Les oiseaux de l’hiver 2020-2021

Le nourrissage hivernal des oiseaux a sans doute commencé pour la plupart d’entre nous.

Comme chaque année, cet article est là pour qu’on échange, entre tous les amoureux des oiseaux qui viennent sur ce blog, sur les différentes espèces que chacun peut observer cet hiver à son propre poste de nourrissage.

Quelles seront les tendances de cet hiver ? Beaucoup d’oiseaux ? Des espèces inhabituelles ?

On a souvent une attitude très paradoxale vis à vis de ces oiseaux. On aime bien en voir beaucoup autour de soi en hiver …  même si l’on sait pertinemment que si l’on en voit beaucoup ça peut être parce qu’ils crèvent de faim et qu’il n’y a pas grand chose à bouffer dans la nature. Plaisir égoïste sans doute … Mais bon, l’Homme est ainsi fait. Pas de raison donc de bouder son plaisir et de ne pas se rincer l’oeil !!!

A noter que, comme il a souvent été dit sur ce blog, les observations sont toujours très difficiles à interpréter. Une abondance de mésanges au poste de nourrissage peut vouloir dire que les effectifs de mésanges sont très importants. Mais cette abondance peut aussi signifier aussi le contraire, à savoir qu’en raison d’une pénurie de ressources alimentaires dans la nature, toutes les mésanges se regroupent de manière artificielle au poste de nourrissage et donnent l’illusion qu’elles sont nombreuses. Soyons donc prudent dans l’interprétation de nos observations.

J’ai remarqué qu’en général, lors d’une « année normale », il y a une quinzaine d’espèces différentes au poste de nourrissage. Mais que ce chiffre passe à une dizaine seulement les années basses, une vingtaine les années hautes, jusqu’à 25 les années exceptionnelles (ce qui est tout de même très rare, cela correspond en général à des hivers exceptionnellement froids comme janvier 1985 ou février 1986).

Alors cette quinzaine d’espèces habituelles, quelles sont-elles (évidemment, ce n’est valable que pour l’Est de la France) ? Je mets ici des images des espèces qui constituent pour moi la base de ce que l’on peut voir quasiment chaque hiver, les autres espèces non citées (tarins, pic mar, bouvreuil, …) étant un peu plus aléatoires.

Mésange charbonnière

Mésange bleue

Mésange nonnette

Sittelle torchepot

Pic épeiche

Rouge-gorge

Merle noir

Chardonneret

Verdier

Gros-bec

Pinson des arbres

Pinson du nord

Moineau domestique

Accenteur mouchet

Pie bavarde

Alors, il se passe quoi dans votre jardin ?

359 réflexions au sujet de “Les oiseaux de l’hiver 2020-2021”

  1. Dupdup, tu es très fort !
    Je venais sur le blog pour poser une question mais je me demandais où j’allais la poser.
    Et hop ! Le Dupdup a mis l’article qu’il fallait pour ça :smile:
    Alors voilà ma question …
    Est-ce que « le visage d’un oiseau » se dit ?

    Je n’ai pas commencé le nourrissage mais je pense que cela ne va pas tarder. Cela fait 3 jours qu’il gèle bien la nuit. Par contre, la journée, nous avons un temps fabuleux, bien ensoleillé et sans un brin de vent, ce qui est suffisamment rare en vallée du Rhône pour être signalé :whistle:
    Je suis très impressionnée par la photo avec tous les gros-becs ! Chez moi, j’en vois rarement et jamais plus d’un à la fois.
    Par contre, tout à l’heure, j’ai vu dans ma cour un oiseau que je n’y avais jamais vu : un roitelet à triple bandeau. Sympa ! :wub:
    Je reprends tes photos et compare par rapport à chez moi :
    Mésange charbonnière oui
    Mésange bleue oui
    Mésange nonette non
    Sitelle non
    Pic épeiche oui
    Rougegorge oui
    Merle oui
    Chardonneret oui
    Verdier oui
    Gros bec rarement
    Pinson des arbres oui
    Pinson du nord oui
    Moineau domestique non mais j’ai le friquet
    Accenteur mouchet oui
    Pie, y’en a pas loin mais jamais chez moi.

  2. Tu sais, les oiseaux, ça se vexe facilement. Si tu écrivais « sittelle »‘ et « nonnette » correctement, peut-être qu’elles viendraient !!! :whistle: :tongue:

    Ici, pas de vent non plus, mais on l’attend car la moindre brise ferait partir le brouillard qui n’a pas décollé de la journée alors qu’à quelques kilomètres de chez nous c’est un magnifique ciel bleu. On n’a que ce qu’on mérite paraît-il … :angry:

  3. Je vois à peu près tous ces oiseaux. Si je compte aussi les oiseaux de l’été à la gamelle d’eau, le nombre d’espèces s’élève à plus d’une trentaine.

    Pour l’hiver, mésanges charbonnières, bleues et nonnette, sittelle, merle, pie, pinson des arbres, pinson du nord, verdier, gros-bec, tarins des aulnes, chardonneret, bouvreuils, rouge-gorge, tourterelle turque, les geais et les incontournables moineaux domestiques auxquels vient se joindre le pic vert (qui ne va à la mangeoire, évidemment !). Il y a aussi un couple de corneilles noires qui vient de temps en temps (et les écureuils… mais ce ne sont pas des oiseaux !) :smile:

    Le pic épeiche reste toujours très loin du poste de nourrissage, bouvreuils et chardonnerets se font très rares. :ermm:

    Par contre, pas d’accenteur mouchet… ! :sad:

  4. Oups ! Désolée pour les fautes, j’ai fait vite et ai été coupée plusieurs fois par un coup de fil.
    Bon, ceci dit, ce n’est pas une raison pour mal écrire le nom de ces sympathiques oiseaux qui du coup, vexés, ne viennent pas chez moi :wink:
    Tu n’as pas répondu à ma question :
    Est-ce qu’on peut parler d’un visage pour un oiseau ?
    Je ne crois pas mais je l’ai lu quelque part.

  5. Ce matin, j’étais en train de regarder avec Joëlle les chardonnerets au poste de nourrissage lorsqu’un mâle d’épervier les a attaqués. L’attaque a été loupée et l’épervier est resté une ou deux minutes posé sur une chaise en bois, le temps que je fasse quelques photos. C’est la première fois que je fais une photo à peu près correcte du mâle d’épervier. Peut-être que j’en ferai un article plus tard (quand j’aurai trié les milliers de photos que j’ai en retard !).

  6. Ici, si effectivement le troglodyte est présent partout, il ne vient pas au poste de nourrissage. Sans doute que les habitudes diffèrent d’une région à l’autre.

  7. Je vais vous énumérer ce que j’ai pu observer hier après-midi dans le jardin :
    Accenteur mouchet – Rougegorge – Troglodyte – Bruant zizi – Bruant jaune – Serin cini – Bouvreuil pivoine – Verdier – Pinson des arbres – Rougequeue noir – Bergeronnette grise et de Yarrell – Pouillot véloce – Roitelet à triple bandeau – Roitelet huppé – Fauvette à tête noire – Linotte mélodieuse – Grimpereau des jardins – Sittelle torchepot – Mésange bleue , charbonnière , huppée , nonnette , à longue queue – Pipit farlouse – Alouette des champs et lulu – Chardonneret – Tarier pâtre – Etourneau sansonnet – Merle noir – Grive litorne , mauvis , draine , musicienne – Pie bavarde – Corneille noire – Choucas des tours – Geai des chênes – Pic épeiche – Pic vert – Bécassine des marais – Canard colvert – Héron garde boeufs – Héron cendré – Aigrette garzette – Buse variable – Epervier – Faucon crécerelle – Pigeon ramier – Mouette rieuse – Goéland argenté – Pluvier doré – Faisan de Colchide . Voilà , si je n’ai rien oublié !
    Par contre ici , observer un Gros bec c’est assez exceptionnel et les Pinsons du nord , ne viennent plus aussi nombreux qu’il y a 10/15 ans .

  8. Tu as vu tout ça en une après-midi ?
    Impressionnant !
    C’est une vraie réserve ornithologique chez toi :wink:

  9. Pour essayer de répondre à la question d’EtiNcelLe :
    difficile de parler de visage concernant les oiseaux. Par contre, certains indices permettent de distinguer les individus: particularité du plumage (taches blanches par exemple), petites variations morphologiques ou comportementales. Mais il faut avoir l’œil. Pas évident… :ermm:

  10. Dans le vocabulaire ornithologique on ne parle pas de visage. On utilise un vocabulaire précis qui fait référence à la morphologie et au plumage essentiellement. On parle de topologie de l’oiseau. Les termes calotte, front, menton, gorge, narine, moustache, nuque, œil ou sourcil ne sont pas surprenant, ajoutons parotiques, raie sommitale, raie latérale, cercle oculaire, culmen, trait malaire, espace sous-mustacien ou trait sourcilier, lores… ça devient plus spécialisé.
    Ces différents termes sont nécessaire pour l’identification de certaines espèces délicates, et bien visibles par exemple sur certains bruants.
    Voir le lien ci-dessous et cliquer sur l’image pour la télécharger, c’est extrait du guide ornitho je pense.
    Sinon en poésie on peut dire visage et même tout ce qu’on veut !

    https://www.google.com/imgres?imgurl=x-raw-image%3A%2F%2F%2F92b9f1d4949c3e6e2684aa390f8df1de22d9b7b35b6fb4a0a31c6b756404f15e&imgrefurl=https%3A%2F%2Fpiafbook.files.wordpress.com%2F2018%2F12%2Factivitc3a9-oiseaux-2.pdf&tbnid=bj6clNTxuZKeyM&vet=12ahUKEwiU7eLjlZ7tAhUtBWMBHdNnDCIQMygUegUIARDLAQ..i&docid=3bxuu0BBKEjaDM&w=748&h=341&itg=1&q=espace%20sous-mustacien&client=firefox-b-e&ved=2ahUKEwiU7eLjlZ7tAhUtBWMBHdNnDCIQMygUegUIARDLAQ

  11. Je pense que le comportement des oiseaux peut varier d’une région à l’autre. Ici en Franche-Comté, on n’imagine pas l’aigrette garzette dans un jardin, ni même un héron cendré, encore moins un garde-boeufs. Autres lieux, autres moeurs …

  12. beaucoup moins d’oiseaux dans l’instant..surtout des moineaux et des mésanges. Mon jardin est entouré de jachères sans intérêt pour les insectes, ceci explique celà je pense. Par contre les jachères permettent l’élevage de campagnols, et donc je vois maintenant assez régulièrement des cigognes, et pour la première fois cette année, une chouette chevêche..

  13. Merci les gars pour vos réponses.
    C’est bien ce qu’il me semblait qu’on ne parlait pas de visage pour un oiseau.

    Yves, ton site internet est vraiment beau et étoffé ! (émoticône qui applaudit)

    Bernard, est-ce que tu ne pourrais pas rajouter une icône qui applaudit dans ta liste ? :whistle:

  14. Cela fait trois bonnes années que j’ai arrêté la photographie animalière (mis à part quelques images d’oiseaux du bord de mer faites en vacances et quelques photos de guêpiers que j’ai faites ce printemps et que mettrai peut-être dans un prochain article). Hier j’ai réaménagé un affût photographique qui est derrière la maison, on verra bien si le virus de la photo (qui vaut bien d’autres virus, hein !) va me titiller … A suivre

  15. Ben j’espère bien!
    Il y a des moments où on a l’impression de faire du surplace mais en fait il y a toujours quelque chose à faire et quelque chose de nouveau à voir ou à photographier. Alors, go ! :wink:

  16. J ai l impression que les années se succèdent et ne se ressemblent pas… et pas dans le bon sens pour moi.

    Mesange charbo
    Mesange bleue
    Moineau domestique
    Pie bavarde
    Accenteur mouchet
    Tourterelle turque
    Pic epeiche
    Rougegorge

    Et c est tout pour le moment bref bien triste mais ce n est qu un debut… il y a 4 ans je suis monté à 21 especes. On verra bien

  17. Actuellement, c’est extrêmement calme au poste de nourrissage mais les chardonnerets commencent à investir les lieux, une quinzaine actuellement (ce que est déjà plus que la moyenne des autres hivers).

  18. Mangeoire installée aujourd’hui.
    Rien encore :wink:
    Si… quand même les pies, les tourterelles, les moineaux, le rougegorge… j’attends la suite.

  19. L’an dernier, j’avais eu une bande de friquets pour la première fois.
    Et bien ils sont de nouveau là cette année :smile:
    Sinon les oiseaux habituels et classiques.
    Mais les chardonnerets sont de plus en plus nombreux. C’est une véritable invasion. Et qu’est-ce qu’ils sont goinfres !
    Ce ne sont pas mes oiseaux préférés. Ils prennent toute la place !

  20. Je me rappelle qu’au début des années 90, j’avais utilisé pendant un hiver 400 kg de tournesol, j’avais évalué le nombre de chardonnerets à 340. Cette année j’en ai une quinzaine, ce qui est déjà beaucoup car habituellement ils arrivent plus tard dans l’hiver. A suivre.

    J’ai parlé dans un commentaire ci-dessus de la mésange boréale.
    Comme elle ressemble énormément à la mésange nonnette (celle-ci étant bien plus fréquente au poste de nourrissage), je remets, pour rappel, le lien vers l’article que j’avais écrit en 2014 sur les différences entre ces deux espèces :
    http://www.leblogadupdup.org/2014/02/21/mesange-nonnette-ou-boreale/

  21. J’ai débuté le nourrissage hier. Première visite, six tourterelles turcs; bonjour le budget! Viennent ensuite les chats puis les moineaux et les charbonnieres ainsi qu’un rouge-gorge.
    Etincelle,j’aimerais tellement être envahi par les chardonnerets,ils sont top beaux. :smile:

  22. C’est parce qu’il est venu chez moi.
    Dans le temps, je ne le voyais jamais mais depuis deux ans, je le vois :smile:

  23. En fait, il est sur le site, je l’entends parfois, mais il ne vient plus au poste de nourrissage. Sans doute qu’il trouve toute sa nourriture facilement dans la forêt qui est derrière la maison. Mais ça me surprend tout de même parce qu’en 40 ans de nourrissage d’oiseaux, c’est le deuxième hiver consécutif où il ne vient pas et cela n’était jamais arrivé auparavant.

    Par contre, très belle observation ce matin : Joëlle a vu une mésange huppée qui est venue chercher du tournesol.

