Ce court métrage a été réalisé il y a presque vingt ans, il est édifiant ! Alors, si vous avez une douzaine de minutes devant vous…
Le libéralisme, qui n’est autre qu’un capitalisme sans garde-fous, sans limites et surtout sans moralité, peut-il mener à autre chose que ce genre de situation ?
Merci à Robert pour m’avoir fait connaître ce petit film.
Roh le vilain : je t’en ai parlé y’a plus d’un an de ce film
J’ai essayé plusieurs réponses, en vain.
Je reste sans voix devant ce spectacle atterrant.
Il y a des jours où je préfèrerais être papillon …
Ou éphémère, pas le temps de faire le mal!
Je comprends ton sentiment, Brind’paille, mais vas sur « Et mon… c’est du… », Pascale nous y redonne envie de vivre, saperlipopette !
Ce sont mes enfants qui m’ont fait découvrir ce petit film… salutaire.
Une belle dérision, des images édifiantes.
J’ai montré ce court-métrage à mes élèves ; ils étaient très intéressés, surtout par les images de la shoah que je n’avais pas souhaité décrypter.
En ces temps où l’eugénisme semble frapper à la porte, j’ai trouvé cela plutôt bien que des adolescents déficients légers se posent les bonnes questions.
Serait-il possible à Christophe de préciser « En ces temps où l’eugénisme semble frapper à la porte ».
Quels sont les faits concrets et réels que tu connais qui te conduisent à prononcer cette terrible phrase ?
Christophe te répondra sans doute, Etincelle.
Pour ma part, ta question m’a rappelé un propos tenu par Sarko lors d’une discussion avec Michel Onfray, organisée avec intention d’être publiée, par la revue Philosophie Magazine, en avil 2007.
« J’inclinerais, pour ma part, à penser qu’on naît pédophile, et c’est d’ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1 200 ou 1 300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n’est pas parce que leurs parents s’en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. »
Tu as bien lu ? « GENETIQUEMENT. »
Le gène de la pédophilie, celui du suicide… et pourquoi pas celui du chômage, et, tant qu’on y est, de la misère ?
Je partage ce jugement d’Irène Félix :
« Les propos de Nicolas Sarkozy sur la pédophilie et les tendances suicidaires chez les jeunes ne peuvent laisser sans réaction. Prétendre que ces comportements sont totalement prédéterminés revient à enfermer chaque individu dans une fatalité sur laquelle il n’aurait aucune prise. Une telle approche contredit l’état des recherches actuelles de la science. Surtout, elle nie la liberté inaliénable de chaque personne de construire sa vie par ses choix et par ses actes. Aucun républicain, aucun humaniste, dans la fidélité à l’universalisme des Lumières, ne peut approuver ces propos.
Cette prise de position, inspirée des néoconservateurs américains, traduit une vision de l’homme et de la société malheureusement assez proche de l’eugénisme. »
Ah, c’est à cause des paroles de Sarkozy ?
Je doute très très fort que ce dernier ait les connaissances scientifiques suffisantes pour asséner de telles « vérités ».
Où sont ses arguments ?
Cependant, entre ces absurdes paroles et l’eugénisme, il y a un pas quand même.
L’eugénisme, c’est la mise en pratique de méthodes visant à améliorer le patrimoine génétique de groupes humains (ce qu’ont fait les nazis par exemple).
De telles pratiques sont-elles utilisées en France actuellement ?
J’espère bien que non mais si vous en avez connaissance, je veux bien que vous m’en informiez.
Ainsi donc, quand Sarko sort une telle énormité, il faudrait mettre cela sur le compte d’une banale absurdité ? Le pauvre garçon, si aimable par ailleurs, on peut lui pardonner un écart de langage, non ?
