Mon poulailler de rêve

Comme je l’ai déjà dit dans un précédent article, je rêve d’avoir un poulailler. Mais mon projet n’est pas encore assez mûr et j’hésite encore entre plusieurs lieux et plusieurs types d’installations.
En attendant, j’observe beaucoup autour de moi. Et lorsque je circule en rase campagne, aucun poulailler, aucune poule, aucun coq n’échappent à mon regard. Ainsi il y a dix jours dans le Puys-de-Dôme, ce magnifique spécimen dont je n’ai pas encore identifié la race …

IMGP4579Mais ce n’est pas de l’Auvergne dont je veux vous parler aujourd’hui mais une fois plus de l’île Texel en Mer du Nord. C’est là que j’ai découvert … un poulailler de rêve.

IMGP6363C’est un poulailler que je connais depuis vingt ans. J’y ai toujours vu des poules et des coqs évoluant en complète liberté.

IMGP6365IMGP6934Le poulailler est situé à mi-chemin entre le port de débarquement et le petit village de Den Horn que l’on aperçoit en permanence. Paysage typiquement hollandais comme je les aime tant … !

IMGP5007 IMGP5010 IMGP5018Le poulailler est une maison de bois qui a sans doute eu une vocation agricole au départ et que l’on a ensuite transformée.

Les poules y rentrent la nuit. La journée elles se baladent, restant dans un rayon de quelques dizaines de mètres.

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Je n’ai pas essayé d’identifier les races mais c’est plutôt diversifié.

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Il arrive souvent que vélos et voitures ralentissent pour laisser passer la compagnie. D’une manière générale, les poules sont indifférentes au passage des gens, qu’ils soient automobilistes, piétons ou cyclistes.

IMGP5024Je suis sans doute passé une cinquantaine de fois à cet endroit (que Christophe reconnaîtra) et je n’y ai jamais vu l’ombre du propriétaire du site.

Voilà, c’était juste pour dire que j’aime ce type de lieu. J’aimerais que mon futur poulailler ressemble à cela, mais ce sera sans doute difficile à réaliser. En tous les cas, il y a là tous les ingrédients pour faire un poulailler idéal : beau paysage, bâtiment vieillot qui a du cachet, poules qui ont une nourriture saine, présence de coqs, poussins qui naissent sous la mère, diversité des races et surtout … poules en liberté !

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77 réflexions au sujet de “Mon poulailler de rêve”

  1. C’est vrai que ça laisse rêveur de voir ces poulets évoluer librement dans ce paysage rustique …
    J’adore la quatrième image !
    :wub:

  2. Hyper tentant comme type de poulailler, je reconnais l’endroit !
    Mon poulailler est aussi en cours de réalisation ; alors que je comptais avancer un peu cet été, il se trouve que je suis désormais dans la même situation que toi Bernard, tu l’as vu par toi-même, grâce à la restauration d’un apprenti : je regarde autour de moi les pratiques, c’est comme pour le potager, il y a celle qui nous plaisent plus ou moins, celles qui nous emballent, celles qui nous écœurent. Et il y a chez moi plus de bagnoles qu’à Texel.
    Pour les poules, pas de problème, un ami m’en donnera.
    La question de la liberté est évidemment cruciale, et j’avance à mon pas sur l’organisation raisonnable qui sera la mienne. En attendant je m’occupe des poules de mes voisins partis en vacances et j’apprends un peu les habitudes de la bête.
    Bon… on s’appelle dans un an et on se fait une omelette ? :smile:

  3. Quand j’étais gamin, toutes les poules étaient en liberté dans le village, il y en avait dans les rues un peu partout et le soir elles rentraient toutes seules dans le poulailler. Je garde un très bon souvenir de tout ça, sans doute que c’est pour cette raison que je rêve d’avoir aujourd’hui des poules en liberté..

