En 2013, j’ai fait un petit séjour d’une semaine en Auvergne avec mes collègues. J’ai adoré cette région et notamment le secteur autour de Saint-Nectaire où nous étions basés.
Il y avait tout près du gîte rural où nous étions une petite combe qui m’a été montrée par Guillaume (mon collègue qui connaissait bien cette région). J’y suis allé à plusieurs reprises et, me connaissant, j’aurais pu y rester toute la semaine, car j’adore être dans un milieu donné, ne plus en bouger et l’explorer à fond.
Le fond de la combe était très humide, sillonné par une petite rivière.
L’un des deux coteaux, dans lequel je me suis attardé, était relativement sec (je dis « relativement » car on est quand même dans une région à bonne pluviométrie).
Mais commençons par le fond de cette petite vallée (je parlerai du coteau dans un autre article).
Ce milieu humide est un petit paradis pour les amphibiens. Un peut partout des grenouilles rousses sautent devant nous.
Quelques crapauds communs et quelques tritons semblent cantonnés autour d’un petit filet d’eau qui ruisselle de la pente.
Chaque pas fait décoller des dizaines de criquets.
Certains prennent leurs aises …
… tandis que d’autres terminent leur petit voyage sous les pattes de l’argyope.
(la dernière photo, c’est pour vous faire frissonner cette nuit !)
Une chrysomèle se hisse sur le dessus d’un piquet de pâture.
Dans ce lieu les papillons sont peu nombreux. Un mâle de Carte géographique (Arashnia levana) se laisse photographier sous toutes les coutures. Le mâle est l’un des rares papillons à avoir un comportement territorial dans les milieux humides où il vit.
Une écaille-martre (Arctia caja), appelée aussi « écaille hérissonne », est une habituée des zones un peu humides. Sa chenille vit d’ailleurs sur des plantes telles que le saule marsault ou la reine des prés.
Un prochain article sera consacré aux petites bêtes rencontrés à quelques dizaines de mètres de là, sur le coteau.
La zone humide de Beaune le froid ! Un vrai ptit paradis. Juste à proximité d’une pessière gavée de cèpes. Un bon souvenir !
Haaaa, comme je comprends ton amour pour ces coins là! Si je n’avais pas pris tant de retard au jardin, je filerais sur la Famenne avec mon appareil photo…
La grenouille rousse est plutôt rare ici dans le Finistère , on observe plus souvent la grenouille agile , qui elle aussi se fait malheureusement de plus en plus rare .
Bonsoir Bernard,
Nous étions en Auvergne la semaine dernière et avons fait 3 photos surprenantes, 2 trous dans un tronc d’arbre, avec peut-être des oisillons dedans. Peux-tu m’envoyer un mail pour que je puisse t’envoyer les photos, si tu es intéressé, je pense que c’est le pic vert qui a creusé, et la chouette effraie qui a squatté, mais ce qui m’interpelle c’est le peu de hauteur.
Il est possible qu’un pic vert ait creusé ce trou mais on trouve plus couramment celui creusé par le pic épeiche. Et on trouve encore plus souvent les anciens trous des pics squattés par d’autres oiseaux (mésange, sittelle, étourneau …). Par contre la chouette effraie ne niche jamais dans un trou d’arbre. Je t’envoie un mail.
les trois photos viennent de partir, j’ai eu des problèmes pour l’envoi j’espère qu’elles seront arrivées.
oui elles sont arrivées. Réponse dès que possible …
je viens de voir sur internet que les effraient nichent dans des trous d’arbre, mais j’ai peut-être mal compris.
Ces photos m’intriguent , je me réjouis d’avoir ta réponse. Merci.
Bonne nuit.
J’ai vu un jour une tête de chouette effraie dans le trou d’un tronc d’arbre mais je ne saurais pas dire si elle nichait. Et puis, ce souvenir est si vieux que finalement, est-ce que c’était bien l’effraie ? Une chouette, ça c’est sûr, mais …
Si, il me semble pourtant que c’était l’effraie.