Mais ce n’est pas le quidam du café du commerce qui s’exprime là, c’est un chef d’état. Et il ne peut pas se permettre de dire n’importe quoi. Il n’a pas raconté cela aux halles de Rungis à l’aube où il se frotte à « la France qui se lève tôt ». Il vient tenir son propos dans l’enceinte d’une revue caractéristique de l’intelligentsia du pays. Il sait exactement ce qu’il fait. En fait, il ne s’adresse pas aux lecteurs de la revue dont il sait qu’il ne sont pas prêts de le suivre. Il vise un autre public, celui « qui se lève tôt » (il aime bien se répéter), celui « qui travaille plus pour gagner plus » et qui n’aime ni de près ni de loin ceux qui ne mettent pas le pognon au centre de tout.
Quand, par tous ses actes, la politique du bonhomme et de son parti rend par trop inégal l’accès des citoyens à un revenu décent, à l’alimentation, au logement, à la santé, à l’éducation, etc. oui, c’est d’une sorte « d’eugénisme économique » qui se met en route. Pour reprendre tes paroles : « c’est la mise en pratique de méthodes visant à améliorer le patrimoine génétique de groupes humains » : celui des nantis. Et à réduire d’autant les chances de succès pour les autres, à l’exemple de l’obésité qui frappe à proportion de la pauvreté.
Alors, il n’est pas besoin d’autres chambres à gaz que l’hyper propagande télévisuelle. Omniprésence d’un mini-big brother qui décide de tout à tout moment.
Ce qui m’atterre, c’est que dans ce climat d’oppression soft, la révolte ne gronde pas davantage. Mais patience, ça ne saurait tarder.
Est-ce que tu sais Robert, ce que veut dire patrimoine génétique ?
En ce qui me concerne, je ne suis pas assez compétente pour dire que la pédophilie, etc … provient ou ne provient pas d’un gène, contrairement à Sarkozy qui affirme qu’il en provient et à toi qui affirme qu’il n’en provient pas.
Vous êtes sans doute plus compétents que moi.
Certains chercheurs ont été très surpris de découvrir par exemple un gène qui prédisposait au cancer du sein alors je pense qu’il vaut mieux être prudent à ce sujet.
Ce n’est pas plus une tare d’être homosexuel que d’avoir le cancer du sein que je sache.
Que l’accès ou non à un revenu décent dépende de la politique de Sarko, ma foi, ça se discute, ça mais en tout cas, je ne vois pas le rapport avec l’eugénisme.
Tu ne m’as pas cité d’exemples réels et concrets d’eugénisme (actuellement en France) et ça me remonte un peu le moral parce que je t’avoue que ton commentaire précédent m’avait plutôt inquiétée et démoralisée.
Tu parles de propagande, Robert …
Ton discours y ressemble !
Désolée.
Je m’exprime sur ce blog à égalité avec toi et les quelques autres participants. Je critique ouvertement et de manière argumentée la politique du pouvoir en place. Évidemment, et je dis pourquoi, je ne le porte pas dans mon coeur. Tout comme plus de 60% de ces français dont tu ne fais visiblement pas partie. C’est ton droit.
Assimiler mon propos à de la propagande (et pour qui s’il vous plaît ?) c’est tenter sournoisement de l’invalider pour vice de forme.
Je n’apprécie pas le procédé et me désole que tu t’y prêtes.
Les propos de Sarkozy sont une chose, je me référais surtout au projet de texte de loi sur la détection précoce des troubles du comportement dans un plan de prévention de la délinquance récemment contesté.
Pour donner mon sentiment sur génétique/eugénisme, avec des bases scientifiques tout de même (sans être spécialiste, j’ai étudié la génétique, pas l’eugénisme !) :
– trier, sélectionner des individus dans une population, les isoler éventuellement ou leur réserver un traitement particulier peut engendrer une modification du patrimoine génétique, c’est évident. On agit ainsi pour sélectionner les meilleures montbéliardes, les plus beaux fruits, la meilleure poule. Cela n’empêche d’ailleurs pas de manger les moins bons produits, mais à destination de filières différentes.
– il ne s’agit pas d’éliminer, effectivement. Il me semble, j’espère, que le tollé exprimé par le mouvement « pas de zéro de conduite », aurait alors été bien plus fort et que la correspondance avec de funestes idées aurait été plus évidente.