  4. Hé oui Fifitoucourt… manque plus que l’autour… Quel mauvais souvenir…
    Pour l’instant il me laisse tranquille… ou plutôt il laisse mes poules tranquilles..
    J’ai quand même perdu 4 jolies poules rousses et 4 magnifiques poussins negre soie avant de tendre un filet au dessus des nègre soie, et de lâcher mon chien du côté des poules, ce qui doit avoir pour effet de tenir l’autour à distance.
    Mais entre les renards, les autours, et autres bestioles qui aiment les poules, mon poulailler idéal (de rêve) à été transformé plusieurs fois…

  5. Ah oui, un autre paramètre important : les prédateurs.
    Merci les gars pour la piqûre de rappel.
    Chez moi, il y a ce qu’il faut : renard, fouine, rapaces en maraude, mais jamais vu l’autour.
    Une des pires calamités de la basse-cour, manquerait plus que ça !
    Quand je pense qu’à Texel, on peut approcher d’aussi près les oies sauvages que les poules !!! La prochaine fois que je m’y rends, je ne coche que la volaille et les pintadiers. :wink:

  6. Mes images de ce poulailler auraient pu rester longtemps dans un coin de mon ordi. Mais c’est en recevant cette semaine le dernier numéro des « 4 saisons du jardinage bio » dans lequel il y avait un dossier consacré aux poules et aux poulaillers que je me suis rappelé avoir fait des photos de ce poulailler à Texel.

  7. Dans le numéro des 4 saisons du jardinage dont j’ai parlé plus haut, il y a une sélection coup de coeur de 10 races locales de poules mais aussi des plans pour construire un « tracteur à poules ». C’est assez étonnant, c’est un poulailler que l’on déplace sur son terrain en le tirant avec ses bras comme si l’on tirait une brouette.

  8. Juste une petite précision : la première photo a été prise sur le clocher du village de Creste (tout près de Saint-Nectaire) dans le Puys de Dôme.

  9. J’ai des poules depuis longtemps. J’ai élevé des poules pour les oeufs et des poulets pour la viande. Je ne fais plus de poulets pour plusieurs raisons.
    Poules pondeuses : je n’ai pas cherché beaucoup mais je me suis arrêté à une race « idéale » pour moi : la wyandotte naine. Elle est petite, calme, bonne pondeuse et couve très bien, bonne mère, de plus elle est très jolie.
    Pour les deux derniers points. Bonne couveuse et bonne mère, ce n’est pas si commun dans les races de poules. Certaines bonnes pondeuses ne couvent pas ou peu et on a besoin presque obligatoirement de couveuses électriques. Ce qui veut dire aussi d’éleveuses….. Une poule qui couve cela simplifie beaucoup les affaires. Elle couve même peut-être trop bien car quand elle a décidé de le faire avec ou sans oeufs elle couve. Nous avons pris l’habitude de laissé un ou deux oeufs par poule. C’est un peu compliqué (une poule peut couver sans problème une douzaine d’oeufs), mais au moins elle s’arrête de couver dès que les poussins naissent. Cela fait notre renouvellement.
    Jolie. Il y a une grande variété dans cette race. Nous avons principalement l’argentée à liseré noir. On peut mélanger les différentes variétés ce qui donne encore plus de diversité.
    Les coqs ne sont pas agressifs, ce qui est aussi important. Mais il n’est pas possible pour un petit poulailler d’en avoir deux.
    Il est intéressant d’avoir des poulettes en âge de commencer la ponte (environ 6 mois) à l’automne, ce qui assurera une ponte hivernale. Depuis plusieurs années on mange des oeufs quand il y en a sinon on en mange pas. Avant pour assurer une production plus régulière j’éclairais le poulailler de 6 h à 22 h (photopériodisme) cette simple pratique suffit pour avoir plus d’oeufs en hiver.

