix de vente deux à cinq fois plus élevés10. Dans les faits, seule la recherche d’anticorps anti-transglutaminases de type Ig A, suivie d’une fibroscopie avec biopsie de la muqueuse duodénale permet de détecter une maladie cœliaque11. Un test génétique permet de détecter HLA-DQ2.5.
je n’en pense rien, la parole des scientifiques est claire :
» En 1996, dans L’alimentation ou la troisième médecine (Éditions du Rocher), un médecin, le docteur Jean Seignalet, a attribué au gluten les poussées inflammatoires et les dérèglements intestinaux. Il a été suivi par d’autres. Il apparaît effectivement avéré que les patients atteints de la maladie cœliaque sont intolérants au gluten. Toutefois ils représentent environ 1 % de la population française (660 000 personnes environ), alors que le nombre des adeptes du sans gluten atteint les 5 à 6 millions, d’après l’Association française des intolérants au gluten (Afidag). Ils ont leurs restaurants dédiés, leur emblème – un épi barré –, et des rayons spécialisés dans les supermarchés.
Aux États-Unis, le gluten free donne lieu à un chiffre d’affaires d’environ 6,6 milliards de dollars d’après le Time. Les militants s’appuient sur les nombreux symptômes inexpliqués comme les migraines, les douleurs abdominales, la mauvaise digestion, mais aussi l’arthrite, pour inciter à « se soigner individuellement en dehors des chemins médicaux scientifiquement balisés », selon Le Quotidien du médecin.
En réalité, une récente étude parue dans le British Medical Journal du 2 mai 2017 dit que le régime sans gluten aurait plutôt un effet cardio-vasculaire négatif. Selon la revue Epidemiology de mars 2017, en raison du remplacement du blé par la fleur de riz, qui accumule les métaux toxiques, les adeptes de l’alimentation sans gluten auraient un taux d’arsenic et de mercure dans les urines près de deux fois supérieur à la moyenne. D’autres effets sont relevés par le médecin nutritionniste Hervé Robert, notamment « des déficits d’apports en fibres, en vitamines B1, B3 et B6, en fer, zinc, magnésium, phosphore, potassium, présents dans le pain et les pâtes ».
Léon Guéguen dénonce ainsi « un pur phénomène de mode qui excède les indications médicales ». Le professeur Jean-Michel Lecerf souligne que ce régime « entretient dans l’esprit des consommateurs un sentiment de désarroi et de malaise par rapport aux aliments de base que sont le pain et les pâtes. Il nourrit un climat de défiance à l’égard des médecins et des experts suspectés de conflit d’intérêt avec l’industrie alimentaire. » (cités dans [1]).
Le sans gluten est une source de profits pour les rayons spécialisés des supermarchés, les naturopathes et autres adeptes du bien-être et des soins7. Mais cette mode, comme toute mode, finira bien par se démoder pour être remplacée par une nouvelle trouvaille. »
Il y a l’effet de mode, il y a les cœliaques, et il y a les autres…….ceux qui ne sont pas allergiques, et dont l’intolérance n’est pas prouvée non plus, j’en fais partie.
Je ne mange plus de gluten depuis 3 ou 4 ans, quand j’en absorbe à mes dépends, j’ai mal au ventre et j’ai parfois même des nausées. Parfois j’ai aussi mal au ventre alors qu’il me semble ne pas en manger. La digestion c’est compliqué, l’inflammation peut se révéler qu’au repas d’après. Il y a paraît-il des taux de gluten de plus en plus importants dans les farines et dans les préparations, ce qui compliquent le fonctionnement du transit.
Ne soyez pas trop durs avec nous.
Sandrine
Pour aller dans le sens de Sandrine :
Les variétés de blés modernes sont des variétés triploïdes (trois paires de chromosomes) dont les teneurs en gluten sont bien supérieures aux variétés d’autrefois. Surcroît de gluten aggravé par le fait que les boulangers ajoutent du gluten aux farines modernes déjà trop riches en gluten. Le gluten est partout, il est ajouté dans plein de préparations et c’est pour ça qu’il pose problème. Si vous mangez des frites surgelées, elles ne collent pas car on a ajouté du gluten pour qu’elles ne collent pas (ce n’est qu’un exemple parmi une multitude d’autres).
Petit ajout à mon commentaire précédent.
L’allergie au gluten est très rare.
L’intolérance au gluten est plus répandue mais ne concerne qu’1% de la population, ce qui est peu (comme vous l’avez rappelé ci-dessus).