Témoignage à prendre quand même pour ce qu’il est donc pas grand chose … :cwy:
Coluche disait « Quand on a rien à dire, on ferme sa g… » :w00t:
Lorsque l’effraie niche dans un arbre c’est plus qu’exceptionnel et les très rares fois où c’est arrivé c’est en ville ou dans un village. L’effraie se reproduit depuis des millénaires en milieu habité par l’homme (sauf dans de rares falaises ou grottes car c’est un oiseau lié à la pierre – d’où sa proximité avec l’Homme – et non au bois). L’effraie niche dans des bâtiments élevés (églises, tours, grandes fermes …), elle ne niche pas en altitude. Par ailleurs, les jeunes effraies sont nombreuses au nid, les nichées peuvent atteindre 7 ou 8 jeunes et ceux-ci ont un développement très long, ils restent trois mois complets au nid. Il leur faut de la place et on estime que le grand minimum est une plateforme de 40 X 40 cm. Quasiment impossible donc à trouver dans un arbre creux à grande hauteur. De toute façon le diamètre du trou d’envol est important (petit rappel : l’effraie fait 95 cm d’envergure), de l’ordre de 20 cm sur 20 cm, de diamètre bien supérieur à celui observé par Jacqueline, celui qu’elle a observé ne laisserait même pas passer la toute petite chouette chevêche.
Par ailleurs l’effraie n’est absolument pas forestière.
La chouette effraie est sans doute le seul rapace nocturne qui fuit complètement le jour et il est quasiment exclu qu’elle sorte la tête de sa cavité en plein jour. Enfin, ça doit pouvoir arriver mais ça doit être si rare … (mais pour les beaux yeux d’Etincelle, qui sait !!!!!!)
En résumé pour le rapace nocturne vu par Etincelle : comme il y a 1 chance sur 1000 de voir le nid de l’effraie en dehors d’un village, 1 chance sur 1000 de la voir dans un trou d’arbre, 1 chance sur 1000 de la voir sortir la tête en plein jour … il y a donc au final 1 chance sur 1 000 000 000 qu’Etincelle ait vu une chouette effraie ce jour-là. :whistle:
Deux autres petites remarques complémentaires :
– les jeunes effraies qui quittent le nid peuvent passer un ou deux jours avant de bien voler et de trouver une cavité pour passer la nuit. Dans ce cas il n’est pas exclu d’en voir une posée en plein jour sur la branche d’un arbre.
– la rare chouette de Tengmalm, qui ne se reproduit que dans quelques zones d’altitude, peut nicher dans un ancien nid de pic noir.
Jacqueline, il ne faut pas se fier à ce qu’on lit sur internet. Tout le monde écrit des choses sans les vérifier. Il y a quelques mois, parce que j’étais en train de regarder la série télévisée « Rome », j’ai fait quelques recherches historiques sur le sujet sur internet. Je suis tombé sur un article disant que Jules César donnait des Chrétiens à bouffer aux lions dans les arènes. Or, Jules César, est mort 44 ans avant la naissance du Christ, il aurait bien été en mal de trouver le moindre Chrétien dans Rome. Mais comme la plupart des gens ne savent pas quand Jules César a vécu, ça passe. D’ailleurs, plus c’est gros, plus ça passe …
J’ai lu aussi sur un blog que César avait été empereur, alors que l’empire n’est né à Rome qu’après sa mort.
Dans un domaine qui nous concerne plus ici sur le blog : même le site ornitho « oiseaux.net » que certains pensent être une valeur sure est bourré de conneries.
merci Bernard, je n’avais pas pensé à l’envergure des oiseaux. Je reste donc sur ma première impression, c’est le bois. En plus, on remarque au bord du trou une coulée brune sur le tronc, et puis encore, cet arbre est au bord de route (petit parking) des plaisantins irrespectueux de la nature auraient pu faire ces trous……………
hélas, on voit de tout dans ce drôle de monde.