    Le mâle d’épervier est toujours là (jusqu’à présent trois attaques loupées sur les chardonnerets).

  24. La mésange huppée vient aussi à l’un de mes postes de nourrissage . Pas foule tout de même, juste une qui est venue à plusieurs reprises pendant le W.E.
    Je constate que le pic épeiche ne boude pas que mes mangeoires !

    Moins de geais que l’an dernier et les tourterelles turques viennent à 2 ou 3…

    Bernard, si cela ne t’ennuie pas, je t’envoie une photo pour confirmation de détermination d’un oiseau (nonnette ou boréale? ) J’ai toujours eu du mal avec ces deux là… Nul n’est parfait ! :cwy:

  25. J’adore les quizz, si Fifitoutcourt est d’accord je suis preneur, surtout pour me confronter à l’identification sur photo : pas toujours simple, forcément pas tous les critères… et parce que ça fait longtemps qu’on ne m’envoie rien.
    Et des fois ben… on sait pas :wink:

  26. Bernard a déjà répondu mais je veux bien te soumettre le problème, qui apparemment est assez simple à résoudre.
    Je t’envoie ça… si je retrouve ton adresse ! :unsure:

  27. Joëlle qui va se promener une heure à pied tous les jours voit à chaque fois (ou presque), depuis le début de l’hiver, une dizaine de grandes aigrettes dans le pré qui est de l’autre côté de la rivière. Il y en a une qui vient de se poser il y a dix minutes dans le pré juste en face de la maison. J’ai l’impression qu’au fil des années, non seulement leur nombre augmente mais elles ont en plus une tendance à être un peu moins farouches.

  28. Joëlle a vu il y a deux mois un frelon asiatique qui s’en prenait à nos raisins. On a appris quelques jours plus tard que les pompiers sont intervenus pour détruire un nid de frelons asiatiques dans le village.

  29. Une femelle d’accenteur au poste de nourrissage. J’étais étonné de ne pas avoir encore vu cet oiseau cet hiver.
    Par contre, plus aucun signe de vie de la mésange huppée qui était là il y a quelques semaines.
    Les attaques du mâle d’épervier me semble être trop fréquentes en ce moment pour qu’il y ait beaucoup d’oiseaux au poste de nourrissage, je crois qu’il a tendance à faire un peu le vide autour de lui.

  30. Je suis scotché par la manière dont il attaque. Il va à une vitesse incroyable et il est sans doute bien plus efficace sur les petits passereaux que la femelle.

  31. En raison du confinement, nous avons installé notre mangeoire à Autrans seulement la semaine dernière.
    Les moineaux domestiques, mésanges et merles sont vite revenus mais au bout d’une semaine, je n’avais toujours vu aucun pinson des arbres alors qu’ils sont nombreux les autre années.
    Je ne sais pas pourquoi ???

  32. Peut-être est-il encore trop tôt pour que tu les voies. Les mésanges sont des exploratrices et ont vite fait de trouver la nourriture mise à disposition, beaucoup d’autres espèces ne fonctionnent pas de la même manière et trouveront la nourriture beaucoup plus tard. la famille des fringilles (verdiers, chardonnerets, gros-becs, pinsons ….) fonctionne de cette manière et il est rare qu’on les aie au poste de nourrissage dans les premiers jours. Il faut savoir par ailleurs que bon nombre de pinsons des arbres nous arrivent en provenance de contrées plus nordiques (alors qu’on le croit sédentaire). Il suffit qu’il y ait une très bonne année de fructification (ce qui est le cas cette année) pour que les oiseaux n’entreprennent leur migration vers le sud que lorsqu’ils ont épuisé les ressources alimentaires de l’endroit où ils sont. A suivre donc. Pour aller dans le mpême sens que toi : j’en ai très peu actuellement (et l’un d’entre eux s’est fracassé les cervicales sur ma vitre ce matin).

  33. Quelle idée d’avoir des vitres si propres :w00t:
    C’est un clin d’oeil parce que tu as dis une fois que c’est toi qui fait les vitres chez vous.
    Dans la Drôme, les pinsons sont là alors je pense que c’est ta première supposition qui doit être juste.
    On verra au fil du temps …

  34. A noter aussi que la migration des pinsons est quelque chose de compliquée. Les mâles étant plus attachés à leur territoire, ils quittent leurs lieux de nidification après les femelles et les jeunes, ce qui fait qu’on a affaire, lorsqu’on voit des bandes de migrateurs, à des groupes à forte dominante masculine ou à forte dominante féminine. Linné avait déjà observé cela il y a plusieurs siècles et a donné au pinson ce nom curieux (mais qui s’explique) : Fringilla coelebs, qui veut dire « pinson célibataire ».

  35. Les conditions météos asses froides des jours derniers font que l’affluence au poste de nourrissage est un peu meilleure. Tout le monde ici constate cette année l’importance des effectifs des chardonnerets. J’en ai 25 pour l’instant. A part ça, c’est calme. Mais depuis hier, trois tarins, je ne m’y attendais guère.

  36. Dimanche dernier , 22 Bruants zizis sous la mangeoire … !! :happy:
    Ce week-end , c’est pour moi le comptage Wetlands … Je vais avoir du boulot jusqu’à 18h00!! :cool:

  37. Jamais de bruant zizi ici au poste de nourrissage. :angry:

    Mais ça bouge un peu avec l’arrivée de la neige (enfin, moins de 2 cm, on se contente de peu maintenant … !). Ce matin, 48 chardonnerets et 12 tarins (avec une majorité de femelles). Normalement ces oiseaux seront là jusqu’à la fin de l’hiver, car les bandes de fringilles, une fois présentes, restent plutôt fidèles au site. A suivre donc.

  38. Moi aussi, j’ai vu des tarins à ma mangeoire sur Autrans ce week-end.
    Et 1 pinson (des arbres), le premier.
    C’est bien la première fois que je ne vois pas de pinsons.
    Les chardonnerets ? …
    Pff, j’en suis envahie (en bas dans la Drôme parce que sur Autrans, je n’en vois jamais)

  39. Fifi, le pic épeichette est de moins en moins fréquent ici. Il y a vingt ans, je le voyais trois ou quatre fois par an autour de la maison. Il arrive encore que je l’entende ou que je le voie, mais une fois seulement tous les deux ou trois ans. J’habite pourtant un milieu assez favorable pour cette espèce.

  40. bonjour,oui c’est moi qui suis au clavier. depuis hier je peux lire ce qui se passe sur l’écran, par contre pour écrire pour le clavier je dois encore beaucoup chercher k’emplacement des lettres.
    mais je suis super heureuse de vous lire.
    jr n’ai toujours qu’un oeil, je vais même ddire seulement un demi droit. le gauche est encore opaque et peut-être que dans deux mois on pourra faire enlever l’opacité qui me gêne terriblement.
    comme traitement c’et une goutte dans l’oeil droit et de la pommade v itaminée dans le gauche.par contre si on oublie les gouttes je ne vois rien
    mais ce preoblème avec mes yeux ne m’emp^che pas, depuis trois jours de voir un écureuil venir chaque matin, pendant 30 minutes manger é se goiffrer des graines de tournesol. et notre chatte, bien assise derrière la vitre le regarde. l’écureuil sait qu’il ne craint rien, et la chatte reste imperturbable derrière la vitre, sans bouger, à le regarder, c ‘est vraiment trop beau

    pour aujourd’hui c’est terminé, mais je vais revenir tranquillement, vous raconter ced qui se passe chez nous.
    ce matzin, Jean a voulu aller faire quelques courses dans une coopérative, il a tout trouvé ce qu’il voulait, sauf les mouc hoirs en papiers, toute ma région doit être enrhumée……………
    et chez vous, comment vivez-vous avec ce virus ? chez moi, mes deux filles y ont passé en octobre, ainsi qu’un mari, mais tout le monde est rétabli
    quant à moi, je rester àla maison, je n’autorise que quelques visites, avec masque et désinfectant
    j’attends Jean dans la voiture quand il va faire quelques courses et que j’ai envie de voir du pays.
    e4t puis, c’est la saison froide alors le soleil, j’enprofite derrière la vitre.
    bon j’arrête, à cause de ma vue, je ne trouve pas trop les bonnes touches mais rassurez-vous, je ne vois que de l’eau et du thé.

    j’ai une question pour Christophe, il te faut combien de temps depuis chez toi pour venir à la frontière suisse, n’importe laquelle, nous pourions t’acheter des kilos de miel

    amitiés à toutes et tous

  41. l’eau je ne la vois pas, je la bois
    pour lire les journaux, j’utilise une loupe,sauf pour les grands titres , mais cela reviendra, je suis tellement heureuse de lire le blog.

  42. Content de savoir Jacqueline au clavier : bonne année à toi !
    La frontière, ce n’est jamais bien loin pour moi, mon problème c’est le temps (qui passe).
    Mais je vais voir quand je peux caler un RDV, ça pourrait être à Jougne, aux Verrières de Joux ou aux Fourgs… je ne sais pas ce qui est le plus près pour vous.
    Mais pour l’instant prudence : il y a énormément de neige, je n’avais pas vu ça depuis très longtemps.
    A Chapelle-des-Bois d’où je reviens ce soir, ce sont des murs de neige et des amoncellements absolument incroyables… et magnifiques.

  43. On voit que tu as eu du mal à trouver les mots , pour nous dire à quel point tu étais heureuse de retrouver le blog à dupdup !! :w00t: :wink:
    Bravo et merci d’avoir fait autant d’efforts pour nous écrire ces petits mots … la vie n’est pas simple dès que l’on perd un de nos sens !!
    Bon rétablissement Jacqueline ! :happy:

  44. Tous mes vœux de rétablissement à Jacqueline.

    @ Bernard: l
    e fait est que l’épeiche est de plus en plus méfiant. Je le vois toujours de loin mais rarement de près et en particulier au nourrissage. Baisse de population ou changement de comportement ?

  45. OK Christophe, on attendra que la neige fonde. pour nous c’est Vallorbe, mais je dois encore attendre qu’un chirurgien veuille bien s’occuper de mes intestins, alors patience, on dégustera ton miel probablement en automne.

    Bisous aussi à toi Yves pour ton gentil message

    et pour ne faire aucun jaloux, bisous à tous mes correspondants.

  46. Christophe,

    je viens de regarder un peu la carte de géo et d’interroger internet pour les distances.
    comme je n’arrive pas d’après tes inducations à cibler où tu habites, quelle serait pour toi la plus proche frontière suisse de ton domicile.
    pour nous c’est Divonne les Bains, La Cure, Vallorbe ou les Verrières, ou le Col de la Faucille
    à +

  47. Hé hé !
    Comme on dit dans le Haut-Doubs, j’habite « dans le bas », c’est à dire plutôt verts Besançon.
    Mais je travaille sur tout le secteur de Pontarlier et suis donc « dans le haut » très souvent.
    Les deux points de jonctions possibles sont donc plutôt Vallorbe (Jougne côté France) et les Verrières (Les Verrières-de-Joux côté France), voire Sainte-Croix (Les Fourgs côté France).
    Mais si nous attendons la prochaine miellée, il est fort probable que je passe par La Cure, Saint-Cergue, Nyon et Genève pour aller en Haute-Savoie dans la période estivale.
    Ça sent la livraison à domicile !

  48. alors ce serait génial, d’abord de te voir, de t’accueillir chez nous pour un repas et pour le festival des milans.
    alors à bientôt, mais je ne comprends pas, tu as des ruches en Haute Savoie ?
    alors ce sera pour l’été, les bonnes tartines.

    le festival des milans, si d’autres correspondants du blog sont intéressés, venez, venez, le jardin est grand, mais il faudra attendre le premier jour du printemps

  49. Non non, pas de ruches en Haute-Savoie ; de la famille et éventuellement une expédition pour voir le gypaète dans un endroit vraiment merveilleux.
    Je vais régulièrement dans le secteur, mais actuellement, c’est plus difficile de programmer quoi que ce soit.
    Je constate que tu as retrouvé la maîtrise de ton clavier… j’espère que ce n’est pas l’inverse !

  50. bonjour Christophe

    bien lu concernant la maitrise du clavier et le « clavier de la maitrise »
    alors monsieur Mauvais, si je me souviens bien de ton nom, il faudra m’expliquer, car, tout de même après 3 jours de coma j’ai peut-être un peu perdu le sens de l’humour

  51. Bernard et Christophe

    c’est Jean qui m’a demandé de vous poser la question suivante :
    savez-vous comment on peut se débarrasser du frelon asiatique, je vous donne juste un indice, Christophe peut b bénéficier de l’aide de Bernard, en lui empruntant quelque chose.

  52. Pas de connaissance encore de cette énième envahisseuse, je ne connais pas de solution miracle, mais sans doute que tu penses aux poules, je sais qu’elles les capturent très efficacement.
    Pour le clavier, c’était juste un renversement des rôles : Jacqueline, j’espère que ton clavier n’a pas pris le pouvoir !

  53. tu as tout juste, le frelon asiatique vole très lentement et les poules arrivent à les attraper, et il paraît qu’elles se régalent

    pour mon clavier, il y a résistance avec ma vue et mon cerveau, avec ma vue je ne vois pas trop les lettres, et mon cerveau ne se souvient plus des emplacements, mais je dispose d’un bon correcteur, et quand je vois un mot souligné, je sais ce que je dois faire pour corriger la fauteje préc ise que c’est souvent une faute de frappe car pour l’orthographe je n’ai rien oublié, à 88 ans j’en suis fière…………

  54. coucou Bernard, je viens de relire ton message et je comprends la politique de l’autruche…….
    pas vu tout de suite ton jeu de mot, et je me demandais où il y avait du sable pour la tête.

  55. J’ai de gros doutes sur cette structure… j’ai alerté il y a longtemps, sans qu’on puisse me contredire, voire même le contraire.
    Je suspecte très très fortement un lobbying qui agit en sens contraire de ce qui est affiché.
    Je pense qu’en fouillant un peu chacun pourra s’en apercevoir.
    Je vous garantis que je préfèrerais être rassuré, mais vous constaterez vous-même l’opacité de Pollinis et la difficulté à obtenir des informations précises.