– La conception de la tendance « mauvaise » acquise plutôt qu’innée, si elle était avérée, aurait au moins justifié des publications de grand retentissement. Sans pouvoir l’affirmer, il me semble qu’il ne s’agit que d’une idéologie basée sur un obscurantisme dont on retrouve l’expression dans d’autres décisions politiques : OGM, agrocarburants, sel dans la nourriture. Il faut écouter les lanceurs d’alerte qui eux, vrais scientifiques, méritent une bonne écoute. Et il faut bien voir que leurs moyens ou leur parole est empêchée.
– enfin, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, il me paraît évident que des recherches sur les gènes porteur de telle ou telle tendance ont du être sérieusement remises en question. Le pendant d’une science responsable se trouve tout de même quelque part dans l’humanité de ceux qui apportent, sinon une réflexion philosophique, au moins une morale acceptable. La question raciale a été tranchée.
Pour ce que je peux en juger, nos décideurs, au plus haut niveau, ne sont ni de grands scientifiques, ni de grands philosophes ! Science sans conscience n’est que ruine de l’âme disait Rabelais… mais encore faut-il que la science en soit vraiment : je n’en vois pas le fondement.
Merci Christophe de tes précisions dans ce commentaire très intéressant.
Aucun problème, je suis d’accord avec tout ce que tu dis, je l’ai toujours été d’ailleurs. Mais je trouvais dommage de prononcer le mot « eugénisme » sans expliquer exactement pourquoi tu le prononçais …
Ce projet de loi est quelque chose de concret, pas simplement des paroles.
Je ne suis pas trop sûre que l’eugénisme puisse s’appliquer aux vaches et fruits qui ne sont pas humains mais en tout cas c’est un bon exemple de modification génétique (on modifie les allèles, pas les gènes) par la sélection.
Il n’y a qu’une chose avec laquelle je ne suis pas trop d’accord avec toi :
Es-tu vraiment persuadé que les lanceurs d’alerte sont toujours des vrais scientifiques.
Je crois que les deux cas se présentent :
– Des vrais scientifiques (ou personnes compétentes dans d’autres domaines) sonnent l’alerte comme tu dis et sont empêchés de parler, voir mis à l’écart parce que leurs propos dérangent ou gênent certains intérêts particuliers.
– Il arrive aussi que l’alerte soit donnée par des personnes absolument pas compétentes et qui réussisent malgré tout à prendre le dessus sur les vrais scientifiques qui disent le contraire.
Evidemment, les médias jouent dans tout ceci un rôle loin d’être négligeable, mais ça c’est un autre débat.
Tu parles de tes adolescents déficients légers …
Est-ce que tu t’occupes d’enfants handicapés ?
En ce qui concerne les lançeurs d’alerte, il est certain que leur valeur, leur compétence ou leur crédibilité scientifique est indispensable, et que cela doit être incontestable, établi, validé et vérifiable voire contestable pour qu’il s’agisse bien de positions scientifiques.
D’après ce que j’ai pu voir des propositions de ces lanceurs d’alerte (non reconnus encore), il me semble que c’est en ce sens qu’ils souhaitent agir, justement pour apporter une information, une connaissance ou un savoir qui n’est pas délivré correctement ou pas délivré du tout, ou corriger une vision parcellaire, détournée, voire erronée.
Tout le monde se gargarise de science, plus rares sont ceux qui en font. Et quand les vérités scientifiques dérangent, surtout quand elles ont été établies grâce à des fonds dont l’origine ne garantit pas l’impartialité, la pratique courante est d’envoyer les études à la poubelle… facile quand on est propriétaire des données et de la poubelle !
Il faut bien que nous puissions vérifier tout ça, mais en général, dans ce bombardement permanent d’informations, il est difficile de vérifier quoi que ce soit. Les journalistes commencent sérieusement à s’inquiéter de leur crédibilité à eux lorsqu’ils deviennent, de plus en plus souvent, simple relais d’une info non maîtrisée, non vérifiée, dans un contexte de course à l’audience ou à la sensation forte.