  10. Comme je l’avais déjà écrit dans un autre article (ou dans un commentaire), Joëlle et moi avons choisi depuis longtemps la race de poule que nous élèverons plus tard. Il s’agit de la wyndotte argentée sur laquelle nous avons flashé dans une expo et dont on nous a expliqué tous les avantages (facilités d’élevage).
    Comme quoi Francis, les grands esprits se rencontrent … ! :wink:

  11. Mes mollets ont encore des traces de rencontres avec les coqs de la maison familiale !
    Les plus vicieux étaient les coqs nains !
    :angry:
    Je me souviens d’un grand coq magnifique qui se baladait au milieu de la basse-cour … Des pêcheurs venaient de loin pour prélever quelques belles plumes pour confectionner leurs mouches !
    Ce dont je me souviens aussi , c’est que n’avions pas beaucoup de pertes à cause des prédateurs lorsque j’étais gamin … ! Maintenant , on entend de plus en plus les gens se plaindre de ça !
    Chez ma sœur , ce sont les corneilles et choucas qui viennent s’attaquer aux œufs et aux poussins . elle a dû mettre un filet au dessus du poulailler pour protéger ce beau monde .

  12. Peut-être que les gens savaient protéger leur poulaillers, vis à vis des prédateurs, un peu mieux qu’aujourd’hui. Y’a rien de solide dans les poulaillers vendus en kit.

  13. Ou peut-être que les prédateurs trouvaient plus à se nourrir loin des poulaillers que maintenant . Un peu comme ces renards qui investissent de plus en plus les grandes villes le soir , pour se nourrir dans les poubelles …..

  14. Et peut-être aussi que les gens piégeaient plus les prédateurs ! :angry:

    A noter aussi que la présence de coqs aidait à lutter contre les prédateurs (c’est lui qui vieille). Aujourd’hui, la présence de coqs est loin d’être systématique dans les poulaillers.

  15. Non , vers chez nous , le piégeage n’était que très peu présent . Mais ce qui est sûr , dans nos campagnes , il y avait bien plus de lapins , lièvres , perdrix grises , faisans , petits rongeurs … Que maintenant où l’on rencontre surtout des chevreuils .
    Pour veiller et donner l’alerte , chez nous il y avait les coqs et surtout , un jar !!

  16. Les races (si l’on peut dire) étaient aussi beaucoup plus rustiques et vives. Une sélection naturelle faisait que seules les rapides, voire celles qui volaient pouvaient se mettre à l’abris. (celles qui pondaient le plus avaient aussi statistiquement plus de chance de faire souche). Les poules que nous avons aujourd’hui sont soit des poules, souvent hybrides, reproduites pour la ponte ou la chair et pour vivre dans des milieux fermés. Soit des poules élevées par des amateurs surtout pour la beauté. Dans ce dernier cas les qualités de ponte, reproduction etc, sont accessoires. Elles sont issues bien souvent de races rustiques mais sélectionnées que pour la beauté. Comme si par exemple on sélectionnait une tomate pour sa couleur, sa forme… sans se soucier de son goût de sa rusticité, de la résistance aux maladies, de sa production. Un canard, pardon une poule boiteuse en quelques sortes.
    Les poules sur les photos doivent être à cet égard une souche très intéressante car on élève plus beaucoup de poules de cette manière.

  17. Le dossier des 4 saisons du jardinage (que je vais t’envoyer par courrier, Francis) présente 10 coups de coeur « poules locales » : Géline de Touraine, Gâtinaise, Orpington, la Flèche, Faverolles, Marans, Gournay, Sussex, Cou-nu du Forez, Gasconne.
    Il est parfois précisé que les poules appartenant à ces races et que l’on trouve dans le commerce ne sont pas les bonnes. Ainsi pour la Marans : « Attention ! On ne le répètera jamais assez, la Marans que vous trouverez sur les marchés est une usurpatrice hybride moderne qui essaie de breveter les qualités de l’original. Préférez l’authentique ! ».