  56. bonsoir à tous

    moi je n’y connais rien au sujet des ruches, du miel et de son extraction, je veux parler du travail qui se fait maintenant
    par contre, quand j’avais 8 ans et plus (cela fait plus de 80 ans) j’aimais bien regarder mon oncle quand il venait dans la cour de la ferme avec les hausses pleines de miel et qu’avec son couteau avec une très longue lames il ouvrait les opercules. Je ne me souviens plus du nom de ce qu’il coupait, mais que c’était bon de sucer ce miel.
    mon oncle avait un grand appareil dans lequel il déposait les hausses, et avec une manivelle on faisait tourner les hausses, le miel s’écoulait, on le récoltait dans un grand bidon, avant de le mettre dans des boîtes ou des bocaux. c’était bien bon…………mais on se faisait gronder car on se « suçait » trop souvent les doigts.
    je ne sais pas maintenant comment le miel est extrait des hausses.
    bonne soirée

  57. @ Christophe et otto : Zut alors, il n’y a pas moyen. Maintenant on ne sait plus trop où sont les informations à prendre en compte, où est le vrai et le faux.
    Doutes sur Pollinis pour les neutraliser ou réel foutage de g… ? On ne sait plus où se trouve les complotistes. :blink:
    Pour revenir aux vaccins, si vous pouvez visionner ce petit montage vidéo (avec imac 27 et 48 Go de ram pas moyen de le voir de manière fluide !)

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-teleconsultation-vaccinale-par-louis-fouche-video

    Vive la liberté d’expression ! C’est vrai que Fouché est un « rassuriste » dangereux… et mauvais esprit naturellement… :ermm:

  58. J’ai été inondé de messages venant de pollinis et je me suis désabonné à ce genre d’envois.
    Le fait de trop axer sur l’abeille me semble préjudiciable en soi. Préjudiciable à quoi ? Aux autres insectes pollinisateurs et aux autres insectes ! Il y a 35 200 espèces d’insectes en France et on ne parle quasiment que de l’abeille
    C’est un peu comme le glyphosate. On l’attaque, à juste raison certes (et il faut continuer à demander son interdiction), mais cela masque le fait que la plupart des agriculteurs ne l’utilisent pas (sauf ceux qui font du semis direct) mais qu’ils utilisent des tas d’autres désherbants, plus sélectifs (exemple : les désherbants à maïs) qui sont tout aussi néfastes. Quand va t-on en parler ?

  59. Non, non, ce sont les manipulateurs qui sont responsables, et nous sommes tous plus ou moins manipulables.
    Vu le nombre de fragilités dont je dispose, il en faudrait peu : une bière, un sourire, une chanson, et hop !
    Euh flûte… Dupdup tu me manipules quand tu veux.
    :biggrin:

  60. Moi , il m’aura pas avec une bière … Avec deux peut-être !! :blush:
    les oiseaux commencent à préparer la reproduction , pendant que nous on pleure sur nos interdictions … :getlost:
    les hulottes et effraies s’en donnent à coeur joie toute la nuit , les pics commencent à tambouriner et les buses s’envolent pour de belles parades !! La vie quoi … :wub:

  61. Cette année, la reproduction a commencé effectivement très tôt. Les années passées, il m’était déja arriver de noter le chant de la grive draine entre Noël et le Jour de l’An mais cette année, elle chantait le 2 décembre, c’est la première fois que je l’entends aussi tôt. Le 1er janvier, le pic épeiche tambourinait déjà et là aussi, c’est ma date la plus précoce pour cette espèce. Première fois aussi que je vois des moineaux domestiques inspecter des nichoirs au 15 janvier. Pour les buses, je n’ai rien encore remarqué.

    Au poste de nourrissage, 46 tarins hier, le même nombre aujourd’hui. 35 chardonnerets, soit un peu moins que la semaine dernière. Pas de gros bec, pas de pinson du nord …
    J’ai commencé ce matin un poste de nourrissage pour la buse et les milans (derrière les maisons) mais rien de vu encore pour l’instant.

  62. En effet, les tarins sont maintenant nombreux chez moi par contre, toujours pas de pinson, qu’il soit du nord ou des arbres ! Quand aux chardonnerets, toujours aussi envahissants.
    Premier hiver sans pinson :sad:

  63. Pour les pinsons des arbres, je constate également une nette baisse par rapport aux années précédentes. Et je ne vois aucun mâle.
    S’il n’y avait pas les chardonnerets et les tarins, mon poste de nourrissage serait très très calme.
    Une mésange boréale tout de même hier.
    Pas revu la mésange huppée qui venait il y a deux mois.
    Hiver plutôt calme donc à la mangeoire.

  64. Malheureusement cette année, peu d’espèces viennent à nos mangeoires… L’impression que les moineaux ont tellement envahi le jardin qu’il ne reste que peu de place pour les autres espèces… Nous avons bien sûr notre ami le rouge-gorge qui est un grand habitué, des accenteurs mouchets, quelques mésanges et des merles, mais les autres espèces se font vraiment râres. À noter que nous avons aussi pu observer à l’occasion un faucon. Mais cet hiver aura chez nous été celui des moineaux… Par dixaines…

  65. Concernant le moineau domestique, j’en avais toujours très peu. Mais depuis que j’ai un poulailler, ils sont nombreux, ils vont manger au milieu des poules mais profitent aussi du poste de nourrissage. Je sais que dans mon cas, c’est la présence du poulailler qui explique l’arrivée des moineaux. Par contre, cet hiver ils ne sont pas nombreux alors que je n’ai pas arrêté de nourrir (est-ce dû à la présence continue de l’épervier qui attaque plusieurs fois par jour ?).
    Je ne pense pas que le fait d’avoir commencé de nourrir les oiseaux tôt puisse expliquer la présence importante des moineaux.

  66. A Autrans, nous avons commencé le nourrissage seulement après Noël (et pourtant, c’est en montagne) et nous avons plein de moineaux domestiques.

  67. les moineaux sont peu nombreux chez vous, c’est normal, il y a foule chez nous, toute l’année, maintenant que nous donnons des pommes aux merles ils mangent aussi les pommes.
    et pas seulement les pommes et le tournesol,, mais tous nos restes, pâtes, riz, pain.
    ils ne sont pas à plaindre et j’ai un arbre laurier thym, si on pouvait aller regarder entre les branches il doit y avoir plus de 10 nids de moineaux, cela gazouille tout le temps.

  68. Désolé de gentiment te contredire Jacqueline, mais les moineaux ne font jamais leurs nids dans les branches, mais dans les bâtiments (trou dans un mur, sous le chéneau d’un toit …). :wink:

  69. Je pensais qu’il ne fallait jamais donner de pain aux oiseaux car celui-ci, en s’humidifiant fait gonfler leur estomac et peut conduire à leur mort.
    Ni de reste de notre cuisine d’ailleurs car le sel est très toxique pour eux.
    Bernard ou Christophe, pouvez-nous confirmer tout ça ?
    Quelque chose d’étonnant …
    Un ami m’a raconté la semaine dernière que les moineaux (ce sont les domestiques ici) viennent picorer les pneus de sa voiture. Comme il vit en montagne où les routes sont salées, il pensait que les oiseaux venaient rechercher le sel.
    Je lui ai répondu que cela était bizarre parce que justement, le sel est toxique pour eux.
    Quelqu’un a-t-il une explication ?

  70. bien lu concernant l’alimentation des oiseaux, je veux bien vous croire, mais cela fait plus de 40 ans que les moineaux mangent en plus des graines de tournesol et des pommes notre pain sec. et nous n’avons jamais trouvé un oiseau mort dans mon quartier.
    quant aux nids, il n’y en a point sous nos tuiles et nos poutres de charpente, mais nos arbres sont pleins de nids, de qui ???????????????

  71. Il ne faut jamais donner de pain aux oiseaux !
    Mais… le N° 110 de la Hulotte est une source indiscutable pour illustrer une exception à la règle. A lire d’urgence, c’est toujours aussi savoureux.
    L’exception c’est le moineau domestique (je doute que les autres moineaux en soient à ce point…) car le bougre souffre d’une addiction aux céréales, il est donc aussi consommateur de pain, et en fait de tout ce que les humains peuvent lui abandonner dans le genre.
    Il ingère aussi de nombreux petits cailloux (gastrolithes) ou autres débris rugueux qui font office de meule dans son gésier.
    Les moineaux viennent donc chercher autant de nourriture que de moyens de la broyer aux alentours de nos maisons, en particulier près des routes et des parkings.
    Sinon : JAMAIS de pain aux oiseaux !
    :wink:

  72. Je reçois les numéros de la Hulotte depuis plus de 40 ans, mais j’ai perdu l’habitude de les lire. Alors les numéros s’entassent et tous les cinq ans, je les mets dans leur reliure …

  73. La Hulotte arrive dans la boîte postale de ma mère depuis… 40 ans aussi. Je me rappelle qu’on se demandait comment avoir les 7 premiers numéros (parus depuis).
    Ce n’est que depuis peu qu’en lui rendant visite, et m’occupant un peu du courrier, j’hérite des nouveaux numéros.
    Je me demande comment j’ai pu lâcher autant de richesse.
    Seulement qu’on ne peut être partout, mais tant qu’à faire le tri, c’est vraiment d’une lecture très agréable, enrichissante, reposante et fine.
    La preuve : je n’aurais rien su dire de particulier sur cette espèce si commune que le moineau, et cette histoire de gastrolithe n’est qu’une part du numéro.

  74. Je me demande bien comment Bernard peut résister à la lecture de la Hulotte.
    Moi aussi j’ai tous les numéros depuis le début et quand ma chère Hulotte arrive dans la boîte aux lettres, plus rien d’autre n’existe qu’elle :biggrin:
    C’est ça le grand Amour :wub: :lol:

  75. Le pain c’est mortel pour beaucoup de bestioles, y compris celles à poil et non à plumes… Genre les ânes…

    Sinon la Hulotte j’aime bien, mais je ne suis pas assidu. J’ai lu avec plaisir il y a 1 ou 2 ans le numéro consacré au martin pêcheur, que je vois beaucoup sur le Doubs à Bezak city. Ledit numéro devait dater de bien avant, mais les infos contenues sont toujours d’actualité.

    Ce petit pirate est un grand malin, avec la précédente crue (il y a 2/3 semaines) l’eau avait recouvert la berge à côté de l’écluse où j’habite, et en se retirant ça a créé des mares où sont restés pigés des alevins. Imaginez le banquet du bestiau, posé tranquille sur le tourniquet de la porte d’écluse et allant se servir pour l’apéro…. :ninja:

  76. Avec la pluie des temps derniers, la rivière a quitté son cours et, devant chez moi, l’Ognon faisait 1 km de large et arrivait au bord de la route qui est devant la maison (avec ce chiffre de débit impressionnant pour ici : 268 m3 par seconde). Et c’est l’un des rares cas où je vois le martin-pêcheur depuis la maison, ce martin-pêcheur profitant, comme tu le dis Florent, des petits poissons restant emprisonnés après le retrait des eaux.

    Ce matin : 95 tarins au poste de nourrissage. Ils ne viennent pas toute la journée mais par intermittence seulement, la présence permanente de l’épervier les tient parfois à distance.

  77. 1 km de large ?
    Impressionnant !
    Heureusement que ta maison est légèrement en hauteur :biggrin:

  78. Bonjour
    J’habite à 1100 mètre d’altitude dans les hauts du Léman. Habituellement je vois une trentaine d’espèces d’oiseaux différentes. Cette année il y a peu de visiteurs et toutes les graines des mangeoires sont au sol, un véritable tapis. Il semblerait que je sois pas la seule car j’ai entendu plusieurs personnes faire la même réflexion. Quelqu’un en connait-il la raison ? Nous avons commencé le nourrissage dès les premiers grands froids comme d’habitude. Nous avons 2 mangeoires bien placées, à hauteur raisonnable, pas de chats mais des chats de voisins en visite de temps en temps. Nous ne nous expliquons pas ce phénomène. Si quelqu’un a une réponse merci de la partager.

  79. Ici aussi il y a peu de diversité à la mangeoire (même les buses ne viennent pas sur les déchets de viande) et chez moi, si je ne compte pas les tarins et les chardonnerets, il y a peu d’oiseaux. Je suis encore assez loin de la quinzaine d’espèces habituelle (pour une année moyenne).
    Il est difficile d’analyser la chose, mais je pense que la baisse générale des effectifs d’oiseaux au fil des années conjuguée au fait qu’il y a eu énormément de baies et fruits dans la nature (donc suffisamment pour nourrir le peu d’oiseaux qu’il y a) peut expliquer ce constat.

  80. Une chose me turlupine un peu dans vos commentaires ! Vous vous plaignez toutes et tous du faible nombre d’espèces d’oiseaux à vos postes de nourrissage malgré le « grand » froid vers chez vous . Alors que chez moi dans le Finistère , le froid , la neige je ne connais pas trop … Mais j’ai un grand nombre d’espèces au nourrissage !? :blink:
    Exemple : Pipit farlouse et Bergeronnette de Yarrell cette aprem sur une des mangeoires , et une bonne centaine de Pinsons des arbres sur une autre !! :happy:

  81. bonsoir,

    chez nous il y a beaucoup de moineaux, quelques mésanges, et un rouge-gorge qui tous les matins vient chanter sous la fenêtre de la chambre de Jean.
    naturellement les merles, les pies et les corneilles sont au rdv
    pas encore vu de pinsons, mais il est vrai que dans ma région il n’y a jamais beaucoup de pinsons.

  82. Yves, je n’arrive pas à retrouver l’endroit où l’on a parlé de grands froids. Peut-être qu’à un moment donné on a cru que le froid arrivait, mais ça n’a pas été le cas. Au contraire il n’y a qu’une petite période de froid peu intense (ça n’est pas descendu en-dessous de -8°C ici, loin des températures hivernales de la Franche-Comté). L’hiver est doux et pluvieux (à part le tout petit épisode dont je viens de parler) et en janvier il est tombé 59% d’eau en plus que d’habitude. Les rivières débordent et il est tombé 190mm d’eau depuis le début janvier, ce qui est exceptionnel. Et s’il est tombé beaucoup de neige sur une bonne partie de la Franche-Comté il n’y en a pas eu ici (ou si peu, moins d’1cm et ça n’a pas tenu une journée). De toute façon, le froid n’est pas synonyme de neige, car en général il neige lorsque les températures sont douces (autour de 0°C).
    A mon avis l’explication tient au fait que la nourriture est encore hyper abondante dans la nature en raison de la fructification exceptionnelle de l’année 2020. Il y a encore beaucoup de baies dans les haies. C’est peut-être la seule explication, … mais peut-être pas, je n’en sais rien, j’essaie juste de comprendre.
    A noter aussi que les espèces qui ne viennent pas cet hiver au poste de nourrissage sont présentes quand même : le pic épeiche tambourine depuis le début janvier mais ne vient pas à la mangeoire, les gros-becs sont présents le long des routes mais ne viennent pas non plus, les pipits farlouse sont dans les prairies humides, les geais sont présents en forêt où les chênes ont donné chacun des dizaines de milliers de glands cet automne.
    Les habitudes alimentaires des oiseaux sont différentes d’une région à l’autre : jamais on ne verra ici de bergeronnette au poste de nourrissage, jamais de bruant zizi, de pipit …
    Cela dit, j’arriverai à 250 kg de tournesol, c’est la moyenne habituelle mais ce sera plus que les années précédentes qui étaient assez pauvres. Ici la quantité d’oiseaux au poste de nourrissage ne fait pas défaut (grâce surtout aux effectifs de chardonnerets et de tarins), c’est la diversité des espèces qui est bien plus faible que d’habitude.

