Mes amis jardiniers doivent m’en vouloir un peu : je ne consacre plus beaucoup d’articles au thème du jardinage. Mais avec le printemps, la sève remonte et la motivation revient à grands pas. Il devrait donc y avoir une série d’articles dans les temps qui viennent.
L’article d’aujourd’hui est consacré en partie à la culture de l’ail. Je n’ai jamais réussi à bien cultiver ce légume et n’arrive jamais à obtenir de belles têtes. Je me suis souvenu très récemment qu’un voisin de mes parents, Rémi (décédé depuis longtemps), ne les plantait jamais au printemps mais à l’automne. J’ai donc essayé cette méthode et ai planté quelques dizaines de gousses au début novembre dernier. Le résultat dépasse mes espérances : tout pousse à merveille et la récolte est prometteuse.
L’ail que j’ai semé a donc résisté allègrement aux températures qui étaient largement en-dessous de -10°C le mois dernier.
Il y a un mois, j’ai essayé de semer d’autres légumes. Je m’aperçois ce matin que, mis à part les carottes et les pommes de terre, tout est en train de sortir de terre : les fèves …
… les petits pois …
… les oignons …
… ainsi que des radis que j’avais laissé au jardin à l’automne dernier et dont les graines étaient tombées au sol.
Il n’y a pas de doutes : pour le jardinier, le printemps est bel et bien là !
Ouiii!!! Le printemps du blog aussi est là. La culture de l’ail , c’est quand même plus important que toute ces mélanchonneries!
L’ail au jardin, je n’y arrive pas, même planté en automne. Mais c’est pareil pour les échalottes et les oignons toujours très petits. Je crois que ces plantes là sont exigeante sur le type de sols.
C’est un peu étonnant ce que tu nous dit là, Luc, car l’ail n’est pas très exigeant quant à la nature du sol. Un article qui en dit plus sur ce légume :
http://home.nordnet.fr/~slenfant/ail/ail3.htm
Un manque de potasse dans ton sol ?
et l’ail sous les pêcher pour empêcher la cloque ? vous en pensez quoi ??
Je l’ai souvent entendu dire mais ne l’ai jamais fait. J’y crois volontiers.
Il y a aussi les coquilles d’oeufs dans un filet suspendu aux branches du pêcher, mais là, je suis plus sceptique.
Ah merci un article sur le jardinage !
Je pense en faire un par semaine dans les prochains temps …
J’ai réussi avec l’ail une seule année … Depuis les têtes restent petites ou pourrissent !!
Je laisse tomber l’ail pour l’instant , pourtant , on en utilise beaucoup dans notre cuisine .
J’ai déjà de jolis plants de pommes de terre , oignons , radis , salades vertes à couper , , betteraves rouges , choux et courgettes . Par contre , les carottes n’ont pas encore montré le bout du nez .
Normal, aucune n’a de nez ! :biggrin:
Je suis persuadé qu’en Bretagne il y a plein de choses qu’on peut semer un mois avant chez nous. Ici, il gèle encore la nuit (toute petite gelée ce matin).
Courgette, en pleine tere? Impensable avant mai par ici… Je vais commencer à penser à les semer en pot.
Je réussis généralement bien les échalotes et les oignons, mais j’ai aussi des toutes petites têtes d’ail. J’avais bien pensé à une plantation d’automne, ton article m’incite à tenter l’expérience. Mais peut-être les résultats seront-ils bons cette année !
Même plaisir chez moi avec les pois qui sortent de terre, les radis qui ne vont pas tarder, et d’autres choses…
Jardinier, un conseil : ne pas confondre tes calottes à Mélenchon et mécontent à l’échalotte !
http://idata.over-blog.com/0/55/29/45/octobre/gousse-d-ail.jpg
J’ai discuté ce matin avec un jardinier. Il n’a jamais de grosses gousses d’ail, sans doute une question de terrain ou de carence en éléments nutritifs, mais elles sont bien plus belles depuis qu’il les plante à l’automne.
Bon ben , je vais essayer ça cette année à l’automne et vous tiendrai au courant du résultat .
Le mieux est sans doute d’en planter en novembre, d’en garder un peu pour planter en mars (comme la plupart des gens le font habituellement) et ensuite de comparer.