  18. « Une des pires calamités de la basse-cour, manquerait plus que ça ! »
    Moi, j’ai envie d’élever des poules rien que pour voir l’autour … ! :whistle:

  19. Merci Bernard pour le document. Il me fera peut être changer d’avis car je ne suis pas tout à fait d’accord avec la précision que tu indiques.
    Les hybrides créés pour la production ont complètement accaparés l’attention des différents intervenants : sélectionneurs, producteurs, agriculteurs…. on ne trouve aucune race pure (ou très peu) dans la filière agricole. Ce qui n’est pas le cas dans d’autres productions animales : porcines, ovines, caprines, bovines. Pour ces derniers exemples la sélection peut donc se faire sur des critères morphologiques, éventuellement de beauté, mais aussi sur la production visée : lait, viande….. Pour les poules, ceux qui maintiennent les races dans les critères définis ne se soucient pas ou peu de la production. Ainsi on peut trouver des wyandottes avec les plumes de la bonne couleur et à la bonne place mais personne ne te donnera le nombre moyen d’oeufs à l’année. Parce que plus personnes n’élèvent ces races pour la production. Les critères de production ne sont que des souvenir ou des impressions. Or ces critères sans suivi, peuvent très vite variés ou disparaitre.
    L’exemple de la marans est très parlant. La poule vendue comme marans est une poule qui ressemble à la marans qui fait des oeufs chocolat comme la marans mais n’est pas pure. Mais la pure n’est pas (plus) terrible !! Cette race dite parfois du fumier dans sa région s’était fixée peu à peu comme une race qui pourrait se créer dans l’exemple des photos que tu nous donnes plus haut (beaucoup de mélanges, région portuaire). Mais aujourd’hui la plus grand partie des personnes qui conservent la race ne se soucient que de l’aspect morphologique. Si bien que la fausse marans est aussi bonne que l’ancienne marans et meilleure que la vraie actuelle. (Cette poule a aussi à son désavantage d’être une race dite mixe : chair et ponte et de n’exceller dans aucune des productions).
    Nous avons aussi cela à un autre niveau pour presque tous les chiens de berger qui n’ont de berger que le nom, l’aptitude à garder un troupeau ne faisant plus partie depuis longtemps de la sélection et l’entretien des races.
    Le bémol vient peut être de l’existence ça et là de quelques réservoirs souvent inconnus de races locales. Mais il faut les trouver et il est fort probable que passant devant des pros de la race ces poules ne soient pas reconnues comme de pure race. Donc de bonnes marans ne seraient pas de fausses au titre de la création mais ne seraient pas reconnues conformes à la race et donc pas retenues pour la perpétuation de la race. Si cela n’est pas exact à 100% c’est beaucoup plus vrai pour la production d’oeuf que de viande. On peut apprécier un poulet d’une race traditionnelle mais qui se soucie de la race de la poule qui a pondu l’oeuf qu’il mange ? L’attention sera là sur le bio, le type d’élevage……
    Il manque pour ce type d’élevage une vraie attention comme nous avons pour le jardin : personne ne gardera une variété de carotte uniquement parce qu’elle est belle sans se soucier du goût alors que sa seule vocation est d’être mangée. Pour les poules de races la séparation entre la sélection, le maintien de la race et l’utilité est quasiment accomplie.
    Autre exemple dans un autre domaine. Tu pourras voir dans les expos des pigeons rouleurs orientaux. Aucun ne roulent et souvent ils ne volent pas. Les miens volent et roulent (acrobaties pendant le vol) mais ne seraient probablement pas reconnus purs par un jury dans une expo. Pour certaines races de pigeons il existe encore les deux souches mais pour d’autres il n’en subsiste plus qu’une ainsi beaucoup de pigeons dits culbutants ne culbutent pas du tout.
    Enfin tout est toujours possible….. j’ai récupéré aujourd’hui des graines de navet d’une variété (sans nom bien sûr !!!) garder depuis plus de cent ans dans une famille et j’ai prélevé des boutures de rosier sur un pied au moins aussi vieux !!
    Allez au lit, il y a longtemps que mes poules dorment.

  20. La première image du coq auvergnat me fait penser à une devinette :
    Savez-vous pourquoi le coq du clocher n’a pas de patte ?

  21. Il y a une erreur dans le commentaire des photos : c’est argentée à liseré noir et non blanc. C’est une race ou la poule est plus jolie que le coq (je trouve). L’argentée tape plus vite dans l’oeil mais la dorée à liseré noir ou la dorée à liseré bleu sont peut-être plus belles.

