Je suis encore sous le coup de l’émotion. J’attendais beaucoup de ce concert qui s’est déroulé avant-hier soir dans l’église de Saint-Lupicin dans le cadre du festival de musique baroque du Haut-Jura. Philippe Jaroussky et son ensemble musical ont consacré toute la soirée à la musique de Henry Purcell. C’était une grande soirée avec un public d’une rare attention, chacun était sous le coup de l’envoûtement dégagé par la voix de ce haute-contre.
Aussi, c’est tout naturellement que je vous propose quelques vidéos de Jaroussky pour ce petit dimanche musical.
Purcell tout d’abord avec le célèbre « music for a while ».
Vivaldi ensuite, dont Jaroussky a déjà enregistré beaucoup d’oeuvres. Ici, dans deux vidéos différentes :
http://www.youtube.com/watch?v=CaLyP5o23Qc&feature=PlayList&p=616978CDDD9FD738&playnext_from=PL&playnext=1&index=3
Haendel, autre compositeur de la même époque :
http://www.youtube.com/watch?v=5TQrbei8Z-4
Et pour finir un extrait du Stabat Mater de Pergolesi, Jaroussky est ici en duo avec Véronique Gens.
Bon dimanche à tous.
J’imagine bien quelle a du être cette soirée dans le Haut Jura.
Oh là là ! Que je t’envie !
Je me suis jetée sur les deux dernières vidéos car j’aime beaucoup le Stabat Mater de Pergolese et j’adore Haendel.
D’ailleurs, je me demande si le morceau de la vidéo Haendel n’est pas dans le film « Farinelli »de Gérard Corbiau. Et je me demande aussi si ce n’est pas lorsque justement, on voit Haendel tellement bouleversé par sa musique chantée par Farinelli qu’il fait un malaise.
Si quelqu’un a vu et se souvient …
Pour les autres vidéos, ce sera pour plus tard car malheureusement, j’ai à faire.
Il faut absolument que je me renseigne sur les concerts de Philippe Jaroussky, des fois qu’il y en ai un prochainement pas trop loin de chez moi.
Le nom de famille de Jaroussky vient d’une petite confusion… Fuyant la révolution russe, son grand-père arriva à la frontière française, où on lui demanda son nom. Ce à quoi il répondit : « ya – russky » (ce qui signifie « je suis russe »). Ce nom est resté…
Sublime, merci pour ce partage, on reste sans mot.
Et pour ceux qui n’aiment pas trop la musique baroque, voici son dernier opus où il s’est essayé avec succès : OPIUM (en français) « Mignonne, allons voir si la rose……… » entre autres
Pour moi, sans doute le meilleur Dimanche Musical
Merci Bernard de nous avoir fait partager de tels moments…. :wub: :wub:
Francisca, Philippe Jaroussky va donner plusieurs concerts au Théatre des Champs-Elysées en novembre …
C’est bien la première fois que j’aimerais habiter à Paris … :biggrin:
Rien qu’avec une petite vidéo et le son de l’ordinateur, une belle voix qui réussit à me mettre les poils au garde à vous, alors en concert ça doit être magistral.
Un sentiment toutefois avec ces voix tellement travaillées : parfois on sent que la voix est forcée face à une difficulté ou à cause de l’étendue du registre, et ça me gêne toujours. Mais le plaisir à chanter de Jaroussky et sa voix donnent rarement cette impression, on se laisse vraiment porter.
J’ai déjà ma place début décembre Etincelle, réservée depuis déjà pas mal de temps. Nous avons la chance de l’avoir régulièrement, ici, à Paris, son concert du mois d’avril était sublime…….
La seule chance que l’on ait à Paris, c’est au niveau culturel …. pour le reste, il n’y a pas de quoi m’envier, croyez moi mes amis !!! Il y aurait beaucoup à dire, mais il est plus sage de se taire ….. Paris est en pleine mutation et cela va très très vite, et je me dis, spectatrice impuissante, que si je veux continuer à vivre à Paris, il va falloir que je fasse de sérieux efforts…… d’intégration … on en est là, et c’est tout le paradoxe !!
Christophe, Jarousski ne me met pas, comme vous, les poils au garde-à-vous, car je n’en ai que peu (fort heureusement) mais me donne vraiment la chair de poule, (très visible) et me transporte en d’autres lieux …. et en concert, sa voix vous pénètre tellement, que vous finissez par croire qu’il n’est là que pour vous, et qu’il ne chante que pour vous!