Discussion avec un copain aujourd’hui, au sujet de nos ruches, mais c’est aussi un bon jardinier expérimenté et qui a récolté les pratiques des anciens. Il a toujours de très beaux aulx, oignons et échalotes.
Pour lui : plantation d’automne risquée chez nous du nord-est, tout a gelé chez son père qui avait planté en automne.
Il dit qu’il faut planter le plus tôt possible, après le grand froid, à s’en geler les doigts, et c’est donc en février. Pour lui mars n’apporte que des petites têtes d’ail, et c’est connu de tous les jardiniers expérimentés autour de lui…
Visite de printemps des ruches aujourd’hui… C’est reparti !
Christophe, je pense qu’il y a des différences de température entre ton secteur et la vallée de l’Ognon, car malgré les -15°C de cet hiver, l’ail n’a pas gelé ici.
Il fait plus chaud chez moi et je me pose vraiment la question. Ici c’était malgré tout dans les -15° aussi. les renseignement que j’ai concernent les villages d’Evans (ouest de Besançon) et de la Haute-Saône plus au nord où le froid a été plus intense : à -19° l’ail n’a pas survécu malgré l’exposition sud.
Je me demande s’il ne s’agit pas aussi d’un problème de variété. Peut-être y a-t-il des variétés plus résistantes au froid que d’autres.
Je connais un producteur d’ail jurassien qui tient un stand de vente chaque automne, je lui demanderai d’une part s’il plante l’ail à l’automne et d’autre part de quelle variété il s’agit.
Bonne idée !
A priori, les variétés d’ail violet et blanc se plantent à l’automne, les roses sont bien moins résistants et se plantent au tout début du printemps.
http://gwmarcha.perso.neuf.fr/ail.htm
Dans cet article on lit aussi que l’ail ne supporte pas l’azote mais a besoin d’acide phosphorique et de potasse, ce qui confirme ce qui a été dit plus haut et qui explique peut-être que les jardiniers qui n’arrivent pas à avoir de beaux ails, ognons et échalottes ont sans doute un terrain carencé en ces deux éléments.
Ça y est , les carottes montrent le bout de leurs … Feuilles !!
Ah, les premières carottes !
C’est l’pied !
http://twitterfr.free.fr/wp-content/uploads/carotte-a-cinq-doigts.jpg
Il y a des moments ou la nature nous fait de sacrés clins d’oeil !
En plus, vous avez vu, au centre de la « maincarotte », il y a comme un coeur …
Romantique :biggrin:
En ce qui concerne l’ail, vous parlez beaucoup de la culture mais jamais de ce que vous en faites une fois récolté ???
Perso, j’aime le goût de l’ail (surtout revenu à feu très doux dans l’huile d’olive … Miam)
Un coeur ou une paire de fesses ?
C’est très nettement un coeur, tu dois avoir l’esprit mal tourné :tongue:
Je pense qu’effectivement humeur grivoise a l’esprit mal tourné mais comme je ne suis jamais là lorsqu’il met un commentaire, je n’ai jamais le temps de réagir assez tôt et de censurer son commentaire.
Je dis « il » mais peut-être est-ce « elle » ! :whistle:
Il y a plein de manières d’utiliser l’ail et il y a peu de plats qui ne sont pas bonifiés par sa présence.
Je l’adore dans la soupe au potiron : uniquement du potiron butternut, du sel, de la muscade et plusieurs gousses d’ail.
Avec le gigot…
Les pommes de terre… :wub:
Et toute la cuisine provençale, ou presque. :heart:
Du pain grillé frotté à l’ail ajouté à une soupe de poissons …
Des tranches de comté simplement frottées avec de l’ail … :wub:
Dans une fricassée de champignons des bois ou des prés :wub:
Et l’aïl au lit, O Mamma Mia !
Tiens vous le faites comment vous l’aïoli ? Avec de l’oeuf ou sans oeuf ?
Ce n’est pas une recette utilisée dans l’Est de la France et je n’en ai consommé qu’une seule fois dans le Sud.
Albert doit bien avoir une petite idée sur la question ?
Albert, il a l’air d’être dans les choux en ce moment !
Et les choux s’accommodent assez peu avec l’ail ! :tongue:
L’aïoli, tu serais bien placé pour le faire avec tous les légumes que tu cultives, Bernard.
Certes, la morue n’est peut-être pas vraiment une habituée des eaux de l’Ognon.