  22. 4 magnifiques autours (deux couples ?) ont survolé hier après midi ma maison pendant près de deux heures… Tantôt très haut dans le ciel ils planaient majestueusement contre le vent qui soufflait très fort, tantôt juste au-dessus des arbres a une vingtaine de mètres de moi, jusqu’à me montrer leur dextérité à voler entre les cimes…
    C’était superbe comme spectacle….
    (Sauf que je connais la véritable approche de ces coquins !!!) ils faisaient sans aucun doute le point sur l’état de mon cheptel…. Protégé cette année par un filet….

  23. Georges, s’il y a toute les chances que ce soit un autour qui attaque tes poules, il y a toutes les chances pour que la ballet aérien que tu as vu soit celui des buses variables. Le comportement que tu décris est en effet celui de cette espèce. Je pense qu’il est impossible de voir quatre autours en même temps. Enfin, c’est mon avis …
    Christophe pourra nous en dire plus, Fifi aussi … Yves également …

  24. Même doute de ma part, bien que toute règle supporte des exceptions. Je n’ai jamais vu plus de deux autours ensemble, et c’était justement à l’occasion des parades. A priori, ces « paires d’oiseaux » ensemble sont des buses, situation classique chez ce rapace avec même parfois des couples qui apparaissent partout à la fois.
    Mais :
    – Dans la situation géographique de Georges, il est possible que des territoires contigus existent et que voir 4 oiseaux ensemble soit possible (territorialité comme chez la buse).
    – Georges a déjà vu l’espèce, ce qui incite à respecter sa connaissance de l’espèce.

    Quelques critères devraient nous permettre de lever le doute dessous des ailes marqué ? type de vol en parade ? Et…
    Cri 1 ou cri 2 ?
    Georges, tu as entendu quelque chose comme ça ?
    1. Autour
    http://www.xeno-canto.org/sounds/uploaded/YEEQSGIKMT/XC126644-Havik_20120225_09_Zang3.mp3
    2. Buse
    http://www.xeno-canto.org/sounds/uploaded/HZKCNRIPRH/CommonBuzzard13March2009LheebroekerzandHolland.mp3

  25. Je ne peux vous aider , ne connaissant pas l’Autour des palombes … !!
    Par-contre , le cri de l’autour que nous propose Christophe m’a fait penser à celui du torcol !!

  26. Allons bon !!
    J’avais effectivement un doute : L’autour des palombes que j’avais vu, était très gris mais j’étais placé au-dessus de lui, et je ne l’ai pas vu de dessous. Il était très près de moi puisque je l’ai surpris en train de s’envoler de mon poulailler.
    Le spectacle que m’ont donné les oiseaux dimanche, je le voyais de dessous et les oiseaux me paraissaient plus clairs… (plutôt beige) Il y avait 4 oiseaux au départ et pendant un très très long moment et puis l’un d’eux est parti pendant que les trois autres continuaient leur ballet.
    Mais alors ce qui m’enlève le doute définitivement et qui vous donne raison messieurs c’est l’enregistrement…. Le cri de la buse…
    Je ne serai sans doute jamais un spécialiste… mais comme quoi… Un profane peut être très sensible à un tel spectacle… (Merci Bernard et Merci Christophe)

  27. Merci d’avoir mis ton commentaire sur cet article, ça m’a conduit a regarder de nouveau les photos de l’article. En voyant les photos des poules, je me suis dit qu’elles avaient toutes un sacré beau plumage, très sain. Probablement que la vie au plein air permet de diversifier la nourriture, aussi bien en plantes qu’en petites bêtes et que cela explique la santé du plumage.