Bonne journée.
Plusieurs choses pour répondre à Bernard …
1) Après réflexion, je pense que j’ai mélangé deux souvenirs (anciens il est vrai). Un souvenir de chouette dans un trou d’arbre, et maintenant, je penche plus pour une chouette hulotte (j’espère que tu ne vas pas me dire que la chouette hulotte ne niche pas dans un trou d’arbre ) et un souvenir de chouette effraie en vol sous des arbres près de chez moi.
2) Pour les erreurs, sur internet, oui, beaucoup gobent tout ce qu’ils y lisent. Je me souviens que ma mère disait « Ils l’ont dit à la télé alors c’est vrai », ce qui me faisait toujours bondir. Maintenant, c’est la même chose avec le net :dizzy:
3) Pour les sites ou les livres spécialisés, là aussi, il y a des erreurs (je pense à certains livres récemment parus en botanique).
4) Puisque tu sembles apprécier les petits coins de nature, voilà une occasion d’en préserver un …
Je transmets un mail reçu tout à l’heure :
« A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER A DIFFUSER
L’ECOLOGIE c’est aussi et surtout du concret…
Chers toutes et tous,
Je vous demande 7 à 8 minutes de votre attention pour protéger la Réserve naturelle des Ramières du Val de Drôme : 7 à 8 minutes…
Vous connaissez la Basse Rivière Drôme et sa Réserve naturelle du Val de Drôme.
C’était INCROYABLE, mais cette Réserve naturelle était chassable comme partout. Sans aucune restriction (nous sommes en France).
Depuis plus d’un an, l’Etat qui est propriétaire d’une partie de cette Réserve naturelle essaie d’y interdire la chasse (Sur le Domaine public fluvial, c’est à dire, en gros, le lit de la Rivière Drôme et ses abords immédiats, sur environ 10 km).
Les chasseurs et les élus locaux (Dont l’indestructible Jean SERRET, Conseiller départemental, Président de la CCVD, et super f… C… qui a pris la tête de la contestation, il y a deux ans (si, si…), pour se faire réélire maire de EURRE…),ont tout fait pour faire échouer ce projet de mise en Réserve de chasse (cette Reserve a existé 2 ans (2014-2015), mais les chasseurs et les élus ont fait casser l’arrêté préfectoral début 2016 !!!!! NB : durant ces deux ans, évidemment le nombre de canards présents sur cette Réserve a énormément augmenté… Car lorsqu’on ne les tue pas : ils vivent !).
L’Etat tient bon (pour une fois…) et propose un nouveau projet d’arrêté préfectoral interdisant la chasse sur le domaine public fluvial de la Réserve naturelle des Ramières du Val de Drôme. L’Etat, est tenu de consulter le public sur ce projet. Ne doutons pas que les chasseurs, les élus dont Jean SERRET se mobilisent pour dire “NON”. Nous, nous devons nous mobiliser pour dire “OUI” !!!
Comment devez vous procéder pour dire “oui”…
Cliquez sur le lien suivant : et à partir de là, deux choses à faire :
1/ si vous voulez tout savoir, il faut télécharger les documents qui se trouvent dans l’encadré et intitulés “documents associés”…
2/ IL FAUT SURTOUT CLIQUER SUR “Si vous souhaitez faire une observation sur ce projet veuillez cliquer sur ce lien” (C’EST JUST’AVANT L’ENCADRÉ)… DONC CLIQUEZ SUR CE LIEN… ET LÀ, VOUS VOUS LAISSEZ GUIDER. ATTENTION, pour la question de sécurité, ya un piège : il faut faire l’addition et taper la réponse. Par exemple, si la question de sécurité est “1+ 5 =”, il ne faut pas faire comme moi et taper bêtement “1+5=” mais taper la réponse, c’est à dire “6” !!!!!!