Qu’à cela ne tienne, faisons une rencontre aïoli (puisque la rencontre choucroute est dans les choux elle aussi ).
Bernard fournit les légumes, Yves apporte la morue, moi l’huile d’olive, Albert bien sûr cuisinera, Brind’paille mettra la taille avec art (voir un de ses « A vos plumes »), Luc apportera la bière pour les inconditionnels, Christophe et Fifitoucourt des anecdotes intéressantes sur les oiseaux ou les insectes …
Tiens, Brind’paille a disparu de la circulation ?
Tiens, il n’y a plus d’ateliers d’écriture sur le blogadupdup ?
Il y a une autre sauce à base d’ail que j’adore, c’est la rouille. Et quand je dis j’adore, c’est encore plus que ça ! :wub:
A midi, je me suis fait une petite fricassée d’aubergines à l’huile d’oilve et à l’ail.
Waouh ! Quel régal :wub:
Non, les femmes ne disparaissent jamais de la circulation.
Elles restent là, tapies dans l’ombre … :tongue:
Christophe, un ami vient de me dire qu’il avait planté de l’ail pour la première fois cet automne et que celui-ci avait gelé, comme chez toi donc.
Comme il a planté ça tout près de chez moi et que les miens n’ont pas gelé, je me demande si la variété n’influe pas.
Je te garde quelques gousses au cas où tu voudrais essayer ma variété à l’automne prochain.
Super !
Il y a toujours une petite place au jardin pour l’ail.
D’ailleurs, la formule préférée de l’ail lorsque les autres légumes ne lui laissent pas de place : « Gousse toi de là qu’j’m’y mette !!!!!!!!!!!!!!!! » :biggrin:
Sans ail, la vie serait… Ouille, ouille ouille !
Sais-tu quelle est la variété que tu as ?
Non, aucune idée, j’ai acheté ce que m’a conseillé le producteur jurassien qui les vendait à la foire aux saveurs de Pouilley-Français. Je n’ai même pas pensé à lui demander le nom de la variété.
Mes oignons et mes échalottes ont été mises dès février, ils poussent à merveille.
Je vais en replanter d’autres le week-end prochain.
Christophe, ton dernier commentaire était exactement le 35 000 ème commentaire de ce blog.
Allez hop, ça vaudra bien une tite mousse à Texel dans 3 semaines !
Rassure-toi, je trouverai bien l’occasion de te rendre la pareille.
En attendant, je vais me préparer pour le 50 000 ème commentaire, ça devrait bien valoir une tournée de Juttertje !
C’est la première fois que je plante l’ail dès l’automne, et non au printemps, et c’est la première fois que mes récoltes sont belles.
Il y a peut-être une autre raison… ça n’aime pas le temps maussade l’ail? :devil:
Ben comme d’habitude en ce qui me concerne, mais je ne faisais pas d’illusion : des tiges un peu trop chétives ont donné des petites têtes hyper chiantes à préparer !
Réconfort habituel avec une belle récolte d’échalotes.
Je planterai donc à l’automne cette année, j’aime trop l’ail pour en rester là !
Bonjour,
Je viens d’acheter des bulbilles d’oignons jaunes, blancs et rouge(dans une jardinerie de Namur) à planter maintenant en automne.
Quelqu’un connait-il cette méthode de culture ? Habituellement, je plantais toujours les bulbilles au printemps, mais cette année, ma production a été quasi nulle.
Je vais donc tenter l’expérience et espère que cette méthode donnera de meilleurs résultats.
Je ne connais pas cette méthode mais pourquoi pas ! Sans doute qu’il s’agit de variétés plus résistantes au froid que les variétés classiques.
Attention Guy :unsure: car tes bulbilles d’oignon vont subir l’action du froid et auront une grosse envie de monter en graines en début d’été.
Salut Guy, (tiens, encore un belge) peux tu me dire où tu as trouvé ces bulbes? J’habite près de Namur…
« A que coucou euhhhh c’est Johnny euhhh. A que je voulais dire que mon N ‘amur de toujours c’est toi public !!! » :w00t:
J’ai planté des bulbes d’ail la semaine dernière.
Ce matin, j’ai planté des bulbes d’échalotte et d’oignon. C’est la première fois que je fais cela à l’automne. A suivre donc.
