Jusqu’à 87% d’abstention dans certains partis lors de l’examen du budget 2025 à l’Assemblée.
Ça ne vous gonfle pas, vous, qu’on paye des députés pour ça !
Musique, piafs et billets d'humeur
Jusqu’à 87% d’abstention dans certains partis lors de l’examen du budget 2025 à l’Assemblée.
Ça ne vous gonfle pas, vous, qu’on paye des députés pour ça !
J’aime les musiques traditionnelles lorsqu’elles sont fidèles à la tradition.
J’aime aussi les musiques traditionnelles lorsqu’elles s’ouvrent à la modernité (en intégrant par exemple les musiques électro).
Mais je n’aime pas les musiques traditionnelles lorsqu’elles renient leurs origines et s’occidentalisent à outrance (par exemple en laissant de côté les gammes musicales spécifiques à leurs pays).
La, je suis tombé ce soir sur un document qui me plaît beaucoup. Il s’agit d’une musique composée autour d’un poème datant du 14ème siècle.
La présentation de la vidéo, sur Youtube, nous en dit ceci :
« De tout temps, en tous lieux, la Parole du monde s’est incarnée dans celle, terrestre, du barde, du troubadour ou du griot. Ces artisans poètes, tout autant passeurs que pacificateurs, sont le trait d’union avec les forces de la nature, le divin indicible, la mémoire des anciens. Il leur revient d’entretenir le foyer quotidien de l’âme collective. Éternels oiseaux migrateurs, Kiya Tabassian, maître du sétar et défricheur de mémoires, et Ablaye Cissoko, griot de Saint-Louis du Sénégal et maître de la kora sillonnent les scènes du monde ensemble depuis dix ans. Ensemble, avec le virtuose de percussion Patrick Graham, ces libres penseurs et voyageurs font du monde leur jardin. »
Ce qui est certain, c’est qu’il y a un fabuleux message de paix dans cette musique jouée par des musiciens d’horizons différents et dans la manière de la jouer et d’impliquer l’auditeur.
Bonne écoute !
Hier, un article est paru dans l’Est Républicain sur le gobemouche noir. Cela m’a fait penser que je voulais parler sur ce blog de la migration des gobemouches qui a eu lieu en août-septembre et que j’avais oublié de le faire..
La migration des deux gobemouches, noir et gris, a été particulièrement importante cette fin d’été.
Le premier oiseau que j’ai vu depuis mon affût (« la cabane » dont je parle souvent) est un gobemouche noir Je n’ai eu le temps de faire qu’un tout petit bout de film. La scène fut très furtive. Pas une seule photo ! Cela se passait dans les derniers jours d’août.
Au début septembre, ce fut au tour du gobemouche gris de venir, toujours devant le même affût, sur un perchoir que j’avais mis à son intention.
Il est venu plusieurs jours d’affilée. Voici quelques petites séquences :
Et enfin, vers le 15 septembre, alors que je ne m’y attendais pas, c’est depuis la fenêtre ma cuisine que j’ai aperçu une femelle de gobemouche noir. Elle est venue pendant trois ou quatre jours sur la clôture de mon poulailler. Les photos ont été faites à travers la vitre.
Je dois dire que je n’avais jusqu’à présent aucune image de cet oiseau.
Merci à Fifi pour l’aide technique qu’il m’apporte pour la publication des séquences vidéo !
Ce soir, j’ai cuisiné une courge cueillie il y a tout juste un an. Et c’est la première fois que je consomme un fruit aussi vieux !
J’ai été scotché par le fait que cette variété garde intactes toutes ses qualités gustatives après un temps si long.
Il s’agit – vous l’avez sans doute reconnue – de la musquée de Provence.
J’ai cultivé dans ma vie de jardinier environ 80 variétés appartenant à cette grande famille de cucurbitacées que sont les courges et les potirons. Mais en vieillissant, je commence à réduire la voilure : mon train de vie jardinier est donc en train de baisser. C’est un véritable choix : je choisis d’entrer en décroissance volontaire avant de subir plus tard la décroissance forcée (qui, de toute façon, arrivera elle aussi, mais chaque chose en son temps !). Par exemple, je ne cultive plus que 3 ou 4 variétés de courges/potirons.
Et quand il n’en restera qu’une, ce sera donc forcément celle-là : la Musquée de Provence (dont je produis d’ailleurs les graines, sélectionnées au fil des années).
Et vous, c’est quoi votre variété préférée ?
La semaine dernière, je suis allé dans le Haut-Jura visiter un jardin magnifique à 900 m d’altitude. Celui-ci est tenu par un monsieur de 86 ans qui cultive à flanc de côteau une surface impressionnante (son jardin est plus grand que le mien !).
A l’entrée de sa terrasse (où nous avons bu un excellent savagnin), il y avait ce petit écriteau.
Je me suis dit que ça pouvait éventuellement faire un sujet de discussion sur ce blog.