De plus, comme cela a bien été montré par exemple dans le film « I comme Icare » je crois, le fait de paraître devant la blouse blanche du scientifique rend les gens tout à fait docile et obéissants, incapables de contester l’autorité du maître. En cela j’approuve ta remarque, Oetincello. Vive l’insolence qui manque tant à cette trouble époque !
Disons que la déontologie qui devrait prévaloir semble bien désuète, galvaudée elle aussi, la plupart des choses ne se meurent plus qu’à l’aune du profit, l’unité de mesure est plus que jamais l’argent. Et ceux qui s’en réclament sont comme ceux qui se « réclament de » en général : ils paraissent suspects à ceux rendus méfiants par la pratique devenue banale du mensonge, de la langue de bois, du non-dit.
Il s’agit bien de rétablir une possibilité de vérité, et c’est dans ce sens que les lançeurs d’alerte doivent installer le cadre d’une action pour qu’elle soit reconnue…
Il est encore plus doux de voir émerger des pensées différentes, affranchies des dogmes, des diktats, des idées toutes faites, des a priori, ou de la sensation délirante de pouvoir tout savoir, notamment avec Internet.
Il n’en est rien, une manipulation massive est encore possible et les puissants de ce monde usent de ce procédé en toute légalité (lobbying par exemple, celle dans laquelle travaillent la plupart des scientifiques qui souhaitent devenir des sentinelles.
A nous tous de veiller donc !
Au sujet de mon travail, oui je suis depuis 6 ans instituteur auprès d’enfants déficients légers, après un parcours dans l’environnement notamment. Ces enfants ne sont généralement pas étiquetés handicapés, d’une part parce que les nouvelles lois parlent plutôt de personnes « en situation de handicap » (reconnaissant la possibilité de ne pas le rester) et parce que la reconnaissance d’un handicap s’effectue souvent plus tard par une commission, à l’âge adulte, lorsque la dépendance ou la nécessité d’une aide financière deviennent cruciales.
Pour revenir à tes paroles, Bernard, « Le libéralisme, un capitalisme sans garde-fous », quelle ou quelles alternative (s) pourrait-on envisager au libéralisme ?
Quelques précisions au sujet de la génétique…
J’ai vu il y a qq temps une émission extrêmement intéressante sur Arte qui remet en cause les connaissances que l’on croit avoir sur la génétique… et qui ne remontent pas spécialement le moral!!!
En Ukraine, je cois, je ne me souviens plus trop du lieu… Ils ont des archives au top pour les chercheurs en génétique puisque tout est relaté sur les gens dans des fichiers et ce depuis des lustres : liens de parenté, état de santé, état des récoltes et j’en passe!
Ils se sont rendu compte en analysant les choses sur des dizaines de générations que des personnes ayant souffert de famine transmettaient leur état de santé déficient à leurs descendants et cela jusqu’à 5 générations de suite, sans que ceux-ci aient à souffrir de famine…
En fait, après bien des recherches, ils se sont rendus compte qu’il y avait sur les gènes des sortes d’interrupteurs qui pouvaient les mettre en marche ou les stopper! Autrement dit, nous héritons des gènes de nos parents que nous transmettrons ensuite à nos enfants en les brassant avec ceux de notre conjoint… OK… mais aussi, nous sommes « responsables » (nous et l’environnement dans lequel nous vivons) des gènes que nous transmettons à nos enfants.
Ce que nous faisons, ce que nous mangeons, nos peurs, etc… agissent directement sur ces interrupteurs et ceci parfois pour plus de 5 générations à venir!!!
lourde responsabilité, non?!
Un exemple : les enfants des femmes enceintes ayant assisté aux événement du 11 novembre par exemple, sont tous nés stressés, secrétant eux-même des substances génératrices de stress!!