  83. A noter aussi que Xavier, mon voisin, s’est mis à nourrir en permanence les oiseaux depuis quelques années. Et le coquin, il me vole une partie de « mes » oiseaux !

  84. En fait , on essaie de trouver des explications générales, il y en a sans doute, mais il faudrait aussi examiner la situation, espèce par espèce, ou dans certains cas famille par famille.

    Exemple de la situation des pics. Dans nos communes rurales très boisées, on a des dizaines de milliers d’arbres dans chaque commune. Une partie de ces arbres crève sur pied en raison des sécheresses qui fragilisent les arbres et les mettent à la merci de tas de parasites ou virus. Le long de nos rivières, dans certains endroits, il y a un arbre sur trois ou sur quatre qui est mort (surtout des frênes), qui pourrit sur pied et qui finit pas tomber. On n’a jamais vu autant d’arbres morts dans la région. Peu sont récupérés par l’Homme. Ces arbres morts sont de véritables gardes-manger pour les pics car ils regorgent de larves d’insectes. On dit souvent qu’il faut laisser un ou deux arbres morts par hectare pour les oiseaux, notamment pour les pics. Mais actuellement il y a bien plus d’arbres morts que cela et les pics semblent avoir leur nourriture assurée pour toutes les prochaines années. Aucune raison donc qu’ils viennent au poste de nourrissage.
    Ici, on n’a sans doute jamais eu autant d’insectes disponibles en hiver (ce qui est par ailleurs accentué par les hivers très doux). Et cela doit impacter aussi les autres espèces, pas seulement les pics. Abondance de baies et abondance d’insectes (essentiellement sous forme de larves) doivent se conjuguer pour créer des situations hivernales plutôt favorables aux oiseaux.

  85. En fait je parle, je parle, mais je ne sais pas au juste ce que j’ai comme espèces au poste de nourrissage car j’ai deux installations de nourrissage et il y en a une que je ne vois pas depuis la maison, qui est plus favorable aux oiseaux (car plus de couvert végétal). Il faudra que j’aille voir un de ces jours ce qu’il s’y passe ! :wink:

  86. Misère à la mangeoire, pourtant il y a des oiseaux dans le coin…
    L’epervier m’a quand-même bousillé deux tourterelles. Bof, c’est son boulot…
    En septembre dernier, j’ai installé un nichoir à chouette cheveche. Tout les soirs elles viennent roucouler dans les arbres tout proches (moins de 10 metres) et avant hier j’ai assisté à l’accouplement dans le noyer juste à côté du nichoir. Dans quelques jours on instale une caméra nocturne… Je suis trop excité!!! :smile: :smile: :smile: :smile: :smile: :w00t: :w00t: :w00t:

  87. Le froid semble annoncé partir du milieu de semaine avec des températures qui vont descendre à -8°C (voire-10°C). Comme ça risque de durer, ça va changer des choses au poste de nourrissage.

  88. Comme on ira en Belgique voir Stephane et Hélène dès que les circonstances le permettront (on n’y est pas allé depuis 2019 et pour cause), le passage par la case « Luc et Marie » et « Cédric et Sabine » s’impose ! :wink:

    Fabuleuse cette info sur Rochefort !!!

  89. je viens de relire vos messages concernant le nombre des espèces. 48 de la même espèce, comment as-tu fait Bernard, pour écrire ou compter 48 – peut-être qu’un oiseau est venu 3 ou 4 fois, ou alors tu leur avait fait une marque de peinture.

  90. On dirait que les pinsons se réveillent ?
    Aujourd’hui, j’en ai enfin vu quelques uns sous mes mangeoires.
    Et toujours des quantités impressionnantes de chardonnerets et moineaux friquets.
    Sinon, comme d’hab : verdiers, tarins des aulnes, le rouge-gorge, mésanges bleues et noires, geais, pigeons ramiers …

  91. quelle chance tu as Etincelle, chez nous seulement le moineau domestique, des merles et des pies et des corneilles.
    Nous n’avons pas encore vu nos « gros dodus » lisez ramiers)
    où sont les mésanges et les pinsons.
    il est vrai que des pinsons c’est très très rare chez nous, Bernard pourra m’expliquer, donc mon village se trouve à 1 kl du lac et à 2 kil de la première forêts et nous avons une altitude de 450 à 550, Je suis à 450 m.
    petite question, le moineau friquet c’est bien celui qui a des joues blanches ? si oui, je n’en ai jamais vu.

  92. c’est un message pour Christophe est-ce-que c’est toi qui a vu un merle blanc avec quelques plumes noires dans ton jardin il y a quelques années ?

  93. j’ai écrit un message à l’intention de Christophe mais je dois l’avoir supprimer au lieu de le poster.
    Je demandais à l’ami Christophe si c’était lui qui avait vu un merle blanc avec quelques plumes noires dans son jardin il y a quelques années :
    mes sources ? internet la curiosité.

  94. C’est étonnant, pourtant tes messages apparaissent bien Jacqueline.
    Le moineau friquet a une tache noire sur sa joue blanche et une calotte couleur chocolat.

  95. Enfin un peu d’hiver dans ce pays… -5° et quelques cm de neige. Ca bouge un peu chez les piafs. Mésanges charbonnières et moineaux font la une, suivent, les tourterelles, les pinsons (enfin) quelques verdiers, un rouge-gorge, des merles et une grive litorne. Plus loin, des pies, des corneilles, des choucas, un geai, un pic épeiche, et « mes » cheveches. :smile:

  96. c’est quoi une chevêche

    merci Etincelle, je viens de voir mes messagers, mais ils ont mis 24 heures pour s’imprimer

    il fait froid chez nous, de la neige est annoncée pour demain.

  97. c’est quoi une chevêche

    merci Etincelle, je viens de voir mes messages, mais ils ont mis 24 heures pour s’imprimer

    il fait froid chez nous, de la neige est annoncée pour demain.

  98. bonjour,

    cela devient trop compliqué pour moi d’écrire quelque chose, je viens de le faire il y a 10 minutes, je tapepublier un commentaire, et j’obtiens ….doublon…………

    alors je me contenterais de vous lire et si j’ai quelque chose d’important j’enverrai un mail.

    aurevoir les amis

    il est 9 h 40

  99. Il fait assez froid ces jours-ci (-7°C ce matin), les tarins (une bonne centaine) et les chardonnerets (une soixantaine) sont bien présents, mais pour le reste ça ne bouge pas beaucoup.
    Le pic épeiche est tout excité avec l’arrivée prochaine du printemps. Il tambourine à tue-tête, insensible à la température ambiante. Il ne vient toujours pas au poste de nourrissage.

  100. et bien non, Bernard, il n’y a rien sous Doumé, mais comme je constate que ce que j’écris ne se publie pas sur mon écran, mais que l’on me répond tout de même, c’est que j’ai été lue, et que si je n’ai pas de réponse c’est que mon message n’était pas important.
    tout de même je me demande comment Bernard peut estimer le nombre des oiseaux, ses citations sont toujours de 80, 90, voire plus, j’ai son adresse au goulot de Busbières, mais j’aimerai bien avoir la sienne à Marseille………………
    ici il fait frois, et 000000 en vue
    bon, je taquine, cela rime avec Jacqueline
    bon après-midi

  101. 4 nouvelles espèces depuis hier : milan royal, buse variable, pie et corneille.
    Je commence mes affûts au milan royal ce mardi avec Michel. Si tout se passe bien, j’en parlerai dans l’un de mes prochains articles, soit le prochain soit celui d’après.

  102. oh oh, milan royal, nous allons bien ouvrir nos yeux, car ce jour le ciel est dégagé et tout bleu

  103. mais ce n’est pas encore le printemps, mais peut-être que les royaux sont du côté d’Yverdon.

    par contre, et nous ne l’avions jamais vu, le rougegorge vient manger sur la fenêtre. la preuve qu’il fait encore bien froid.
    et les corneilles se disputent les pommes avec les merles

  104. Bonsoir Bonza, si vous êtes sur les bords du Lac Léman côté Suisse, prenez contact avec moi à fin mars, si vous voulez voir le spectacle des milans royaux et noirs qui viennent tous les matins manger chez nous la viande que nous déposons sur le gazon . Je suis sur les hauts de Coppet. A bientôt peut-être.

  105. à nouveau je ne trouve pas mon message, destiné à Bonza, mais peut-être qu’il faut une à deux heures entre le moment où je l’écris et que le serveur l’imprime. je verrais demain. bonne nuit.,

  106. j’écris n’importe où, quand vous ne me lirez plus c’est que je serais à l’hôpital pour 10 jour, ou ailleurs sous la terre gelée.
    pas très bon moral actuellement

  107. Bernard, il se passe que du prévu, je vais entrer prochainement à l’hôpital pour l’opération prévue. Tout devrait bien se passer, et je n’aurais plus besoin d’infirmières chaque jour à la maison, mais on ne sait jamais.
    Dès que je connais le jour que j’entre à l’hôpital, je vous fais signe et tu as l’adresse de Jean

  108. Bernard, il se passe que du prévu, je vais entrer prochainement à l’hôpital pour l’opération prévue. Tout devrait bien se passer, et je n’aurais plus besoin d’infirmières chaque jour à la maison, mais on ne sait jamais.
    Dès que je connais le jour que j’entre à l’hôpital, je vous fais signe et tu as l’adresse de pour demander des nouvelles.

  109. Deux questions pour nos ornithologues.
    – On a beaucoup parlé du pain pour les oiseaux: PAAAAAAS BON! :alien:
    Mais qu’en est-il des restes de table? Je pense surtout au riz cuit et aux patates;
    – Connaissez-vous un babillage de merle. Si faible qu’il faut tendre l’oreille pour l’entendre à dix mètres… Je n’avais jamais entendu ça. :angry: :smile:

  110. Les babillages de merle je les entendais bien à l’époque où mon oreille était fine :angry:

    Deux nouvelles espèces cet après-midi : grive musicienne (sur pommes) enfin le pinson du nord (une femelle sur du tournesol au milieu de la bande de tarins).

  111. Je reviens de mon affût aux rapaces (j’étais avec Michel). Je suis tout ému et pour la raison suivante. J’ai fait de l’affût pendant 40 ans avec toujours l’espoir que les milans royaux viennent. Mais, en février/mars, le milan royal ne venait qu’une fois sur dix et ça tenait plutôt de la loterie. Mais là, ce matin, cinq milans royaux en une seule séance et cinq buses. Michel a fait de très bonnes photos, mais moi pas du tout. Je ne publierai rien sur ce blog pour l’instant. Peut-être que dans quelques jours …
    A suivre donc.

  112. Tu es trop émotif en ce moment Dupdup !! :shocked:
    Enfin c’est normal , voir défiler 5000 ans devant tes yeux en une matinée … ça donne des émotions si je ne m’abuse !!! :biggrin:
    Je te fais confiance pour que dans quelques jours , tu nous ramènes de splendides images de ton affût … ce matin en grand seigneur que tu es , tu as laissé Michel se faire plaisir !! :wink:

  113. Yves, si jamais tu as envie de faire de belles images de milans royaux, faut venir en ce moment … et en plus y’a deux ou trois bières qui attendent ! :wink:

  114. Ettt ouiii , ça laisse rêveur ! :angel: Malheureusement ,boulot,boulot en ce moment … pas de congés avant fin-avril :sad:
    Mais bon , je ne vais pas me plaindre , avec tous ces gens qui n’ont pas le droit d’aller bosser …
    Merci quand même pour l’invit ! :wink:

  115. Yves, quand votre président vous laissera sortir de France, une seule adresse, chez nous, car quand plus de 40 milans noirs prennent leur petit déj chez nous (langue de boeuf) c’est un spectacle extraordinaire. On en reparle après le 21 mars, en principe le premier jour du printemps ils sont de retour.

  116. Bonsoir,

    nous avons profité d’un très bel après-midi et d’un beau soleil pour aller nous promener.
    Malheureusement nous n’avons vu aucuns rapaces que des corneilles.
    Même les royaux qui normalement restent pendant l’hiver ne sont pas lé. Jean va à Neuchâtel demain, peut-être qu’il verra quelque chose dans la région d’Yverdon.
    Quant à moi, j’attends toujours la convocation de l’hôpital, et j’ai toujours la trouille au ventre.

  117. je ne comprends plus rien comment les hôpitaux fonctionnent en ce moment en Suisse. Je viens d’adresser toute une série de question à mon médecin.
    Je vous tiendrais au courant Merci MO

  118. Bonsoir Mo

    tout au début d’une de tes vidéos, le lac que l’on voit est-ce le lac de Neuchâtel, celui de Bienne, ou Le Lac Léman
    si tu habites en Suisse, nous pourrions nous rencontrer.
    bonne nuit
    si tu veux m’écrire un mail, j’autorise Bernard à te donner toutes mes coordonnées, je n’ai rien à cacher.
    amicalement

  119. Bonsoir Mo

    tout au début d’une de tes vidéos, le lac que l’on voit est-ce le lac de Neuchâtel, celui de Bienne, ou Le Lac Léman
    si tu habites en Suisse, nous pourrions nous rencontrer.
    bonne nuit
    si tu veux m’écrire un mail, j’autorise Bernard à te donner toutes mes coordonnées, je n’ai rien à cacher.
    amicalement

    Jacqueline

  120. Bonsoir Jacqueline, je n’habite pas en Suisse. Je suis plutôt de la région parisienne. Effectivement, la chaîne YouTube appartient à une personne suisse.Tu as sûrement raison, ça doit être bien le lac Neuchâtel. Plutôt le côté allemand, toutes ses vidéos sont doublées en français, super agréable et très professionnel. Je partage aussi cette chaîne YouTube d’un cardiologue de la région parisienne. Ils donnent de bons conseils.
    https://m.youtube.com/watch?v=NfU3K3lM5-g

  121. j’avais écrit que je ne comprenais plus rien aux hôpitaux de mon canton, et peut-être de tous les hôpitaux de la Suisse, et bien plus aucune visite aux malades ne sont autorisées.
    Je pense que je vais attendre un peu avant de me faire opérer, j’ai demandé conseil à mon médecin.
    je vous tiendrais au courant
    qu’en est-il en France ?

