Ravi Shankar vient donc de décéder à l’âge de 92 ans. Beaucoup de vieux de ma génération le connaissaient bien. Car c’est le premier festival pop, celui de Monterey en 1967, qui l’a révélé au public occidental.
Avec ce premier article que je lui consacre, nous en resterons à cette grande période des festivals et je vous propose deux autres apparitions lors de grands rassemblements :
D’abord un extrait du concert de Ravi Shankar à Woodstock en 1969. La vidéo est très courte, c’est la fin du concert et on peut y mesurer l’enthousiasme exceptionnel qu’il a suscité auprès du public.
Et enfin deux vidéos enregistrées au festival pour le Bangladesh en 1971.
http://youtu.be/zDDoz1kbLzo
Bon dimanche à tous !
J’étais sûre que ce dimanche musical serait consacré à Ravi Shankar …
Sur la première vidéo, il y a de longues images de la foule avant qu’on ne voie Ravi Shankar qui n’apparaît qu’à 7’15 ».
Dans cette foule il y a Jimi Hendrix (6’29 »)
Si le festival de Monterey fut extraordinaire, c’est surtout à cause de la prestation incroyable de grands de la musique : Jimi Hendrix et Otis Redding.
C’était quelques mois avant la mort d’Otis Redding :
Hier après-midi, en roulant en voiture, je suis tombé sur une émission de Franche-Musique assez courte consacrée à Ravi Shankar. Je l’ai trouvée très intéressante. Alors, si vous avez 1/2 heure devant vous, n’hésitez pas à l’écouter (cliquer ici).
Tu avais raté ton car , tu as donc dû prendre ta voiture !!
Mais grâce à une bonne émission à la radio sur Franche-Musique … Tu étais quand même , ravi sans car !
:whistle:
Moi, j’écoute « Music 4 a while »…. et je plane!
A tel point que j’arrive même plus à me concentrer sur la lecture de mon Fred Vargas (que quand je suis plongée dedans, plus rien ne me fait sortir, même pas les frites :silly: )
Merci pour la découverte, Bernard!
Laisse Fred Vargas for a while !
Lequel de Fred Vargas ?
(je te demande ça car je viens de tous les lire ou de les relire dans les dernières semaines)
« Sous les vents de Neptune » Je le trouve particulièrement réussi.
Mais bon, je dis cela, mais chaque roman de Fred Vargas me met « en joie »! Je commence et n’arrive plus à m’en séparer! J’attends avec impatience la fin de la journée de travail, pour m’asseoir dans le train et retrouver Adamsberg, Danglard, Retancourt et les autres!
J’en ai lu beaucoup, mais pas tous. A la bibliothèque du village, ils ne les ont pas tous. Et celui-ci, je l’ai trouvé en passant devant la librairie, il y avait trois caisses de livres à ….3€! Une affaire.
Je crois qu’elle a écrit d’autres livres avec d’autres personnages, mais je ne les ai pas encore lus.
Détour sympa par le Québec que ces vents de Neptune (je l’ai fini il y a une dizaine de jours seulement).
Si j’ai repris la lecture des Fred Vargas dans l’ordre, c’est aussi parce que l’histoire d’Adamsberg et de sa relation avec Camille, qui est en filigrane dans la plupart de ses romans, m’intéresse beaucoup. On y perd un peu en lisant dans un ordre quelconque et c’est alors un peu décousu (cela dit, la vie d’Adamsberg est tellement décousue … !).
c’est justement la réflexion que je me faisais! Je ne m’y retrouve plus dans sa relation avec Camille!
Pas limpide l’univers de Fred Vargas ! Les scénario sont parfois alambiqués mais…
Sans être capable d’en donner un éclairage éclairci, :blink: , je dois dire qu’après avoir tout lu — je crois — de cette nénette, ses engagements ne peuvent que m’émouvoir…
Et je retiens une chose : les dialogues sont souvent remarquables et aussi appréciables que ceux d’Audiard. Quand on lit les échanges entre flics et suspects (souvent aussi inclassables qu’Adamsberg), on assiste à des moments rares et jubilatoires de littérature.
Belle humanité chez cette auteure ; pas si commune… l’humanité !