Autre exemple : tout le monde a entendu parler de ces maladies génétiques qui se déclarent ou non, et cela souvent à la suite d’un facteur de stress intense : là l’interrupteur du gène malade a été ouvert…
Donc pas besoin de sélection génétique au niveau des enfants à naître pour trier les gens!!! Trier les adultes procède dèjà d’une sélection sur les enfants à naître!
Autre-chose :
Quand on me dit que la pédophilie est génétique… ou telle ou telle autre tare ou maladie… (Ne sommes nous pas d’ailleurs tous des tarés à l’état récessif?)
C’est aussi oublier justement l’action de l’environnement sur les gènes.
Environnement « naturel » (entre-guillemets car on met là dedans bien des choses qui ne le sont pas justement) et environnement humain. Les gens bien nourris, ayant du temps pour les loisirs et pour se cultiver, avec famille aimante et amis (j’ai pas dis gens riches car je ne pense pas que le fric résolve tout, loin de là) ont bien évidement beaucoup plus de chances de s’en tirer vraiment mieux que les autres…
Je finis sur une note très acide : à quand la carte génétique des parents pour trouver du boulot?
Oulà, bin moi avec les miens, je suis pas prêt de trouver du boulot alors
OH ! Le méchant !
Je prends seulement connaissance de vos commentaires ce soir. Je n’ai pas touché terre depuis que je suis rentré il y a trois jours. Merci à Christophe, Robert, Oetincelleo, Brind’paille et Pascale pour la qualité de vos commentaires. Quant à toi Steph …
Bonjour,
Encore une découverte. Je ne connaissais pas ce documentaire.
Ça donne évidemment à réfléchir. Absurdité en cascade qui donne le vertige.
Ça me rappelle que chaque acte que nous posons est une responsabilité et qu’il est soit une pierre qui vient consolider l’édifice que nous construisons (comme ici) ou un projectile lancé furieusement qui le détruira et nous avec par la même occasion (les plus démunis en premier). Triste réalité. L’homme est plus grand prédateur pour l’homme.
Merci pour le partage.
Pour poursuivre dans l’absurdité…
Ce documentaire « L’île aux fleurs » fait écho à un autre documentaire sur l’industrie de la tomate. Je ne sais pas si vous le connaissez. Il s’intitule « L’empire de l’or rouge ». Je ne retrouve le documentaire dans son entier alors je vous mets le lien vers la bande annonce. Le livre existe aussi.
Durée : 3 minutes et 10 secondes
« Que mange-t-on quand on ouvre une boîte de concentré de tomates, lorsque l’on verse du ketchup dans son assiette ou entame une pizza ? Toute l’humanité en consomme et pourtant, personne n’en a vu. Les tomates sont produites et conditionnées sous barils en Chine pour être ensuite exportées aux quatre coins de la planète. Pendant deux ans, Jean-Baptiste Malet a retracé le voyage d’une tomate de la Chine au Ghana, en passant par l’Italie, le Canada et les Etats-Unis. Ce film nous emmène à la rencontre des traders, cueilleurs, entrepreneurs, paysans, généticiens, fabricants de machine qui se cachent derrière l’industrie de la tomate. »
Faire mourir la diversité revient à asseoir sa domination. Continuons alors à résister en cultivant des tomates de toutes sortes sur nos balcons, dans nos jardins, partout où nous pouvons.
J’ai vu ce film en entier il y a deux ans lors d’une projection publique organisée par la commission environnement de la commune de Devecey (25). Très intéressant, même si j’ai trouvé que le débat qui était annoncé à la suite de la projection du film n’était pas à la hauteur de ce que j’attendais.
A la même époque, j’avais lu un entrefilet dans le Canard Enchaîné qui disait même que dans les boîtes de concentré de tomates qui viennent d’Italie (mais qui en fait viennent de Chine), il n’y avait pas que des tomates, loin de là.
Et il a été diffusé aussi sur France 2 en 2018.
Effectivement Bernard des additifs sont ajoutés qui bien sûr ne figurent pas sur la liste des ingrédients. La fibre de soja pour épaissir entre autres…