Ce qui est fabuleux, avec Jaroussky, c’est le silence qui suit la dernière note. Le public met du temps à redescendre sur terre. On a l’impression d’être en apesanteur. Les applaudissements ne viennent bien souvent, et fort heureusement, que tardivement.
Moi, je suis encore sous le choc de l’extraordinaire prestation de Hélène Maurice.
A tel point que les mots me manquent pour en parler. Hi, hi!
Eh! Blague à part. Si elle passe pas trop loin de chez vous, ne faites pas la bêtise de rater ça!
Et comme d’ici là, tu vas nous préparer un week-end musical sur elle et que ça va nous convaincre d’aller l’écouter …
Ils n’applaudissent pas aussitôt la fin de la chanson …. Ben non , il leurs faut le temps de se réveiller !!!
:happy:
Music for a while, toujours, par Alfred Deller (la seule version que je connaissais jusqu’à présent) :
Que c’est beau … Que c’est beau !
Il suffit d’écouter et, instantanément, on est transporté dans un autre monde, un monde serein … dont nous avons tant besoin.
Yves, finalement, je pense que les musiques qui endorment sont encore les plus belles musiques ! (réflexion qui n’engage que moi). :sleeping:
Tu veux parler de musicothérapie active ?
Lorsque la musique est déstressante, relaxante, jusqu’à en arriver à l’abandon de soi-même pour nous plonger dans un sommeil réparateur !
Allez, je me lance—- Il faut vivre dangereusement.
Moi, ça ne me déstresse pas du tout, bien au contraire.
Ca multiplie mon stress par 10 000 . Ca m’agresse, comme tout ce que l’on appelle et que mon papa adoré appelait « les belles voix ».
Persone ne m’en veut?
Un mien ami, et non des moindres, préfère se geler dans sa maison ouverte aux vents plutôt que d’avoir du double vitrage qui l’empêcherait d’être réveillé par les oiseaux.
Je le sens mieux, déjà , ça!
Mais j’aime bien les doubles vitrages.
Comme tu avais dit un jour sur ce blog que tu n’aimais pas la musique, rien ne m’étonne dans ce que tu dis. Je dirais que je m’attendais presque à cette réflexion.
Je connais plusieurs personnes qui sont contre ce genre de musique car c’est là, dans leur attitude « anti », une manière de régler leurs comptes avec leur enfance.
Dis à ton copain qu’il est un peu con : il pourrait avoir du double vitrage (because l’hiver et ses déperditions d’énergie) et laisser la fenêtre ouverte à la belle saison lorsque les oiseaux chantent. Ce n’est pas du tout incompatible.
Oh, hé! Tu pourras le lui dire toi-même. Tu le connais, je te donnerai son adresse mail Tu dois même déjà l’avoir.
Pour le reste, je ne règle aucun compte avec mon enfance. Je ne suis ni contre ni anti. Cela ne me dérange absolument pas que certains aiment ces voix et ces musiques. Bien au contraire, c’est moi qui me sens mal à l’aise de ne pas apprécier. Je préférerais aimer ça comme on préférerait parfois croire en Dieu quand on est un athée à la Brassens. J’ai essayé, vraiment, mais je n’y arrive pas. J’admire mais je ne peux aimer.
J’ai fait écouter à ma fille Maï (bientôt 4 ans). elle est restée scotchée.
Euh, non, Jenofa, ce n’est pas pour toi, évidemment, que j’ai mis la réflexion sur l’enfance. Simplement, par association d’idée, tes propos m’ont amené à penser à d’autres personnes de ma connaissance qui n’aiment pas la musique classique pour des raisons à leur enfance personnelle.
Je crois que si on ne saoule pas les enfants (comme ils disent) avec ce genre de musique, ils sont capables d’apprécier.
Il était une fois …
Nous avons emmené nos enfants écouter Israël en Egypte de Haendel.
C’était à St Paul trois Chateau donc assez loin de chez nous, environ 1h30 de route mais ça valait le coup même si la salle n’était pas une vraie salle de concert mais juste une salle des fêtes. Le coeur était conséquent, je ne sais plus trop, 40 ou plutôt environ 60 personnes ?
Les enfants étaient petits, à peu près 8 ans. Ils ont été subjugués et en gardent un souvenir grandiose (et moi aussi).
Depuis, ils aiment ce genre de musique.
Etincelle, personne ne m’a soulée avec ça, mon père aimait mais n’a jamais cherché à me faire aimer. Que veux-tu, ça n’arrive pas à passer. Ce n’est pas que cela m’ennuie, ça m’électrise, ça m’énerve, ça m’agace, ça m’insupporte.