J’ai été super content de l’ail que j’ai planté à l’automne dernier… Très surpris de la poussée de cet ail sous la neige et un beau résultat… je ne savais pas qu’on pouvait le faire avec l’oignon et l’échalote. J’avais choisi début novembre pour les planter.
Je viens de relire tous les commentaires de cet article.
Je pense que je vais moi aussi essayer la culture de l’ail. Je suis entre 1200 et 1300 d’altitude, donc gelées et neige sont fréquents. L’année dernière, encore une grosse chute à la mi-mars (40cm). Je devrais donc essayer plutôt l’ail violet ou blanc qui résistent mieux au froid?
Georges, quand tu parles de la poussée de l’ail sous la neige, tu parles de grosses chutes de neige? (Car j’ai quand même des craintes qu’avec 40 cm de neige, rien ne puisse pousser…)
J’ai aussi semé fin juin des chicorées rouges de vérones, qui devraient être prêtes, si tout va bien, au printemps prochain.
Attention, ce n’est pas n’importe quelle variété que l’on plante à l’automne. Par exemple, pour l’échalote, c’est la griselle (qui, d’ailleurs, ne se plante qu’à l’automne).
Pour l’ail, je viens de voir que l’ail blanc Therador ou le Thermidrome sont deux variétés qui ne se plantent qu’à l’automne et à reserver aux régions plus froides par rapport aux variétés messidrome et messidor, qui aimen-t les climats plus doux en hiver (région sud ou façade océanique)
Pour l’ail, la variété germidour semble être l’une des plus adaptées pour les plantations d’automne. Pour les oignons certaines variétés blanches (snowball) ou rouges (red baron) semblent bien convenir mais certaines variétés classiques jaunes également (jaune paille des vertus par exemple).
Toutes ces variétés-là se trouvent facilement, j’ai acheté les bulbes ce matin … chez mon quincaillier.
Une couche de neige me semble au contraire être une garantie supplémentaire de protection. De toute façon, il faut essayer, on peut parfois être très agréablement surpris des résultats (ou parfois non … ).
Oui Léa, l’hiver passé on a eu plus de 40 cm de neige pendant 3x 3 semaines…
« Il y a aussi les coquilles d’oeufs dans un filet suspendu aux branches du pêcher, mais là, je suis plus sceptique. » (Bernard le 23 mars 2012)
C’est néanmoins une pratique qui à l’air de prendre de l’ampleur, j’ai vu ces derniers temps plusieurs personnes dans différents coins de la Haute-Saône contents d’avoir accrochés des filets de coquilles d’œufs a leur pêchers et ils disent que çà marche… Je testerai début 2014.
Effectivement, j’avais écrit cela à propos de la cloque du pêcher. Mon frère a essayé cette méthode et ça n’a pas marché. La meilleure solution, à mon avis, reste la décoction de prêle.
J’étais avec Luc chez des amis hier soir. Ces amis cultivent de l’ail et nous ont montré de bien belles gousses d’ail qui avaient été plantées ce printemps. Comme quoi, la culture de printemps peut quand même donner de bons résultats.
Un producteur d’ail du Jura m’a dit ce week-end qu’on avait un bon mois pour planter l’ail d’automne : entre de le 20 octobre et le 20/25 novembre.
Aujourd’hui et demain (mardi 21 et mercredi 22) sont des bons jours (d’un point de vue lunaire) pour planter l’ail d’automne. Je mets la même variété que l’an passé : Germidour.
L’ail germe dans le potager depuis hier (semé le 13 novembre ) . J’espère avoir plus de chance avec l’ail dans ce nouveau terrain , où la terre est moins lourde que dans l’autre .
J’avais lu, je ne sais plus où, que pour être efficaces contre la cloque du pêcher, les coquilles doivent être crues …..
Bonjour,
Je viens de découvrir une variété d’ail, « l’ail éléphant ».
Voilà c’est juste un petit partage pour ceux qui seraient intéressés. Peut être connaissiez vous déjà ?
Voici un lien vers un article qui en parle.
https://www.google.fr/amp/s/potagersdantan.com/2017/06/19/curiosite-au-potager-lail-elephant/amp/
Bonne lecture.