  122. Super content pour Bernard et Michel avec ces milans !
    De mon côté, le couple est revenu au village et parade fort.
    Vivement des images de Haute-Saône :smile:

  123. Je n’ai aucune image, j’y suis retourné deux fois, c’est le calme plat ! :angry:
    Heureusement que Michel avait fait de belles images mardi !
    A suivre …

  124. salut Christophe,

    je suppose que quand tu voudras aller en Haute Savoie tu ne passeras par la Suisse, sauf si nos autorités fédérales autorisent l’ouverture des frontières franco-suisse. Pour l’instant nous ne pouvons pas aller plus loin que 30 kil de notre domicile.
    Pour Bernard et Christophe, Jean en allant surNeuchâtel a vu des milans, noirs ou royaux il ne m’as pas dit, mais je lui demanderais demain.
    Mais dans un mois, nos amis sénégalais seront de retour, alors clik cl,ak par contre si Jean a fait des photos récentes on les enverras par mail à Bernard.
    bon WE

  125. pour Bernard, bravo, magnifique ton article sur les guépiers.
    je n’en ai jamais vu, il me semble que les couleurs sont encore plus belles que les martins-pêcheurs. :smile:

  126. Une poignée de moineaux, une tourterelle et un merle… c’est ce qui reste au poste de nourrissage. Fini l’hiver? :blink:
    En revanche, depuis hier, les pinsons chantent à tue-tête! :smile:

  127. Idem ici. Chute rapide du nombre d’oiseaux au poste de nourrissage. Les tarins étaient 120, depuis mardi leur nombre diminue et j’estime qu’il en reste une vingtaine seulement. Diminution dans les mêmes proportions pour le chardonneret.
    Il fait très beau ici (c’est mon petit clin d’oeil à Yves, il comprendra …) et ceci explique sans doute cela.

    Par contre, présence du faisan qui vient prendre de graines de maïs, c’est nouveau pour moi.

  128. La probalité qu’elles reviennent sur Bussières et qu’elles ne continuent pas sur les pays nordiques est quand même très très faible, ça se compte suédois de la main ! :silly:

  129. bonjour les amis,
    je suis toujours contente quand je viens sur le blog d’avoir des nouvelles de vos oiseaux, mais je n’ai toujours pas compris comment faisait Bernard pour nous écrire par exemple 120, ou 90, est-ce-que il leur met une petite couche de peinture sur les plumes.
    comme il fait grand beau et chaud, en ce moment nous faisons des économies de graines de tournesol

    quant au milan que Jean a vu l’autre jour dans la région de Neuchâtel, c’était un royal, mais Jean n’a pas vu sa reine.

  130. @Jacqueline : J’ai une assez bonne habitude du comptage d’oiseaux en groupe. Pendant trente ans, quand je voyais un groupe d’oiseaux au vol, j’estimais grosso modo le nombre d’oiseaux et ensuite je vérifiais aux jumelles. Et au fil des années, j’ai amélioré ma méthode. Mais bon, si la méthode est valable, c’est à 10% près, ce qui est déjà pas mal.
    La méthode est indentique pour des oiseaux posés (sur un arbre ou au sol).

  131. ah bon, merci pour les explications, mais au sol je pense que tu n’as pas besoin de machine à calculer ou de jumelles.
    il a fait très chaud aujourd’hui, primevères, perce-neige, crocus, eranthis le jardin est magnifique. J’espère que les tulipes et les jacinthes attendront un peu pour montrer le bout de leurs feuilles.
    et la végétation est aussi en avance, et les arboriculteurs sont inquiets Mais le froid et le gel vont revenir, mais ils ont chaufferettes ou ils peuvent asperger les bourgeons avec de l’eau quand il gèle.
    Bernard, avez-vous du gel en FC, tu fais comment avec tes fruitiers,
    bonne soirée – bon WE

  132. Les fruitiers s’en fichent complètement du gel à cette époque. Un arbre qui n’est pas encore en sève ne risque rien. C’est en avril qu’il y a des risques, et encore … la pluie qui fait couler les fleurs en avril provoque bien plus de dégâts que le gel. Le seul fruitier qui risque au printemps, c’est le noyer car le gel peut anéantir le feuillage (alors que pour les pommiers, poiriers, pruniers, cerisiers, … il ne peut pas). S’il y a peu de fruits en 2021, ce ne sera pas à cause du gel de ce printemps, mais lié au fait que les arbres étaient surchargés de fruits en 2020 … la nature va rééquilibrer les choses. C’est ce que l’on appelle le phénomène de l’alternance (une année sur deux), bien plus visible sur les pommiers que sur les autres fruitiers.

  133. Chez moi, les pêchers commencent à fleurir, alors ça commence à craindre s’il gèle.
    Quant aux amandiers, cela fait déjà un moment qu’ils sont fleuris.

  134. C’est quand la floraison normale des pêchers en Drôme? Je suppose qu’il y a une différence entre la Drôme provençale et par chez toi…?

  135. On exagère le côté néfaste du gel sur les fruitiers. Ici les pêchers fleurissent dans la deuxième quinzaine de mars, à une époque où le gel est encore très présent. Mais une fleur de pêcher, ça ne gèle pas à 0°C ni même à -1°C, voire même à -2°C, ça dépend aussi si le gel est prolongé ou non, du taux de l’humidité … Evidemment, un gel violent va faire crever en une seule nuit les fleurs déjà ouvertes, mais pas forcément celles qui ne sont pas encore épanouies. Ici il y a des pêches tous les ans (ou presque) et lorsqu’il n’y en a pas (ce qui est assez rare, je pense que ça n’arrive qu’une année sur dix), c’est en général parce que la pluie a fait « couler les fleurs » (c’est l’expression qu’on utilise ici).

  136. bonjour,

    en Suisse, surtout en Valais, les arboriculteurs craignent gel pour les abricots, et dès que le gel est annoncé, ils allument les chaufferettes et giclent de l’eau pour enrober les bourgeons et les fleurs pour que le gel gèle l’eau. un peu compliqué à expliquer.

  137. Je me rappelle effectivement que dans le Valais (un jour que j’y passais), il y avait des feux d’allumés dans les vergers. Les fleurs d’abricotiers sont encore plus précoces (première quinzaine de mars) que celles du pêcher et subissent forcément le gel chaque année.

  138. On voit ces méthodes aussi dans le sud de la France quand il y un coup de froid tardif.
    Je me demande si la période la plus délicate pour les fruitiers ne serait pas plutôt la nouaison que la floraison ?

  139. Les conditions météo actuelles sont sans doute très favorables à la migration des grues. Peut-être qu’elles remontent dans le nord sans même s’arrêter au lac du Der. Ce qui me fait dire ça, c’est que le comptage d’aujourd’hui au Lac du Der ne fait état que de 3 410 grues, ce qui est peu …

  140. J’étais en Camargue ces jours derniers (2 excursions), il y avait un paysage sonore qui ressemblait au Der : des milliers de grues au nord et à l’est de l’étang de Vaccarès, beaucoup d’arrivées d’Afrique apparemment, je n’avais observé ça en Camargue.

  141. Il me semblait au contraire que, jusqu’à présent, la Camargue n’était pas un lieu important pour la migration des grues.
    Tout fout l’camp mon brave monsieur … :angry:

  142. On a déjà changé de sujet mais je reviens sur les pêchers.
    En fait, ici, on récolte des pêches de mi-juin à mi-septembre, suivant les variétés (je signale que ma commune est la « capitale » de la pêche (du moins, avant la sharka !)). Alors, forcément, les floraisons sont également étalées suivant les variétés. Les premières fleurissent maintenant. Luc, je pense que la différence de latitude entre la Drôme provençale et chez moi est moins importante que la différence entre les variétés mais je ne suis pas arboricultrice alors je dis peut-être des bêtises (ce qui ne changera guère penseront certains :lol: )
    Comme chez Jacqueline, on allume des petits feux dans les vergers les nuits où le gel est annoncé (pêchers et abricotiers). On a aussi parfois de petites éoliennes qui brassent l’air pour qu’il ne gèle pas à proximité des arbres.
    Pour revenir aux oiseaux, une amie a vu des cigognes en migration vers le nord près de chez nous il y a déjà deux semaines.

  143. coucou Christophe, as-tu fait de l’équitation.
    Ici aujourd’hui il a fait vraiment chaud, la neige a fondu a plus de 1000 mètres.
    c’est la semaine de vacances vaudoises qui commence, et je plains les parents qui ont caravane ou résidence secondaire entre 1000 et 1500 mètres.
    quant à nous, nous n’attendons que trois choses
    1/ le retour des milans noirs, peut-être auront-ils de l’avance
    2/ que les frontières franco-suisse rouvrent, car à 30 kil de chez moi nous ne pouvons qu’aller au col de la Faucille.
    pour se rencontrer, il faudrait que vous, les amis français veniez jusqu’à une frontière suisse.
    3/ je pense que je vais écrire à Madame Macron peut-être qu’elle pourra convaincre son mari de vous laisser plus de liberté
    En parlant de Brigitte, avez-vous remarqué que l’on ne la voit plus à la TV, y aurait-il eu « rupture »
    les spécialistes des grues et leur retour des pays chauds, pensez-vous que les milans noirs auront de l’avance ? à demain les amis

  144. Etincelle, les cigognes que ton amie a vues sont peut-être à Yverdon, elles ont eu l’honneur de la TV il y a quelques jours.

  145. Ici, quand on cultive la variété de pêche Mayflower, on la récolte au 15 juin. Alors là, je suis scotché de voir que finalement il n’y a pas de différence de dates de récoltes entre la Drome et la Franche-Comté.
    Je pense tout de même que les premières récoltes dans la Drôme sont bien avant le 15 juin, Etincelle a dû se tromper …

  146. Là, je parle de chez moi. Je ne sais pas pour toute la Drôme.
    Il me semble bien que c’est vers mi-juin que les pêches commencent sur ma commune.
    Je te dirai cette année ce que ça donne quand nous arriverons en juin.

  147. De toute façon, on ne joue pas dans la même cour. La Drôme est une région d’arboriculture fruitière, pas nous (hormis quelques tous petits secteurs comme Fougerolles, réputée pour ses cerisisiers). Et s’il y avait énormément de vergers ici, il s’agissait avant tout de vergers destinés à la consommation personnelle des gens, et rarement à la vente des fruits. Et bon nombre de ces vergers ont disparu. Et d’ailleurs tous les pépiniéristes vendeurs d’arbres fruitiers arrêtent leurs activités, les uns après les autres. Et les rares qui en vendent encore ne les greffent plus, ils ne font que revendre des arbres achetés en Alsace ou dans l’Anjou.
    La culture des pêchers reste anecdotique ici. Tout au plus quelques pêchers dans les jardins. La raison n’est pas liée au gel ou à la pluie mais au fait que l’on ne peut pas vraiment avoir de pêchers sans les traiter contre la cloque qui est une maladie cryptogamique très présente. On peut cultiver ici des tas de variétés de pêches mais traditionnellement les gens ne le font pas, il s’en tiennent souvent aux « pêches de vignes » qui se reproduisent par semis, sans greffage.

  148. Oups ! Je viens de demander à mon voisin qui est agriculteur et possede des vergers de pêchers.
    Il me dit qu’ici, on peut commencer à avoir des pêches mi-mai (idem pour les abricots).
    Je suis sciée !!!
    Il me semblait que je ne commençais à en acheter que vers la mi-juin.
    Bref ! Je suis complètement out et encore une fois, c’est le Dupdup qui avait raison :wink:

  149. Les choses sont en train de changer, la justice devient plus sévère.
    Il faut rappeler que tuer une espèce protégée n’est pas une contravention mais un délit. Donc 75 rouge-gorges capturés au filet, ça valait bien ce jugement. Aucune circonstance atténuante pour le mec, vu qu’il était récidiviste.

  150. Ça paraît sévère en regard des condamnations habituelles en la matière.
    Mais si on compare les jugements gilets jaunes/gilets orange… on se dit que la plupart des gilets jaunes n’ont même pas tué un rougegorge.

  151. Je trouve que les condamnations avec sursis, c’est bien. C’est un sérieux avertissement et ça permet au mec de réfléchir. Et si le gars continue, il prend des risques énormes en toute connaissance de cause. Alors oui, c’est sévère dans un certain sens (vu qu’une telle condamnation semble exceptionnelle, voire inconnue en ce jour … même si ça reste en deça de la peine maximale encourrue) mais d’un autre côté quand même, le gars joue avec le feu en le sachant (et sans doute en se disant « je les emmerde »).

  152. Franchement, s’amuser à tuer des espèces en voie d’extinction, il faut être tordu, il mérite une grosse amende $$$$ + le 1 an ferme!

  153. Quand j’ai entendu cette info, je me suis demandée ce que ce type pouvait bien faire avec 75 rouges-gorges morts ???
    Pourquoi fait-il ça ?
    Cela lui rapporte-t-il quelque chose où c’est juste le plaisir de tuer ?
    Il ne les mange quand même pas ? Cela doit être tellement minuscule une fois déplumé.

  154. bonsoir,

    j’ai des bonnes nouvelles, mes yeux vont bien et demain j’aurais des nouveaux verres. je dois juste encore faire subir une petite opération à l’oeil gauche qui a un voile qu’empêche de « voir »cela se fera courant avril.
    logique me direz vous.
    la seconde bonne nouvelle, aujourd’hui sur l’autoroute allant de Lausanne à Neuchâtel, nous avons vu 5 magnifiques buses à collier.
    et au dessus d’Yverdon, région que Bernard doit bien connaître deux milans royaux.
    nous avons aussi vu sur un arbre un épervier…? je ne me souviens de son nom de famille.