  28. Oui je crois que tu as raison, j’ai une dizaine de petites poulettes nègre-soie toutes plus belles les unes que les autres et elles profitent d’un extérieur qui leur convient bien…
    J’avais pris une douzaine de poules rousses (Il ne m’en reste qu’une grâce à mes amis oiseaux et renards) dont quelques unes venaient d’une réforme d’élevage (labelisé label rouge je crois) . Ces poulettes de réforme étaient sensées vivre dehors, mais à chacun de mes passages, je ne les ai vu que dans leur hangar… (un peu surpeuplé à mon gôut), et après quelques semaines passées sur mon terrain, elles devenaient vraiment très belles… morphologie et plumage…
    (Elles ont d’ailleurs beaucoup plu…)
    Je vais renouveler mon cheptel au printemps, avec un endroit quelque peu plus restreint mais plus sécurisé (filet au dessus), ce qui est déjà le cas sur la partie « nègre-soie » mais je crois que je choisirai de jolie poules de différentes races…

  29. Profane ? Georges, nous sommes tous des profanes, et en matière de rapt, j’en suis un.
    Que celui qui n’a jamais profané me jette la première poule, j’en ferai façon. :kissing:

    Il est probable que l’autour te joue des tours mais…
    Aucune raison de rechercher une vérité, aucun intérêt à identifier un coupable…
    Juste le souci de…
    Enfin non Georges, tu t’en doutes bien, en bon rapace, je lorgne aussi tes poules et souhaite assurer leur sécurité. :devil:

    Les buses sont capables aussi de bien des tours. L’une d’entre-elles a chopé le croissant au chocolat d’un de mes potes lors d’une pause pipi.
    Imaginez la scène : frontière Jura/Suisse, hiver très froid (-25°C), mon pote part bosser en Suisse (ça gagne toujours beaucoup mieux), et comme tous les travailleurs frontaliers, il fait de la route. Arrêt boulange pour le café petit déj’ et pause pipi fatale après Pontarlier. La main droite tient le croissant, la gauche… est comme vous savez. :smile:
    Il fait froid, la buse est carnivore mais quand elle a faim, elle attaque la main qui dépasse. Le pote a de la chance, il était de dos. :tongue:
    On a bien ri quand il nous a raconté les éclaboussures ! Un conseil : attention au café diurétique.

    Tout ça pour dire : Georges, je connais peut-être les oiseaux mieux que toi, et je crois la buse capable d’attaquer la basse-cour même si l’autour voire l’épervier sont plus probables. Les oiseaux les plus âgé de l’espèce (Buse variable) sont forestiers car ils sont sans doute plus adroits en vol. Alors je serais bien content de savoir quel rapace tue tes poules : on pourrait trouver les meilleures parades et tu aurais contribué à la connaissance des oiseaux, comme tout le monde.
    Si c’est la buse, ce serait tout de même original, si c’est l’autour, tu aura l’occasion de contempler l’un des plus extraordinaires rapaces de par chez toi. Et une attaque d’épervier c’est spectaculaire aussi.

  30. Pourquoi un poulailler à Texel ?
    C’est parce que « la poule aime aller à la mer » :wink:

  31. J’avais pas vu la vidéo….. C’est sans doute le sport qu’ils doivent faire pour arriver à mon poulailler….

  32. Tout se précise, mon poulailler devrait être construit avant la fin juillet. :smile:
    Il devrait y avoir des poules au début août.
    Mais que Joëlle se rassure, elle gardera le statut de Première Poule ! :whistle:

  33. Evénement demain après-midi. J’attends ce moment depuis longtemps : malgré le temps clément, c’est demain que je mets mes poules au vert ! :wink:

  34. L’installation du filet de protection est prévue pour cet après-midi (surtout que j’habite en lisière de forêt) et qu’il y a de gros risques de prédation par les rapaces. :wink:

  35. Tu devrais appeler ton coq, Yves. (Yves Lecoq). Et si tu ne comprends pas, parce que tu n’es pas très « people » fais une petite recherche sur les châteaux d’Yves Lecoq… :tongue:

  36. Et comme elles sont désormais franc-comtoises, il va évidemment falloir que je les habitue à boire du poule-sard (comprendront celles et ceux qui connaissent les cépages jurassiens) ! :wink:

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