Un article proposé par Luc
Cela fait quelques temps déjà que l’idée me trotte en tête, et je ne le cache pas, elle m’a été soufflée à l’oreille par Dupdup lui-même. « Ce serait pas mal d’ouvrir le blog à d’autres formes d’expressions que la musique » m’avait-il dit. « On pourrait même imaginer créer un espace réservé à de jeunes peintres ou à tout autre inconnu désireux de montrer ses productions quelque soit son domaine. »
L’idée est évidement magnifique et j’ai été immédiatement tenté d’utiliser d’une manière ou d’un autre cette ouverture sans jamais oser.
Depuis cette ancienne correspondance, Bernard a ouvert le site à la littérature et a fait appel à tous pour enrichir les sujets de discutions d’apports extérieurs.
Mais de praticiens des arts de l’espace, point.
Aussi, puisque jadis je fus tenté, aujourd’hui j’oserai.
J’oserai cependant sans risque, via un courant artistique bien développé et très en lien avec la nature puisqu’il s’agit du Land Art. Si jamais un deuxième article devait voir le jour, c’est promis il sera plu polémique, plus… urbain.
Selon le sens commun, le Land Art qui apparaît dans la fin des années ’60 joue dans et avec la nature. Les œuvres entièrement conçues avec des matériaux naturels sont soumises aux aléas du temps qui passe et du temps qu’il fait. Elles évoluent jour après jours.
Dans ce domaine, une artiste me fascine depuis toujours, c’est Andy Goldsworthy un britannique né dans le Cheshire en 1956. C’est évidement loin d’être un inconnu mais cet article est un coup de sonde dans la communauté dupdupienne, très attachée à la musique, aux piafs et aux billets d’humeur…
Si j’ai choisi celui là, c’est parce que la sensibilité de ses œuvres, et sa force aussi le rendent immédiatement accessible.
Dans le monumental,