Elles ont de bien jolis noms polonais. Le catalogue Baumaux (la référence pour moi en matière de biodiversité cultivée) les présentait comme étant des variétés pouvant être cultivées en pots. Je dois dire que j’étais un peu sceptique, ne voyant pas vraiment l’avantage de mettre des pieds de tomates dans des récipients quand on a la possibilité de les repiquer en pleine terre (sauf quand on habite en ville bien entendu). Mais j’imaginais déjà bien l’avantage qu’on pouvait en retirer grâce à la possibilité de déplacer les pots (notamment à l’automne). Et puis, comme vous le savez, je suis plutôt curieux de nature et toutes les expériences en matière de jardinage me semblent intéressantes, qu’elles soient concluantes ou non, l’important étant pour moi de tirer de ces expériences-là quelques enseignements. Alors j’ai essayé. Et comme j’avais – sans doute à juste titre – un a priori concernant la petitesse de l’espace et donc le manque de matière organique, j’ai utilisé de gros pots et un mélange de terre/terreau très enrichi en fumier de vache composté (les vaches de mon frère produisant en hiver 5 tonnes de fumier par jour, ce n’est pas une ressource limitée pour moi).
J’ai cultivé trois variétés proposées par les graines Baumaux :
Maskotka …
Ola Polka …
et Pokusa.
Je dois dire que j’ai été très séduit, voire
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