Celles et ceux qui mangent sans gluten font partie, pour la plupart, d’une troisième catégorie. Ils consomment sans gluten par confort personnel et, si j’en constate mon entourage, s’en portent mieux. Car le gluten ne sert à rien. Comme c’est une protéine (ou plutôt un ensemble de protéines) non soluble (merci à Jean-Pierre d’avoir rappelé que c’est une protéine, la plupart pensent que c’est un glucide), il n’est pas digeste et ne fait qu’encombrer l’intestin. Il a cependant d’autres qualités car il donne l’élasticité du pain et rend la farine du blé panifiable.
Il m’est impossible d’apporter un quelconque argument scientifique pour ou contre le gluten.
Mais.
Il me semble que beaucoup des problèmes posés à l’humain aujourd’hui sont complexes, multifactoriels, etc. Alors pourquoi ne pas envisager des facteurs connexes, un effet cocktail comme cela existe vis-à-vis des abeilles ? En incriminant les blés modernes, Bernard pose une question en ce sens, et puis franchement, au moment où certains chipotent encore sur holocène/anthropocène, ne serions nous pas déjà dans la chimiosphère ?
Pour ce qui est de la science, et je reste attaché à la démarche qui la sous-tend, trop d’études sont aujourd’hui suspectes, et beaucoup manquent. Le lobbying, les enjeux économiques et notre capacité à obtenir des informations fiables contribuent fortement à alimenter un doute. Celui-ci peut être honorable, fondateur d’une démarche scientifique illustrée par Jean-Pierre et Frusquin, mais aussi angoissant, entretenu, pour des profits peu avouables mais puissants.
Alors, j’ai comme l’impression que le gluten à lui seul ne peut expliquer les souffrances des humains, avec ou sans des intestins fonctionnels.
De nouvelles maladies envahissent notre quotidien, et peut-être bien que le gluten les favorise sans qu’on sache encore vraiment pourquoi ?
Bon ben sinon ce week-end on a notamment mangé des galettes de blé noir. Sur les boîtes dans les magasins on lit : peut comporter des traces de gluten. J’imagine que c’est à cause du process industriel et d’un problème de broyage. Mais la farine que nous avons consommée est sans gluten : la minoterie qui produit la poudre a le bon goût de moudre le grain séparément.
Il me semble que ce genre de précaution, simplissime, est à étudier aussi finement qu’une bonne mouture.
(erratum: une démarche scientifique illustrée par Jean Pierre et Otto Lilienthal)
N’en pensez rien, essayez !J’adorai les pâtes le pain les crêpes la brioche le quatre quart et le kouign aman…. Et pourtant j’ai appris à m’en passer pour des raisons de santé. Vouloir remplacer chaque aliment par son équivalent sans gluten est souvent décevant sur le plan gustatif et effectivement très onéreux. Il m’a fallu apprendre a manger différemment, d’autres aliments. Pas facile mais on s’y fait très bien. Si tu n’as aucun problème de santé laissés sans solution par la médecine allopathique tant mieux. Ce n’est pas mon cas et c’est la seule raison qui m’a conduit à expérimenter le sans gluten avec succès.
bonsoir à tous
je voulais vous dire que les repas « sans gluten » sont vraiment très bons. Nous avons fait l’expérience suivante à l’hôtel aux Canaries en fin d’année. Et je ne suis pas au régime, Jean lui fait attention car il a du diabète.
C’était toujours des buffets pour les repas, même au petit-déj, et il y avait des gondoles (non non, pas celle de Venise » avec des plats chauds et des desserts uniquement composés avec des produits sans gluten.
J’ai voulu goûter, et bien, à chaque repas je me suis régalée, c’était bien meilleur que les repas avec…………bien moins gras, moins sucrés………..nous avions vraiment le choix pour la nourriture et j’ai découvert des produits que je n’avais jamais cuisinés de cette façon.
Et quand je vais faire mes courses, si je trouve la mention sans gluten cela ne me gène pas d’acheter.
Merci Yann pour ce message
En ce moment la récolte d’asperges sauvages est au top : pas de gluten et pas cher ! et un peu de sport pour les trouver ! salut cordial.
Oui, mais le pain et la mayonnaise qui vont avec … Sans gluten ?
1% de la population est allergique au gluten….
Le gluten est un ensemble de protéines que l’on retrouve dans les grains de nombreuses céréales (blé, seigle, orge, etc.). Les protéines constituant le gluten permettent de stocker des oligo-éléments ou des acides aminés nécessaires au développement de la jeune pousse.
Le gluten est principalement constitué de deux protéines : la prolamine et la gluténine1. Ce sont ces protéines, insolubles dans l’eau, qui donnent à la farine des propriétés visco-élastiques, exploitées dans le domaine agroalimentaire pour donner une certaine structure aux produits.
Le gluten a été décrit en 1742 par Giacomo Beccari, professeur à l’université de Bologne2. Le terme dérive du latin classique gluten = « colle, glu, gomme »3. Il était initialement appelé glutine.