Ensuite, évidemment vous mettez ce que vous voulez ; deux ou trois phrases suffisent. Il est vivement recommandé de ne pas faire de copier coller à partir de mon texte qui est :
“Il est temps que l’Etat se fasse entendre et obtienne sur ce qui constitue sa propriété (le DPF) l’interdiction de la chasse.
Cette mesure est parfaitement cohérente avec le statut de Réserve naturelle et son statut de lieu de randonnée pour cyclistes, piétons, cavaliers…
Enfin : l’arrêt de la chasse durant deux années a montré toute l’efficacité de la mesure sur le stationnement des oiseaux d’eau et particulièrement les canards.”
Mais vous pouvez broder à partir de mon texte ou des documents que vous aurez téléchargés.
Merci pour les oiseaux de la Basse Drôme…
Cordialement,
*********************************
Roger MATHIEU
Le trou du loup
26400 BEAUFORT-sur-GERVANNE
04 75 76 44 27
06 30 12 20 52 »
Pour illustrer ce que j’ai dit à propos des erreurs sur internet :
Voici la carte de répartition du fou de bassan dans l’Atlantique (c’est un oiseau qui ne niche jamais à l’intérieur des terres) :
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/88/Basst%C3%B6lpel_%28Sula_bassana%29_world.png
Voici ce qu’en a fait oiseaux.net :
http://www.oiseaux.net/maps/images/fou.de.bassan.1.png
Parce que le fou de Bassan niche en mer dans un seul lieu en France, oiseaux.net a mis sa présence dans toute la France. Parce qu’il niche sur quelques lieux en mer au nord de la Sibérie, les deux-tiers de l’Asie ont été hachurés. Parce qu’il niche sur quelques côtes américaines, tout le Canada et tous les Etats-Unis ont été hachurés.
Pas sérieux.
sur le site de l’ours il y en avait un magnifique!!!!
Bernard,
Jean vient de me dire que les trous sont, pour le plus bas, à 1,90 ml et que les coulées seraient peut-être bien des fientes d’oiseaux.
Reste plus qu’à savoir si les pics pondent bien dans des trous.
à ce soir
Jacqueline, je viens de regarder attentivement tes photos et j’ai lu en même temps un article complet sur le pic épeiche (car il me semblait au départ que le diamètre des trous correspondait assez bien à cet oiseau). Il apparaît que la plupart des trous de nidification du pic épeiche sont situés entre 4 et 10 m de haut mais que des nids ont déjà été trouvés exceptionnellement à moins de 2 m (source : Paul Géroudet). Donc peu probable dans ton cas mais pas forcément exclu.
En regardant tes photos, considérant le fait que l’arbre était en bordure de parking, en tenant compte aussi du fait que l’arbre a entamé un « bourrelet de cicatrisation » autour des trous, notamment du trou du haut, j’en suis arrivé à l’explication suivante. Il y avait deux branches qui devaient gêner, elles ont sans doute été coupées par l’homme. Les deux moignons de branches qui subsistaient, n’étant plus alimentés par la sève, ont dépéri et se sont nécrosés, et il y a eu au moins un début de cavité sous l’action de la pluie qui a accéléré le pourrissement du tronc (car chez l’arbre, seule l’écorce est vivante). Naturellement l’arbre a essayé de remédier aux dégâts et a produit un bourrelet de cicatrisation (très visible sur l’une de tes photos) pour refermer la plaie. C’est un phénomène que j’ai souvent constaté ici après avoir vu que des branches aient été coupées ou aient dépéri naturellement (il arrive souvent que les branches du bas meurent naturellement, n’arrivant plus à trouver de lumière, exemple des conifères en forêt). Il est possible ensuite qu’un pic soit intervenu pour agrandir l’intérieur du trou mais sans probablement y nicher car les nids semblent trop bas. Si Jean se rappelle avoir vu des fientes, c’est qu’un oiseau y a élevé ses jeunes. Les nids de pics épeiches que j’ai déjà rencontrés étaient plutôt propres après la nidification et il ne me semblent pas qu’ils laissaient des fientes. Par contre l’étourneau sansonnet est moins soigneux et, vu l’emplacement de l’arbre (bordure de parking), je penserais plutôt pour cet oiseau qui est un véritable oiseau opportuniste et qui peut même trouver quelques avantages à nicher sur des sites pas trop naturels (j’ai déjà trouvé son nid sur des aires d’autoroute, la présence d’herbe tondue régulièrement offrant à l’étourneau un terrain dégagé pour la capture des insectes).