  155. Cette pratique dans le sud-est de manger des brochettes de rouge-gorges (et d’autres petits passereaux) est une véritable honte. La France se déshonore avec de telles pratiques.

  156. Hallucinant. :blink: Y’a rien à manger dans un rouge-gorge… 18 g avec les os et les plumes et tout mouillé… C’est vraiment la famine dans le Var…? :ermm:

  157. Sérieux ? C’est pour les manger ?
    Je n’en reviens pas.
    Il doit y avoir plus d’os que de chair :shocked:
    Faut vraiment être débile :angry:

  158. Je ne pense pas qu’ils les mangent eux-mêmes, ils alimentent un circuit d’amateurs de brochettes de rouge-gorges. C’est du traffic.
    On dit que les chardonnerets capturés dans les Ardennes se vendent 300 € pièce. Mais là, ce n’est pas pour manger, mais pour être mis en cage.

  159. J’ai un ami originaire pure souche du Chili, qui a crapahuté toute son enfance dans la cordillère des andes, de longues journée seul avec ses chiens. Il ma raconté « son » histoire de brochettes de passereaux. Peu importe l’espèce si c’est un petit oiseau. Les oiseaux sont piqués morts ENTIER sur la pic et cuit avec les pumes, les os et les entrailles. Il parait que c’est délicieusement croquant. La pratique était courrante à l’époque et faisait partie de l’alimentation. :blink: :smile:

  160. dommage pour mes nouveaux verres, l’opticien me conseille d’attendre que l’opération de ma reconstruction soit faite, car il a peur que ma vision change encore une fois à cause d’une anesthésie. Donc, je vais attendre, mais cela ne m’a pas empêchée de voir quelque chose d’inattendu contre la façade de la maison.
    Jean avait construit un escalier pour les chats des locataires à l’étage, les locataires sont partis, mais on a laissé l’escalier. Alors, on ne sait pas encore si c’est corneilles ou pies, mais un nid est en train de grossir gentiment.
    S’il pouvait servir de maternité……………cela fera des belles photos dans quelques semaines.
    Pour l’instant on voit le nid, pas les oiseaux, mais on vous dira par la suite. Dans tous les cas, ce nit, pas encore terminé, est trop gros pour être un nid de moineaux ou de mésanges.
    affaire à suivre.

  161. D’un certain côté, c’est bien que tu n’aies pas tes nouveaux verres … tu ne verras pas toutes les misères de ce monde :angry:
    Désolé, Jacqueline, pour cet humour un peu noir :wink:

  162. non seulement je dois attendre pour des nouveaux verres, mais pour un appareil auditif car, je crois que je ne vous en avais jamais parlé, je suis devenue très, mais très mal entendante depuis mon opération de juin 2020
    mais même avec un oeil, c’est tous les jours que je vais aller regarder le nid qui se construit contre la façade. Ce soir, par mail, je t’envoie une photo Bernard, et tu verras qu’à la place de la chatte il y a maintenant un nid.
    Nous sommes ravis, et nous espérons que les nouveaux locataires de l’étage ne verront pas ce nid, car ils seraient capables de le détruire,

  163. avec Jean nous sommes outrés de penser que dans le sud on mange des oiseaux.
    dans les pays pauvres, pour changer des sauterelles, je veux bien comprendre que l’on mange des oiseaux, mais ici, en France, c’est fort de café.
    je pense que je vais écrire à Brigitte Bardot, peut-être qu’elle prendra aussi la défense des jolis oiseaux.

  164. Je pense que Brigitte Bardot (que je respecte car Gainsbourg lui a dédié l’une des ses plus belles chansons – l’une de mes découvertes en 68 – Initials BB) n’en a pas grand chose à foutre des petits oiseaux … Elle s’intéresse beaucoup aux chats et aux chiens mais la faune sauvage (à part les bébés phoques et deux ou trois autres espèces) c’est pas vraiment son truc. Cela dit, je ne critique pas son action (que les amis des chats et chiens apprécient), je dis juste qu’elle est dans un combat qui n’est pas celui-ci.

  165. Bernard, je plaisantais en disant que je voulais écrire à BB, mais tout comme Jean nous restons outrés que les gens du sud mangent les oiseaux où les mettent en cage.
    Ils n’ont qu’à aller pêcher et cuire leurs poissons en brochettes.

    je suis en train de me demander, quand le couple d’oiseau qui font un nid contre ma façade, comment ils réagiront quand les milans seront là

    j’ai oublié de te mettre la photo de l’échelle, ce sera bientôt avec le nid.

  166. J’aime bien la petite phrase « ce n’est pas le chevreuil qui traverse la route, c’est la forêt qui est traversée par la route. »
    Alors la France pourrait être une réserve naturelle dans la quelle il y aurait des zones de chasse non ?
    Le contraire de la situation actuelle…

  167. demain j’espère savoir si
    c’est une pie ou un corbeau.
    mais l’écureuil vient toujours au poste de nourrissage (fenêtre) et nous craignons pour les futurs oisillons.
    y aurait-il une manière pour le décourager, je pense peut-être à une herbe, une odeur, etc.
    c’est un grimpeur super agile et rapide.
    bon WE

  168. je reviens sur les conversations au sujet des rouge-gorge. je conçois bien que des gens veuillent manger des petits-oiseaux, mais pourquoi des rouges-gorges ?

    ces gens n’ont qu’à aller à la chasse aux canards, ou bien pêcher.
    ou manger des cailles mais seulement d’élevage…………….ou des poulets.

    Si Yves n’a pas changé de travail il ne me contrariera pas.

  169. bonjour,

    je voulais écrire « contredira » mais pas contrariera

    mais alors pourquoi cet engouement pour les rouge-gorge.
    est-ce la réglion sud et méditerranéenne qui fait que les rouge-gorge sont abondants.
    chez moi, nous n’en avons QU’UN SEUL il doit être veuf, ou célibataire endurci

  170. Les rouge-gorges sont presques toujours seuls, y compris en hiver, ils sont très territoriaux, même en hiver (ce qui s’explique par leur régime alimentaire) et à moins d’être à la limite de deux territoires ou d’être dans une période extrêmement froide, on les voit seul.

  171. merci Bernard, oui chez nous il est seul, mais y-a-t-il une région en France où ils préférèrent rester,par rapport à ma région, je veux dire en groupe ou grandecolonie
    merci

  172. Splendide !
    Il en traîne quelques-uns en Franche-Comté (1 pas loin de chez moi) mais je suis incapable d’imaginer cet oiseau dans le jardin. :blink:

  173. c’est magnifique cette photo. Dans ma région nous avons beaucoup de héron, mais pas de cette « race »

    j’ai eu ce jour une assez bonne journée, je ne retournerai pas à l’hôpital, car pour mon cas il est exclu de tenter une reconstruction, le chirurgien dit que personne ne tenterait une reconstruction. C’estc’est trop risqué à mon âge. Alors avec les infirmières et l’aide de Jean, je reste comme je suis et cela ne nous empêchera pas de partir 2 ou 3 jours.
    je devais attendre l’opération et cela reportait à plus de deux mois l’intervention sur un oeil, alors cela devrait aller plus vite maintenant
    je n’ai pas regardé le drôle de nid

    pas eu le temps, je vous en parle demain.

    bonne nuit à tous.

  174. Je suis allé hier avec Bruno et Michel faire une balade ornitho. Nid de faucon pélerin, nid de grand corbeau, 10 chamois, pic mar, pic épeichette … et tout ça à 6,5 km de chez moi. :wub:

  175. 10 chamois : drôles de volatiles pour une sortie ornitho :lol:
    Bravo Yves pour ta belle photo du héron dans ton jardin
    C’est un vrai jardin enchanté …
    Non seulement on y trouve des hérons mais aussi des grues … en tout cas leurs becs :w00t:

  176. ben moi, je ne vois que de l’herbe à part le héron. Ou alors, la grue c’est pour construire des maisons en légos

    quant aux occupants de notre nid, nous ne savons pas encore qui va payer le loyer

  177. ben moi, je ne vois que de l’herbe à part le héron. Ou alors, la grue c’est pour construire des maisons en légos

    quant aux occupants de notre nid, nous ne savons pas encore qui va payer le loyer

  178. Jacqueline, il n’y a en effet que le héron comme oiseau sur la photo d’Yves.
    Mais si tu regardes bien, juste derrière, on voit des petites fleurs roses. On les appelle des becs-de-grue. Voilà pourquoi je disais que non seulement on trouvait des hérons dans le jardin d’Yves, mais en plus des grues (tout au moins leurs becs). Les becs-de-grue sont des petites fleurs à ras du sol de la famille des géraniums. Le fruit est très très allongé et fait penser au bec d’une grue, d’où son nom. Je suis sûre que tu dois en avoir dans ton jardin, dans ta pelouse. C’est une espèce sauvage très courante.

  179. retour de la mésange huppée au poste de nourrissage, après deux mois d’absence.
    je suis super content de la voir en mars car on est en période de nidification pour cette espèce et cela veut dire qu’elle niche tout près de chez nous. Il faut dire que le côteau boisé derrière la maison est très riche en pins et que cette essence plait beaucoup à la mésange huppée. A suivre.

  180. merci Etincelle, j’ai regardé sur internet, mais dans mon jardin je n’ai pas ce genre de fleur.

  181. Jacqueline, je crois vraiment que tu accèdes à ce blog par un lien inhabituel, tu ne vois jamais les derniers articles, comme par exemple celui avec ta photo d’écureuil. Et ça fait des mois que ça dure … :wassat:

  182. Je ne sais pas comment elle fait. Remquarque des fois, Google affiche les pages scannées dans son outil sans donner le chemin directement.. Pour les sites en général d’informations mais cette pratique est devenu illégale me semble…
    @Jacqueline, que utilises-tu comme navigateur ? Accèdes-tu au blog en tapant dupdup dans le moteur de recherche du navigateur ?

  183. merci Yves comme vous l’avez tous remarqué je suis nulle en ordi, et Jean est nul pour les blog.
    jj’ai eu le malheur de lui dire que quelqu’un du b log m’avait signalé que je devrais taper http etc etc et il a supprimé dans mes favoris le post appelé les oiseaux de l’hiver, il est toujours trop pressé et il met la charrue avant les boeufs.
    en magouillant je ne sais pas quoi il m’a retrouvé les oiseaux etc.etc et demain il pourra mettre http edtcetc.
    je pense que Bernard avait raison en disant que cela fait plus de trois mois, etc,etc, et Christophe qui qui écrivait que c’est un lien helvétique.
    j’ai donc vu que j’avais beaucoup de retard dans mes lectures, mais comme Jean sera absent lundi je pourrais me rattraper et surtout commenter
    je vous souhaite un bon WE et encore merci.
    La chatte passe beaucoup de temps derrière la vitre, et l’écureuil sur la fenêtre, normal, Jean lui met 10 noisettes chaqaue matin, mais l’écureuil aime aussi les graines de tournesol, c’est incroyable son agilité et la vitesse à laquelle il mange. En principe il vient 3 à 4 fois par jour.

  184. Deux bergeronnettes grises viennent à l’instant de faire le tour du jardin. :wub:

  185. J’ai souvent dit sur ce blog que le nourrissage des oiseaux était surtout important en fin d’hiver/début de printemps et que c’était la période la plus difficile pour les oiseaux.
    5 espèces en plus ces jours-ci au poste de nourrissage : le bruant jaune, la mésange à longue-queue, le faisan, le héron cendré et … une autre espèce que j’attendais depuis 40 ans et qui est enfin venue. Mais j’en dirai plus dans un autre article ! :wink:

  186. Et, à l’instant, une sixième espèce nouvelle au poste de nourrissage en quelques jours : le serin cini, sur du tournesol !

  187. 40 ans que tu n’avais pas revu cet oiseau et tu l’as reconnu !!! :w00t: Il a dû perdre quelques plumes quand même … !? :tongue:

  188. Plusieurs de mes amis ont déjà le pinson du nord à leur poste de nourrissage. Chez moi, non, tout est très calme et je n’ai pas énormément de diversité. Et comme mon voisin a commencé de nourrir aussi les oiseaux, presque aussitôt la quantité a été divisée par deux chez moi.
    J’ai acheté 330 kg de tournesol, je suis mal parti pour tout l’utiliser mais je vais mettre en place ces jours-ci un nouveau poste de nourrissage devant « la cabane ». A suivre.

  189. Chez moi aussi , il y a un joli nombre de Pinsons du nord … Et pour la première fois , le Pic mar au poste de nourrissage !! :cool:
    Là , je viens de compter 14 Bruants zizi … Mais eux , ils préfèrent lorsqu’on balance des graines ( surtout millet ) par terre sous la mangeoire pour venir s’alimenter dans un coin du jardin .

  190. Sans doute que l’arrivée précoce des pinsons nord reflète la mauvaise fructification des hêtres. Si la situation est la même dans les pays nordiques que chez nous, les pinsons du nord ont intérêt à se serrer la ceinture. Et très probablement que très peu arriveront à aller jusqu’au printemps prochain.

  191. Je n’ai jamais utilisé de graines de millet. Je n’ai jamais eu le bruant zizi à la mangeoire, bien qu’il y ait parfois un couple nicheur près de chez moi). Par contre, le bruant jaune vient assez facilement au poste de nourrissage (devant ma cabane) avec des graines de blé au sol, en fin d’hiver surtout. J’ai une amie qui a eu le bruant fou à son poste de nourrissage, elle m’avait demandé d’aller vérifier (c’était il y a plus de 30 ans) et effectivement … J’ai eu également le bruant des roseaux à quelques reprises alors que j’habitais au bord de la rivière.

  192. Bonsoir,

    nous n’avons pas de pinsons du nord, mais des verdiers en quantité.
    et toujours les moineaux, et mésanges toutes familles confondues.
    dans la campagne maintenant en se promenant on peut voir beaucoup de buses.

  193. Pour régir à l’observation du pic mar de Yves : ici, les sécheresses estivales des dernières années (associées aux parasites et virus) ont bien endommagé les peuplements forestiers et il y a plusieurs milliers d’arbres morts sur la commune. Les pics ont à bouffer en permanence, ils ont d’ailleurs eu une année de reproduction 2021 exceptionnelle. En raison de cette abondance de nourriture (insectes dans bois mort), leur présence au poste de nourrissage devient plus rare.