Il est responsable, chez une partie de la population, d’un trouble spécifique de la digestion nommé maladie cœliaque. La prévalence de la maladie a été estimée à environ 0,5 % -1 % dans différentes régions du monde4 (environ 0,7 % de la population aux États-Unis5).
Depuis les années 2010, il fait l’objet d’un vaste effet de mode de régimes alimentaires spécialisés « sans gluten » (= « gluten free »), sans réel fondement scientifique ou médical concernant l’utilité de ce régime pour les non intolérants6,7. Cette mode représente un marché de niche très lucratif pour l’industrie agro-alimentaire8,9 permettant de pratiquer des prix de vente deux à cinq fois plus élevés10. Dans les faits, seule la recherche d’anticorps anti-transglutaminases de type Ig A, suivie d’une fibroscopie avec biopsie de la muqueuse duodénale permet de détecter une maladie cœliaque11. Un test génétique permet de détecter HLA-DQ2.5.
je n’en pense rien, la parole des scientifiques est claire :
» En 1996, dans L’alimentation ou la troisième médecine (Éditions du Rocher), un médecin, le docteur Jean Seignalet, a attribué au gluten les poussées inflammatoires et les dérèglements intestinaux. Il a été suivi par d’autres. Il apparaît effectivement avéré que les patients atteints de la maladie cœliaque sont intolérants au gluten. Toutefois ils représentent environ 1 % de la population française (660 000 personnes environ), alors que le nombre des adeptes du sans gluten atteint les 5 à 6 millions, d’après l’Association française des intolérants au gluten (Afidag). Ils ont leurs restaurants dédiés, leur emblème – un épi barré –, et des rayons spécialisés dans les supermarchés.
Aux États-Unis, le gluten free donne lieu à un chiffre d’affaires d’environ 6,6 milliards de dollars d’après le Time. Les militants s’appuient sur les nombreux symptômes inexpliqués comme les migraines, les douleurs abdominales, la mauvaise digestion, mais aussi l’arthrite, pour inciter à « se soigner individuellement en dehors des chemins médicaux scientifiquement balisés », selon Le Quotidien du médecin.
En réalité, une récente étude parue dans le British Medical Journal du 2 mai 2017 dit que le régime sans gluten aurait plutôt un effet cardio-vasculaire négatif. Selon la revue Epidemiology de mars 2017, en raison du remplacement du blé par la fleur de riz, qui accumule les métaux toxiques, les adeptes de l’alimentation sans gluten auraient un taux d’arsenic et de mercure dans les urines près de deux fois supérieur à la moyenne. D’autres effets sont relevés par le médecin nutritionniste Hervé Robert, notamment « des déficits d’apports en fibres, en vitamines B1, B3 et B6, en fer, zinc, magnésium, phosphore, potassium, présents dans le pain et les pâtes ».
Léon Guéguen dénonce ainsi « un pur phénomène de mode qui excède les indications médicales ». Le professeur Jean-Michel Lecerf souligne que ce régime « entretient dans l’esprit des consommateurs un sentiment de désarroi et de malaise par rapport aux aliments de base que sont le pain et les pâtes. Il nourrit un climat de défiance à l’égard des médecins et des experts suspectés de conflit d’intérêt avec l’industrie alimentaire. » (cités dans [1]).
Le sans gluten est une source de profits pour les rayons spécialisés des supermarchés, les naturopathes et autres adeptes du bien-être et des soins7. Mais cette mode, comme toute mode, finira bien par se démoder pour être remplacée par une nouvelle trouvaille. »
texte complet :
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2958
un autre sujet :
Le printemps 2018 s’annonce silencieux dans les campagnes françaises.. :
http://www.mnhn.fr/fr/recherche-expertise/actualites/printemps-2018-s-annonce-silencieux-campagnes-francaises
Il y a l’effet de mode, il y a les cœliaques, et il y a les autres…….ceux qui ne sont pas allergiques, et dont l’intolérance n’est pas prouvée non plus, j’en fais partie.
Je ne mange plus de gluten depuis 3 ou 4 ans, quand j’en absorbe à mes dépends, j’ai mal au ventre et j’ai parfois même des nausées. Parfois j’ai aussi mal au ventre alors qu’il me semble ne pas en manger. La digestion c’est compliqué, l’inflammation peut se révéler qu’au repas d’après. Il y a paraît-il des taux de gluten de plus en plus importants dans les farines et dans les préparations, ce qui compliquent le fonctionnement du transit.
Ne soyez pas trop durs avec nous.
Sandrine
Pour aller dans le sens de Sandrine :
Les variétés de blés modernes sont des variétés triploïdes (trois paires de chromosomes) dont les teneurs en gluten sont bien supérieures aux variétés d’autrefois. Surcroît de gluten aggravé par le fait que les boulangers ajoutent du gluten aux farines modernes déjà trop riches en gluten. Le gluten est partout, il est ajouté dans plein de préparations et c’est pour ça qu’il pose problème. Si vous mangez des frites surgelées, elles ne collent pas car on a ajouté du gluten pour qu’elles ne collent pas (ce n’est qu’un exemple parmi une multitude d’autres).