Il est pas bon dupdup Sherlock Homes ?
Jacqueline, je n’ai pas répondu à ton autre interrogation.
Oui, les pics épeiches nichent bien dans des cavités d’arbres (et c’est d’ailleurs le mâle qui assure l’essentiel – mais pas tout à fait la totalité – de la couvaison).
Bernard, tu ne dis pas tout sur les fous de Bassan.
J’en ai vu ce matin même dans mon village à Châteauneuf sur Isère dans la Drôme.
Alors ? Comment ça ?
C’est une petite énigme à résoudre pour le bon dupdup Sherlock Holmes (et pas Homes !!! :tongue: ) …
:biggrin:
Je n’ai pas d’excuse pour la faute d’orthographe, d’autant plus que l’hiver 2014/2015 j’ai lu d’affilée l’intégralité des romans de Sherlock Holmes (en fait 4 vrais romans + 56 nouvelles qui se lisent chacune en moins d’une demi-heure).
Etincelle, il y a un fauconnier qui habite chez toi et qui élève plusieurs espèces de rapaces. Aurait-il élevé un couple de fous de Bassan ? Sinon, non, je n’ai pas d’explication.
Etincelle, comme je suis administrateur du site, j’ai la possibilité de corriger tes fautes d’orthographe et je le fais parfois … mais de moins en moins (je n’ai pas corrigé celle que tu as faite en fin de semaine dernière). :tongue:
Mais toi malheureusement tu n’as pas la possibilité de corriger les miennes. :angry:
Pour les fautes, certainement qu’on en fait tous, plus ou moins.
En tout cas, moi, j’en fais, surtout avec un clavier :angry:
C’est quoi au juste ma faute de la semaine dernière ?
Bon, pour les fous, non, ce n’est pas le fauconnier.
Sherlock devra se creuser encore un peu :tongue:
« je n’avais pas oser le dire … » dans ton troisième commentaire sur les ateliers d’écriture.
Tout çà c’est juste pour taquiner, d’autant plus que globalement sur ce blog on fait tous très peu de fautes.
En effet ! On (je)devrait(s) plus se relire parce quand on écrit par l’intermédiaire d’un clavier, on ne « ressent » pas autant les fautes qu’avec un crayon, je trouve.
Le dupdup Sherlock a-t-il trouvé la réponse à l’énigme ?
Difficile je le concède.
Tu donnes ta langue au chat ?
Mais non , pour le fou on ne dit pas un fauconnier mais un fouconnier !!
:silly:
Merci beaucoup Bernard, par tes explications j’ai appris beaucoup de choses.
Meilleurs messages à tous, et bon été, quand il viendra, et bons jardins.
Bon, ce n’est sans doute pas l’endroit…
Mais tant pis! Je vous laisse ce lien… je me bidonne depuis ce matin avec ce site!!!
Et connaissant un peu le Dupdup…. il me semble que ça devrait lui plaire :devil:
Et j’espère à d’autres aussi
http://www.augustederriere.com/
J’ai adoré « c’est quand on devient presbyte qu’on voit pubien »
Ce qui a fait ma journée d’hier : des légumes qui se battent à la régulière, c’est un bon duel…. :devil:
Très rigolo et c’est en plus bien présenté : j’imagine bien Dupdup en faire un nouvel article pour » une idée de cadeau de noël » : il aura bientôt tout lu.