Les nombreuses plantes fleuries du Haut-Jura permettent aux papillons adultes de vivre de nectar pendant toute la belle saison. Dans ces contrées, la quantité et la diversité de papillons me semblent bien plus importantes qu’en plaine.
Mais la saison avance, nous sommes déjà en août, et tout ce petit monde doit penser à assurer la descendance. Comme pour les criquets de mon précédent article, les papillons ne perdent pas leur temps et s’en donnent à coeur joie. C’était la première fois que je pouvais admirer de très près le petit collier argenté, un habitant des prairies humides et des clairières des forêts.
En l’occurence, ce n’est pas celui de la photo :ninja:
(c’est un accouplement de grands nacrés, Argynnis aglaja)
Bernard, tu as bien fait de te remettre à la macro !
Pour ma part, j’attends d’avoir un objectif correct pour faire mieux, tes images font envie !
Au sujet des papillons, je partage ton avis : on en rencontre bien plus au-dessus de 500 mètres, les milieux sont sûrement moins perturbés en général. Un entomologiste (lequel ?), disait que les grands rassemblements d’azurés, et d’autres genres aussi, étaient devenus très rares… pour les avoir vu en petits groupes dans les Alpes sur des zones dénudées et humides, le spectacle est superbe : surchauffe c’est sûr !
…euh, pour faire mieux que ce que je fais déjà hein ? Pas pour rivaliser bien sûr, je sais bien que tu auras compris, mais je préfère être clair !
Merci, Serenense, d’avoir rectifié …