  194. @tous, bonjour
    en ce moment les paysans labourent, sèment, étendent du fumier ou du lisier (j’habite heureusement un quartier de villas), ce qui fait que buses, mouettes, goélands ont de quoi se régaler, tout comme pas mal de .hérons
    et comme il n’a pas encore gelé, il y a manger.
    Il y a une semaine nous étions dans le jura bernois (environ 1000 mètres) et il y avait des taupinières bien fraîches partout, dans les pâturages. Nous étions aussi dans les Franches Montagnes, mais plus aucun cheval dans les pâturages, dommage, nous avions pris du pain sec. Nous avons pensé que les chevaux n’aiment pas rester dehors à 4-5 degrés.
    Sur notre fenêtres, bien garnies de graines de tournesol, nous avons toujours moineaux, mésanges, verdiers et les tourterelles.
    Hier j’ai vu pour la première fois le petit rouge gorge venir aux graines sur la fenêtre.
    a +

  195. Jacqueline, je pense que les chevaux supportent bien le froid et même les grands froids. Ici, ceux qui restent ici tout l’hiver dehors passent très peu de temps dans leur abri, ils préfèrent être à l’extérieur. Là où je travaillais, on avait trois ânes qui avaient à leur disposition un super abri. Quand il gelait 15°C en dessous de zéro, ils n’allaient quasiment pas dans leur cabane. Les pluies d’hiver, par temps doux, leurs sont plus gênantes, bien plus emmerdantes en tous les cas que les grands froids.

  196. @Bernard,

    je sais que les chevaux peuvent rester dehors, mais nous étions à plus de 1000 mètres et peut-être que leurs propriétaires ne les laissent pas trop dehors car en fait ce sont des chevaux de concours.
    Dans ma région je ne sais même pas si les chevaux restent dehors, car il n’y a plus de paysans avec des chevaux, il y a dans deux villages voisins de chez moi des personnes qui hébergent des chevaux, pour 2000.– à 3000.- CH par mois, et quand on voit le nombre de box c’est une activité qui rapporte. Maintenant, que ce soit 10 h le matin ou 16 h, quand on passe dans les parcs, les chevaux ont tous une couverture.
    Les temps changent, mais quand j’étais gamine, il y a plus de 75 ans, les chevaux de notre ferme, été comme hiver passaient la nuit dans les écuries.

  197. Rêgle de base : pas de pain aux animaux !!! Leurs systèmes digestifs ne sont pas capables d’ingérer les produits transformés type blé tendre (donc pain). Si vous voulez tuer un âne, faites-lui une cure de pain. Occlusion intestinale rapide et mort juste derrière. De toutes façons, les personnes qui se permettent de nourrir les animaux d’autrui sont nocives pour les-dits animaux. Et insupportables pour les proprios car ce sont eux qui paient les frais de véto ou d’équarrissage.
    Je vais parler pour ma paroisse, les ânes. Ils endurent sans problème du -15, car à cette température c’est sec ils vont bien. La vraie denrée pour eux c’est pluie/vent. Pas pareil pour les chevaux d’ailleurs, qui eux produisent un sébum qui les immunise de la pluie.
    Mais surtout arrêtez de nourrir les animaux des autres punaise !!!!!!!!!! Je ne vais pas nourrir vos chiens ou chats, faites pareil svp merci !

  198. @Florent bien lu mais dites moi pourquoi j’ai vu plusieurs fois un pancarte sur un portail d’une propriété où le propriétaire accueille des chevaux en pension : merci de déposer ici vos restes de pains. Je connais bien cette personne et je sais qu’il n’accueille que des chevaux et qu’il n’a ni poules ni lapins !!!!!!!!!!!!! car cette personne étant, comme on dit dans ma région, qu’il est de « la haute » et que cela salirait les mains de nourrir des animaux de basse-cour.

  199. Bonsoir les amis.
    Ici près de chez moi, en ce moment, il y a plein de buses dont une superbe avec tout le poitrail blanc comme neige.
    La buse variable porte bien son nom.
    Sinon, des troupes énormes de plusieurs centaines de pinsons … des arbres. Lorsqu’ils s’amènent dans ma cour, il y en a plusieurs qui se cognent en même temps dans mes vitres. Du coup, j’ai acheté des autocollants en forme de rapace pour coller dessus. En plus, c’est super joli.
    Sinon, je trouve qu’il y a aussi beaucoup de geais, de plus en plus.
    Je n’ai pas commencé à nourrir les oiseaux.
    Je pense que je commencerai le week-end prochain.
    Pour l’instant, certainement qu’il y a encore à manger dans la campagne.

  200. A noter que le coût du tournesol est une honte, certaine personnes l’achètent à plus de 2 euros le kg en jardineries, parfois presque 3 €.
    Or les agriculteurs ne le vendent jamais plus de 60 cts et celui-ci est vendu ensuite avec une marge considérable alors qu’il n’est pas transformé, juste mis en sac. Et en plus celui qui nous est vendu vient souvent de Hongrie et j’imagine qu’on l’achète aux Hongrois bien moins cher qu’ici.
    En se débrouillant bien, quand on nourrit beaucoup d’oiseaux et qu’on a besoin de quelques centaines de kg par an, on peut l’avoir auprès des producteurs locaux à un tarif correct, entre 70 cts et 80 cts le kg (les agriculteurs préférent soustraire une partie de leur récolte destinée à la coopérative agricole et faire ainsi une petite marge supplémentaire en le vendant directement aux usagers).

  201. Je vais essayer de trouver sur mon secteur (car je sais que sur le secteur de Rioz un paysan en vend à 80 cts), car mon producteur habituel (dans le fin fond de la Haute-Patate du côté de Champlitte) vend en général sa toute petite production en octobre (à 70 ct le kg) et sans doute qu’il ne lui en reste plus (mais je me renseigne quand même).

  202. Merci, c’est bien sympa ! Le tournesol du commerce pour les oiseaux est cher et souvent de qualité médiocre, même estampillé bio.
    Je sais bien que les piafs ne sont pas gênés par les mites mais quand même… :sad:

  203. A priori, les quelques paysans du coin qui vendaient du tournesol ont eu une forte demande de la part des particuliers et n’ont plus rien à vendre.

  204. Très grande nouvelle pour moi : mésange noire sur le rebord de la fenêtre. Elle niche dans la forêt derrière chez moi mais, tout comme la mésange huppée, ne vient qu’exceptionnellement au poste de nourrissage (une année sur 5 ou 6 seulement).

  205. J’ai eu comme chaque année, une mésange huppée pdt quelques jours. J’espère tjrs la revoir.
    Pour ce qui est du prix du tournesol, je paie 20 € pour 15 kg (1€ 33 le kg). Pas moyen de trouver mieux dans le coin pour des graines propres. Merci au maraicher du village pour être attentif à ces « petites » choses là. :smile:

  206. J’ai parlé dans un autre article de l’année exceptionnelle qu’a été 2021 pour les légumes du jardin. Mais, dans un autre domaine, celui des graines et baies dans la nature, c’est le contraire. Je ne sais pas d’ailleurs comment cela s’explique. Il n’y a pas non plus de noisettes, noix … et l’hiver va être très dur pour les oiseaux (cela dit il y en a relativement peu, l’année n’a pas été non plus une bonne année de reproduction pour les oiseaux… comme chaque fois qu’on a un printemps humide et frais). On va voir un hiver à la mangeoire sans doute inhabituel.

  207. La mésange noire, je ne l’ai pas chez moi dans la Drôme. Par contre, je l’ai à ma mangeoire à Autrans (Vercors). A côté de la charbonnière, cela fait une sacrée différence de taille.
    En bas, dans la plaine, j’ai quelques pinsons du nord qui sont arrivés.

  208. Cela confirme que la mésange noire reste avant tout un oiseau d’altitude, tout comme la mésange huppée d’ailleurs. Mais à la faveur de conifères (comme les pins derrière chez moi) elle est présente ça et là en plaine mais avec des densités très faibles.
    Pour l’instant, j’ai de moins en moins d’oiseaux à mon poste de nourrissage derrière la maison, mais par contre énormément devant ma cabane (là où je fais des photos de buses). Je n’ai pas d’explication à ces énormes différences d’effectifs.

  209. nous avons fait une jolie promenade dans la campagne vaudoise, dès 500 mètres il y avait un peu de neige et nous avons vu 4 belles buses à collier dans la neige, et 5 faucons crécerelle voler en rasant parfois les pâturages.
    Hier matin, sur notre fenêtre où les oiseaux viennent manger, un faucon crécerelle est arrivé en trombe, mais les oiseaux étaient partis, tout comme une petite souris.
    nous avons des moineaux, des mésanges charbonnières, une ou deux bleues, et des verdiers, et notre chatte qui crisse des dents derrière la vitre.

    Bernard, fais tu toujours le métier de portier pour chat.

    Notre Minette ne sort toujours pas, elle s’est très très bien habituée à rester dedans, hier nous nous sommes absentés un moment et quand nous sommes rentrés nous avons trouvé une fenêtre de la cuisine ouverte à cause de la très forte bise et la chatte n’avait même pas bougé, elle dormait sur mon lit.

    Mais cette chatte est exceptionnelle, il y a deux jours j’ai du aller chez le dentiste, anesthésie, arrachage, et comme il y avait du verglas pour arriver chez l’arracheur de dents, j’ai tellement eu peur de glisser que je me suis bloqué un genou.
    De retour à la maison, je me suis couchée, il était presque midi et pas envie de manger.
    Et qui est venue me tenir compagnie ? la Minette et elle ne m’a pas quittée de l’après-midi, elle est venue me faire des douces caresses avec la papatte sans griffes, et a dormi près de moi.Elle devait sentir que j’étais malade
    A l’heure où j’écris elle doit être en train de dormir sur la peau de mouton que nous avons posée à côté de mon lit et elle doit m’attendre.
    J’espère, Bernard, que ta gamine se plait toujours chez toi.

    Bernard, as-tu déjà préparé ta hotte pour porter les cadeaux aux enfants de ton village.?
    Bonne nuit à vous tous.

    Jacqueline

  210. Je pense que l’attaque des petits oiseaux devant chez toi était plus le fait de l’épervier que du faucon crécerelle. Si tu as vu la couleur bien rousse du crécerelle, oui pour le crécerelle, mais sinon non, il s’agit d’un épervier.

  211. non Bernard c’était bien un faucon, du reste il a son nid dans le parc de la villa voisine.
    Nous avons de nouveau fait une grande balade aujourd’hui, avec un parcours en longeant le Lac de Joux, pas encore gelé, mais il y avait beaucoup de neige dans cette vallée et des pâturages immaculés, avec parfois des traces de pas d’animaux, peut-être d’oiseaux, mais je ne peux rien affirmer.
    Mais, sur Suisse, à 500 m, dans un pâturage bordé d’un petit bois il y avaient deux magnifiques chamois qui broutaient où l’herbe avait fondu
    Nous allions en direction du col du Marchairuz (environ 1050 m) c’est fou le nombre de skieurs de fond, et de piste car il y a plusieurs « tire-fesses » un ciel bleu et un magnifique soleil.
    La saison de ski commente tôt, tant mieux pour les commerçants.
    Et nous avons encore vu de magnifiques buses à colliers.
    Nous avons de la chance, nous aimons beaucoup les rapaces.
    Bon dimanche à tous, amitiés à Christophe, nous parlons de lui presque chaque matin. Il comprendra.

  212. Amitiés sucrées à nos chers voisins romands.
    :smile:
    Prenez soin de vous et restez au chaud.
    Je confirme : les chats sont d’excellents médecins, mais pas pour les oiseaux !

  213. Hier matin , j’ai fait mon SHOC ( Suivi Hivernal des Oiseaux Communs ) . Celui-ci a confirmé qu’il y a cet hiver (par rapport aux dernières années ), un grand nombre de Pinsons du nord autour de chez moi ! :cool:
    Un ami me disait que devant chez lui à 20 bornes de chez moi , il y a un dortoir à Pinsons du nord … où des milliers d’oiseaux viennent se reposer tous les soirs !! Il n’avait jamais vu ça en 40 ans d’observations ! :wassat:

  214. Pas encore de pinsons du nord à mon poste de nourrissage, mais en général je n’en vois qu’à partir de janvier. Cela dit, il y a des petites bandes actuellement dans les forêts.
    Ces petits rassemblements de pinsons du nord peuvent être le prélude aux rassemblements de plusieurs millions (parfois même plusieurs dizaines de millions) que l’on trouve certaines années en fin d’hiver dans les régions qui possèdent des dizaines de milliers d’hectares de hêtraies. Je me rappelle les cinq millions de pinsons du nord en mars 2006 à Verrière-de-Joux, à la frontière suisse. Je me rappelle aussi d’une très grosse invasion en février 1978 en Haute-Saône. Géroudet en parle dans son bouquin mais il parle aussi de concentrations bien plus importantes. Pour l’hiver 1945/1946 il parle de 100 millions de pinsons du nord en Suisse, dont 75 millions concentrés sur un seul dortoir près de Thoune. Plus étonnant, alors qu’on sait que ces grosses concentrations sont liées à la présence des hêtres, il cite un dortoir de 20 000 000 de pinsons en 1967 dans les Pyrénnées-Atlantiques avec comme nourriture exploitée : le maïs. A noter que ces dortoirs immenses accueillent tous les pinsons du nord venant d’un rayon de 50 km à la ronde, et sans doute même plus.

  215. Sans doute que Christophe, au courant de l’actualité ornitho, peut nous en dire plus sur ce qu’il se passe en Franche-Comté. Mais à mon avis, c’est encore un peu tôt dans l’hiver pour qu’il se passe de gros rassemblements.

  216. pour Christophe

    merci pour les amitiés sucrées. La matière dont tu parles est toujours aussi coulante, un vrai régal.

    pour Bernard

    tu ne m’as pas répondu si tu fais toujours le portier pour chat.
    Nous pas besoin, vu la fenêtre grillagée, mais alors c’est vrai c’est un vrai médecin pour moi. Mais aussi un réveille-matin, déjà à 7 heures elle vient chercher des caresses.
    Vite fait, bien fait, trois câlins et elle repart et moi je me rendors.
    Sur notre fenêtre garde-manger des oiseaux c’est toujours l’énorme passage des charbonnières et des moineaux, et vers la fin de l’après-midi de deux ramiers.
    Maintenant il pleut.