C’est un ail que je connais parce que j’ai essayé de le cultiver. Mais je n’ai pas eu de bons résultats avec cette variété alors j’ai arrêté sa culture.
bonsoir,
sur un blog de voyages un monsieur habitant l’Alsace cultive des arbres colonnaires. En lisant bien ses explications cela me fait penser aux arbres bonsais et il écrit qu’en fait la récolte des fruits se fait sur le tronc. j’attends une réponse de sa part pour connaître combien de kilos de pommes il récolte par année. Il dit que maintenant, que tout est en fleurs il entrepose tout dans son garage, à cause du froid, il dit avpor pommier, poiriers, mirabelliers, pêchers. c onnaissez-vous ?
J’ai un pommier colonnaire que j’ai acheté il y a vingt ans. C’était parmi les premiers arbres de ce type, à l’époque on appelait ça des pommiers « ballerine ». Très décu par ce type d’arbre, très peu de fruits. Comme les fruits poussent sur le tronc, il ne peut pas y en avoir beaucoup, c’est assez logique. Je pense que c’est à réserver aux gens qui habitent en immeuble et qui ont envie de voir pousser des fruits sur leur balcon.
alors, le monsieur d’Alsace m’a répondu qu’en principe il pouvait faire avec la récoltes des pommes sur un seul pommier, environ 80 tartes. C’est un ménage de deux personnes.
Moi j’ai trouvé ce genre de culture « amusant* et ce Monsieur a un grand verger, donc il ne cultive rien sur son balcon.
j’ai vu des photos en cliquant sur pépinières Haberli, étant fille d’agriculteurs, je trouve cette méthode surprenante.
80 tartes avec des pommes qui ne poussent que le long du tronc ? Tu imagines la hauteur de l’arbre pour produire cela … !?! :wassat:
pas très haut, j’ai vu des photos regarde pépinière Heberli pour arbres fruitiers colonnaires.
quant à moi, je n’y crois pas.
alors, mais peut-être que j’ai mal compris, le tronc fait 30 cm, et une tige de presque 3 mètres.
et je donne ma langue au chat pour tout vous expliquer, j’ai vu des photos sur internet et demandant pommier colonnaire, à vous de faire comme moi. A la rigueur le monsieur qui en cultive n’habite pas très loin de chez toi, je te donnerai son adresse.
pour nous deux, j’utilise 4 è 5 pommes pour une tarte diamètre 20 c m
Pour moi, un arbre fruitier colonnaire c’est ça :
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C’est un sujet que je connais mal, je sais que ça existe depuis longtemps (le mien a 20 ans), que les gens n’en ont pas planté pendant ces 20 dernières années mais que, d’un seul coup (un ou deux ans seulement) on voit beaucoup de pub. Je comprends bien l’intérêt qu’il peut y avoir pour les gens qui n’ont qu’un balcon ou un tout petit jardin mais pour le reste je suis plutôt sceptique. En tous les cas, je n’en vois nulle part.
Quand on cherche des infos sur internet sur ce type d’arbres, on ne trouve quasiment aucun avis de clients ayant acheté ces arbres collonaires. Beaucoup semblent encore attendre leurs fruits et beaucoup restent sceptiques sur ces abres qui semblent importés en masse de Serbie par des renvendeurs français. A noter que ces arbres sont sans étiquetage précis, on ne sait même pas la nature du porte-greffe et il semble que toutes les variétés ont des noms inconnus et les premiers fruits donnés sont insipides (mais bon, il y a aujourd’hui un très large public demandeur de produits insipides, alors pourquoi pas …)
Juste pour dire tout de même que je suis plutôt adepte des arbres petites formes (j’ai même une passion pour les espaliers, dont je n’ai jamais parlé sur ce blog), mais là … bof bof …
Depuis le temps que ça existe ce type d’arbres, si c’était bien ça se saurait me semble-t-il.
A noter aussi que des arbres fruitiers cultivés en pots sont très gourmands en eau alors qu’en pleine terre un arbre fruitier ne s’arrose pas.
Il serait intéressant que quelqu’un qui a déjà cultivé ce type d’arbres fruitiers en pots intervienne dans la discussion pour donner son avis. J’en ai parlé autour de moi ces jours-ci, personne n’en cultive.
je connais un Monsieur habitant l’Alsace qui a ce genre de culture, pommiers, cerisiers, mirabelliers, poiriers aussi je crois et je sais qu’il est très content, je vais lui demander son adresse mail pour que vous puissiez correspondre, s’il est d’accord.