Petit ajout à mon commentaire précédent.
L’allergie au gluten est très rare.
L’intolérance au gluten est plus répandue mais ne concerne qu’1% de la population, ce qui est peu (comme vous l’avez rappelé ci-dessus).
Celles et ceux qui mangent sans gluten font partie, pour la plupart, d’une troisième catégorie. Ils consomment sans gluten par confort personnel et, si j’en constate mon entourage, s’en portent mieux. Car le gluten ne sert à rien. Comme c’est une protéine (ou plutôt un ensemble de protéines) non soluble (merci à Jean-Pierre d’avoir rappelé que c’est une protéine, la plupart pensent que c’est un glucide), il n’est pas digeste et ne fait qu’encombrer l’intestin. Il a cependant d’autres qualités car il donne l’élasticité du pain et rend la farine du blé panifiable.
Il m’est impossible d’apporter un quelconque argument scientifique pour ou contre le gluten.
Mais.
Il me semble que beaucoup des problèmes posés à l’humain aujourd’hui sont complexes, multifactoriels, etc. Alors pourquoi ne pas envisager des facteurs connexes, un effet cocktail comme cela existe vis-à-vis des abeilles ? En incriminant les blés modernes, Bernard pose une question en ce sens, et puis franchement, au moment où certains chipotent encore sur holocène/anthropocène, ne serions nous pas déjà dans la chimiosphère ?
Pour ce qui est de la science, et je reste attaché à la démarche qui la sous-tend, trop d’études sont aujourd’hui suspectes, et beaucoup manquent. Le lobbying, les enjeux économiques et notre capacité à obtenir des informations fiables contribuent fortement à alimenter un doute. Celui-ci peut être honorable, fondateur d’une démarche scientifique illustrée par Jean-Pierre et Frusquin, mais aussi angoissant, entretenu, pour des profits peu avouables mais puissants.
Alors, j’ai comme l’impression que le gluten à lui seul ne peut expliquer les souffrances des humains, avec ou sans des intestins fonctionnels.
De nouvelles maladies envahissent notre quotidien, et peut-être bien que le gluten les favorise sans qu’on sache encore vraiment pourquoi ?
Bon ben sinon ce week-end on a notamment mangé des galettes de blé noir. Sur les boîtes dans les magasins on lit : peut comporter des traces de gluten. J’imagine que c’est à cause du process industriel et d’un problème de broyage. Mais la farine que nous avons consommée est sans gluten : la minoterie qui produit la poudre a le bon goût de moudre le grain séparément.
Il me semble que ce genre de précaution, simplissime, est à étudier aussi finement qu’une bonne mouture.
(erratum: une démarche scientifique illustrée par Jean Pierre et Otto Lilienthal)
N’en pensez rien, essayez !J’adorai les pâtes le pain les crêpes la brioche le quatre quart et le kouign aman…. Et pourtant j’ai appris à m’en passer pour des raisons de santé. Vouloir remplacer chaque aliment par son équivalent sans gluten est souvent décevant sur le plan gustatif et effectivement très onéreux. Il m’a fallu apprendre a manger différemment, d’autres aliments. Pas facile mais on s’y fait très bien. Si tu n’as aucun problème de santé laissés sans solution par la médecine allopathique tant mieux. Ce n’est pas mon cas et c’est la seule raison qui m’a conduit à expérimenter le sans gluten avec succès.
bonsoir à tous
je voulais vous dire que les repas « sans gluten » sont vraiment très bons. Nous avons fait l’expérience suivante à l’hôtel aux Canaries en fin d’année. Et je ne suis pas au régime, Jean lui fait attention car il a du diabète.
C’était toujours des buffets pour les repas, même au petit-déj, et il y avait des gondoles (non non, pas celle de Venise » avec des plats chauds et des desserts uniquement composés avec des produits sans gluten.
J’ai voulu goûter, et bien, à chaque repas je me suis régalée, c’était bien meilleur que les repas avec…………bien moins gras, moins sucrés………..nous avions vraiment le choix pour la nourriture et j’ai découvert des produits que je n’avais jamais cuisinés de cette façon.
Et quand je vais faire mes courses, si je trouve la mention sans gluten cela ne me gène pas d’acheter.
Merci Yann pour ce message
En ce moment la récolte d’asperges sauvages est au top : pas de gluten et pas cher ! et un peu de sport pour les trouver ! salut cordial.
Oui, mais le pain et la mayonnaise qui vont avec … Sans gluten ?