  217. Je n’ai pas vraiment d’infos concernant un rassemblement hivernal de pinsons du nord, mon activité ornithologique est actuellement très faible, et je le regrette.
    Une brève recherche sur internet laisse penser que le dernier dortoir de plusieurs millions d’oiseaux date de 2015, il y en a eu un en Slovénie en 2019…
    J’imagine que l’état de la forêt et les aléas climatiques feront évoluer les choses. Dans une vidéo de Jancovici portant sur un autre sujet (ressources énergétiques), il cite des forestiers qui prévoient la subsistance du chêne seulement en Bretagne avec les quelques degrés d’élévation de température prévus.
    Les pinsons anticiperaient-ils mieux que nous ? Faisable :wink:

  218. J’ai l’habitude de boire l’apéro sous le chêne que j’ai laissé pousser contre la terrasse. Si jamais les chênes sont condamnés à ne survivre qu’en Bretagne, je vais donc être obligé d’aller boire l’apéro chez Yves ! :wink:

  219. allez les amis, ne sachant pas ce que demain sera fait, je vous dis BONNE ANNEE ET IL FAUDRA ACHETER POUR YVES UN TRES GROS REFRIGERATEUR.

  220. Ce qui m’embête un peu avec cette histoire de chênes … C’est qu’il n’y aura plus qu’en Bretagne qu’on trouvera des glands !!! :shocked: :biggrin:

  221. 21 espèces d’oiseaux ce matin au poste de nourrissage à « la cabane » ! :wub:
    … dont 4 grands corbeaux (exceptionnel pour moi !) :wub: :wub:

  222. On a déjà parlé sur ce blog de la diminution de la mésange charbonnière au profit de la mésange bleue (enfin, pas sûr que les deux faits soient liés).
    Dans mon affût, je m’amuse à noter par moments le nombre de mésanges qui viennent se nourrir.
    Sur plusieurs centaines d’allées-et-venues notées à des jours différents, voici ce que ça donne sur les 3 mésanges habituelles : 51% d’allées-et-venues de mésanges bleues, 34% de mésange nonnette (particulièrement abondante cette année) et 15% seulement de charbonnières.
    Il me semble qu’il y a quarante ans, on aurait dit peut-être : 60% de charbonnières, 30% de bleues et 10% de nonnettes.
    Est-ce que vous faites les mêmes constats ?

  223. Bonsoir,

    nous n’avons pas beaucoup de mésanges, mais des piafs……….vraiment beaucoup, et depuis hier l’épervier s’est installé en permanence sur mon magnolia,celui qui ne perd pas les feuilles en hiver, il peut ainsi se cacher un peu, mais les moineaux l’évitent.
    Vendredi nous étions dans la région de Neuchâtel ((la grande caricaie que Bernard connait) et il y a dans cette région des magnifiques buses à colliers.

  224. désolée je m’étais trompée d’oiseau, Jean m’a dit que c’est un faucon crécerelle et non pas un épervier.
    quant aux photos……………faudra peut-être attendre……………
    bonne journée et bonne semaine.

  225. Un bilan à mi-parcours de mon nourrissage hivernal d’oiseaux : Très bonne diversité (25 espèces, ça fait quelques années que ça ne m’était pas arrivé) mais très peu d’oiseaux pour chaque espèce (à part cinq espèces bien représentées : mésange bleue, mésange nonnette, pinson des arbres, pie bavarde et merle noir).
    A suivre !

  226. nous on peut ajouter corneilles, verdiers, moineaux et ?????????j’ai oublié le nom, les gros oiseaux qui roucoulent

    bon faut m’excuser je commence à avoir la mémoire qui flanche, ah cela me revient, les ramiers.

  227. Qu’est-ce qui roucoule au fond d’un garage ?
    Une portugaise qui aide son mari à garer la voiture : « roucoule,
    roucoule… »

  228. J’ai démarré mon nourrissage très tard, en janvier, faute de graines.
    Grosse différence : pas de verdiers ni de chardonnerets. Je pense que mon site de nourrissage fixait un groupe d’oiseaux, ils sont ailleurs.
    Les premiers mouvements printaniers m’apporteront sans doute plus d’espèces et le retour des effraies.

  229. J’ai 26 espèces et je n’en reviens pas. Question effectifs, beaucoup d’espèces sont en nombre faible, mais je vais utiliser allègrement plus de 250 kg de tournesol cet hiver. Heureusement que je ne le paye pas cher !!!

    Mon prochain article (sans doute vendredi) sera consacré à la grande nouveauté que j’ai à mon poste de nourrissage depuis l’an passé.

  230. J’ai une question à laquelle Christophe pourra sans doute répondre, ou Bernard ?
    On dit que pour les merles, il faut mettre des pommes .
    Les merles viennent bien dans ma cour mais ne touchent pas aux pommes. Ils mangent le tournesol tombé au sol sous la mangeoire (les chardonnerets sont des gros goinfres et des petits cochons :wink: :lol: ). Par contre, ce sont les geais qui mangent les pommes.
    Bref, pourquoi, les merles ne veulent pas de mes pommes ?

  231. Ici, les merles ne mangent des pommes abimées (pas les pommes en bon état) que lorsque le sol est gelé et que leur nourriture habituelle n’est plus disponible. Le reste du temps, ils n’en consomment pas. Les pommes sont donc plutôt une nourriture « par défaut ». Peut-être aussi que les habitudes varient d’une région à l’autre.
    A noter aussi que depuis une bonne dizaine d’années, les merles se sont habitués au tournesol, ce qui n’était pas le cas auparavant.
    Peut-être que Christophe aura d’autres explications.

  232. Je viens de voir à l’instant que les mésanges (charbonnières et bleues) viennent manger les pommes.

  233. L’explication de Bernard est pour moi absolument valable : le facteur température est déterminant. La vidéo de Fifitoucourt est automnale, les températures sont encore clémente et le besoin calorique est moins élevé.
    Avec les froids importants, le rapport consommation/gain énergétique est capital. Les oiseaux changent de régime alimentaire pour des apports plus riches et d’accès facile.
    Effectivement, les merles vont préférer les vers, mais avec un sol fortement gelé, ils reviennent aux pommes, dès que ça dégèle ils retournent les feuilles pour retrouver des proies riches en protéines et vont rapidement repasser aux vers.
    A noter que c’est une biomasse très conséquente et que même les buses y ont recours à peu de frais : pas besoin de voler… cette simple capacité étant très énergivore.
    Les infographies du document suivant sont assez éclairantes.
    https://www.visualcapitalist.com/all-the-biomass-of-earth-in-one-graphic/

  234. Ce document donne une idée du peu qu’on représente (nous les humains et autres vertébrés) dans la biomasse animale.
    Mais si l’on tient compte de l’ensemble des êtres vivants, dont la biomasse végétale, c’est encore pire. J’avais gardé en mémoire il y a quelques années un article du Monde sur le sujet. Voici le lien :

    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/12/21/dans-la-balance-du-vivant-les-hommes-ne-pesent-pas-bien-lourd_5401032_4355770.html

    Sur le camembert (deuxième image), survolez avec votre souris … c’est assez parlant … !

  235. Chez moi où le sol ne gèle pas depuis bien des années , c’est en octobre /novembre que l’on peut observer le plus de merles sur les pommes tombées au sol ( abimées ou pas ) . Dans le verger , j’ai compté jusqu’à 30 oiseaux en même temps . A partir de décembre , ce sont les grives litornes , mauvis et étourneaux qui se nourrissent des pommes . De temps en temps , on peut aussi y voir la fauvette à tête noire qui elle aussi adore ce fruit , mais en bon état .

  236. Je pense que, comme l’a dit Christophe, les besoins sont bien différents en hiver qu’en automne. En hiver, il faut trouver une nourriture plus consistante que des pommes et si les oiseaux vont sur les pommes quand il gèle, c’est par défaut d’autre choses de meilleur rendement énergétique.
    Les étourneaux eux aussi viennent par centaines sur les pommes en hiver, mais quand il fait très très froid ou quand le sol est très enneigé.

  237. Il y a aussi la possibilité de migrer !
    Beaucoup d’espèces, en l’absence de ressources et de sites de nourrissage sont dans cette obligation. Et finalement la distinction sédentaire/migrateur devient intéressante.
    Entre des oiseaux soi-disant sédentaires (mésanges) mais qui migrent parfois massivement, des espèces migratrices (fauvette à tête noire en Franche-Comté) mais qui tentent l’hivernage et plein de situations intermédiaires, il y de quoi se poser des questions et se demander d’où vient le piaf qui est dans nos jumelles.
    La dispersion des oiseaux après nidification, avec un comportement moins territorial, voire des déplacements plus ou moins importants (et même au retour de migration), et des stratégies peu lisibles de brassage génétique (grands déplacements d’espèces sédentaires, genre chevêchette à Texel)…
    De quoi ne jamais s’ennuyer !

  238. Vous avez un truc pour que ces salopiots bouffent proprement ? J’en ai partout sur la terrasse ! :ninja: :lol: (vu une nonette ça faisait longtemps)

  239. J’ai essayé de mettre des serviettes, mais ils ne les prennent pas !
    26ème espèce de l’hiver, aujourd’hui au poste de nourrissage. :wub:

  240. Et c’est quoi, cette 26ème espèce ?
    Pour les serviettes, ils n’acceptent que les anciennes, immenses, d’un blanc parfait, damassées … :lol:
    Plus sérieusement, il ne faut surtout pas installer une mangeoire dans un endroit qu’on veut garder propre :tongue:
    L’infographie de Christophe et le camembert de Bernard, nous remettent bien à notre place, nous, les hommes ! :cwy:
    Mais attention, être petit ne veut pas dire avoir moins d’importance (je ne dis pas ça pour moi :wink: ) … Il n’y a qu’à voir la place des virus et pourtant !
    Le Dalaï Lama l’a bien exprimé dans cette citation : « Si vous pensez que vous êtes trop petit pour faire une différence, essayez de dormir avec un moustique. »
    Pour revenir aux oiseaux, l’explication du fait que les merles ne mangent pas les pommes chez moi est sans doute qu’ils font ça plutôt en automne, comme le dit Chrisophe. Quand aux mésanges que j’ai vues hier, elles doivent venir sur la pomme par gourmandise parce que ce n’était pas leur seule alternative. Du tournesol est à leur disposition.

  241. La 26ème espèce est tout simplement un faisan qui vient manger le blé que j’ai mis au sol pour d’autres espèces.

    Le Dalaï Lama a bien raison, je me sens grand et c’est sans doute parce que depuis tout petit je dors avec des moustiques. Et j’ai ai même dans ma chambre cet hiver … encore une idée à la con du Dalaï Lama qui a proposé à l’un des mes ennemis décédés de se réincarner en moustique ! :w00t:

  242. Dans le camembert évoqué ci-dessus, il y a plusieurs choses qui m’interpellent, notamment le fait que la biomasse du bétail est 40% plus élevée que celle des humains et 157 fois plus élevée que celle des mammifères sauvages. Ce dernier chiffre me parait extravagant.

  243. A vérifier…
    Etincelle : je pense que tes mésanges peuvent aussi aller sur les pommes pour boire. L’eau est parfois moins accessible que la nourriture en période de gel.
    Alors franchement un jus de pommes bio !

  244. Je ne peux pas dire je n’ai pas eu de fruits cette année (merci le gel et la drache façon mousson). Mais j’ai déjà clairement noté que pendant les périodes de sécheresse les fruits sont piqués, les piafs viennent y boire.
    Je réfléchis à une piscine ès piafs pour cette année….

  245. Peut-être, Christophe, mais elle ont de l’eau à disposition juste à côté des pommes et elles viennent boire alors c’est sûrement plutôt que ce sont des gourmandes.

  246. Je fais des terrassements assez important juste à côté des mangeoire, les vers de terre abondent et les merles sont à la fête. Cela ne les empêche pas de se gaver en plus de graines de tournesols. :smile:

  247. @Etincelle : Oui, mais l’eau c’est simplement de l’eau.
    Alors que l’eau qui est contenue dans une pomme abimée, et donc fermentée, c’est déjà du calva ! :wink:

  248. Sur les pommes il y a aussi: moineaux, fauvettes à tête noire.
    Maintenant il y a peut-être aussi à manger dans les pommes abimées ou non des petits insectes juteux… :unsure:

  249. Hé, hé ! :cool:

    Sinon, je ne savais pas trop où placer cela. Un petit exercice proposé sur le forum du repaire numérique par mon petit camarade Jean-François. (La qualité des images me renvoie à mes chères études… mais chuuuttt !)
    Aiguisez vos oreilles ! :wink:

  250. Enfin, quelques pinsons du nord au poste de nourrissage ! :wub:
    Mais bon, ce n’est pas si tard que ça, en général jusqu’à cette époque ils ont assez de ressources dans la nature. C’est en fin d’hiver que ça se gate !

  251. Tu crois que je ne t’avais pas repéré ?
    Je pensais que c’était toi le grand corps beau. :wub:

  252. Le tarin de Cyrano ?
    Blague à part j’ai failli en écraser un tout à l’heure.. Et j’en ai vu un dans mes graines de tournesol

  253. Fin d’hiver très riche à la mangeoire :
    – 35 pinsons des arbres il y a 15 jours
    – 35 gros-becs il y a 10 jours
    – 50 tarins en ce moment
    – arrivée de 40 pinsons du nord aujourd’hui

  254. coucou Bernard c’est un message pour le milan
    dis-lui qu’il s’est trompé d’adresse, c’est chez nous qu’il doit passer l’été.

    concernant les pinsons du nord, il n’y en a jamais chez nous.

    Par contre j’ai vu sur mon journal local que 9 cigognes avaient fait une halte à 10 kilomètres de chez nous.
    et nous attendons toujours les milans, mais comme nous serons en « vadrouille » en fin de semaine nous aurons peut-être la chance de les trouver à notre retour.
    Jean a admiré les photos des corbeaux, il a dit que tu avais du talent pour faire de si belles photos.

  255. Merci à Jean pour le compliment. :wink:
    Les corbeaux ne sont pas faciles à photographier, la difficulté réside dans le fait de faire ressortir les détails du plumage. On croit que celui-ci est entièrement noir uni, alors qu’en fait il y a plein de nuances.

  256. Pour revenir aux milans, il y a pile-poil un mois de décalage entre milan noir et milan royal sur mon secteur. Retour du milan royal entre le 10 et le 15 février, retour du premier milan noir entre le 10 et le 15 mars.

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