Alors, je vous envie sincèrement quand je vous entends parler de sérénité et de nirvana. Je suis jalouuuuuuuuuuse.
Bon, avant de partir pour l’un de mes derniers jours de taff avant le chom’du, je vais écouter chantonner le ruisseau.
Jenofa, je ne disais pas ça pour toi car j’avais bien compris que ce n’était pas ton cas.
Non, je parlais d’une manière générale et pas seulement pour la musique.
Par exemple, mais là on sort du sujet musical pour entrer dans le domaine de l’éducation …
Combien j’ai vu de parents gifler leur enfant sur un sentier de montagne car le petit pleurait et ne voulait pas marcher.
C’est sûr que c’est le meilleur moyen de faire détester la montagne au gamin et lui couper le peu d’envie qu’il avait, s’il en avait.
Et pourtant, il est justement si facile de donner envie à un enfant de monter plus haut quand on sait se mettre à sa place et lui montrer toutes les petites choses ordinaires ou merveilleuses de la nature.
C’est alors l’enfant qui en demande encore plus.
Bonjour à tous,
C’est à Saint-Michel En Thiérache dans l’Aisne que le concert de Philipe Jaroussky a été donné avec l’ensemble Astaserse. Tout a été dit je crois sur cette merveille musicale : la qualité technique, la sensibilité (j’ai été litérallement scotché par les deux demières pièce « O let weep et See ever Night » bouleversants, ben j’ai pleuré quoi ! Le silence dans la basilique également pourtant archi archi comble et le silence encore à la fin des pièces où comme on le disait à propos de mozart « le silence qui suit, c »est encore du Mozart ». Avec Phlippe Jaroussky, c’est pareil. On n’ose pas rompre le charme en applaudissant bien que ce ne soit pas l’envie qui manque. Toutefois, même si nous sommes tous « absorbés » par Philippe Jaroussky, il faut noter aussi la prestation de l’orchestre d’une qualité extraordinaire. Le matin, j’ai eu le plaisir d’entendre toujours dans des pièces de Purcell le flutiste, Luis Beduschi et quel talent…
Enfin, pour faire « raler » les amateurs, exceptionnellement, hier, Philippe Jaroussky a s’est prêté au jeux des dédicaces, ce qu’il fait très rarement. Petit plaisir (un peut idiot, j’avoue) de l’approcher, le remercier et grapiller une griffe sur le programme.
Il n’y a pas dhésitation. Pour les amateurs de musique baroque, de Purcell et si vous ne connaîssez pas Jaroussky FON-CEZ ! Vous ne regretterez qu’une chose : que ce soit la première fois.
De retour (mille excuses) s’agissant du commentaire précédent, le concert dans l’Aisne avait lieu hier, dimanche 14 juin 2010 à 16h30. Jaroussky a donc un planning chargé entre Jura et Aisne, jolie promenade.
Mais je souhaitais juste, en relisant les échanges, revenir sur une de ses plus prodigieuses interprétations : le Cum Dederit du Dixit Dominus de Haendel. Oh Seigneur, quelle pureté. Jean-Christophe Spinozi (chef d’orchestre et ami de P. Jaroussky) a pris un tempo très lent et Philippe (zut, j’ose !) répond avec sa sensibilité à cette écoute différente et en fait un lamento ben beu zu za… je ne sais même pas le qualifier tant c’est superbe. S’il casse le code original de la partition (le tempo est plus rapide sur la partition), ce choix donne une telle profondeur au morceau et restitue pleinenement la dimension dramatique du récit. Si vous ne l’avez pas dans votre discothèque, allez l’écouter sur Youtube. Garantie : vous ne finirez pas votre écoute que vous foncerez vous procurer le disque !! Quand on écoute la proposition de Spinozi et la réponse de Jaroussky, quelle belle preuve d’amitié, entre ces deux hommes d’exception. Je rêverais qu’on me fasse pareil cadeaux.
Bien à vous tous.
je n’aime pas parler de moi mais je serai brève.
jenofa, sans mon père qui était d’une famille un tant soit peu musicienne, je n’aurais jamais écouté caruso ni entendu parler de « tristesse de chopin » (sans y être forcée, pas du tout : une allusion ici et là sans plus). le reste a suivi -toutes sortes de musiques, y compris la légère…la famille de ma mère n’était pas DU TOUT musicale…
donc…
j’ai eu hier la curiosité d’aller voir sur internet ce qu’était jarousskky (?).
n’aimant pas les haute-contres (mais si, bernard, mais si, je connaissais – dont deller père et fils), j’ai été séduite : quelle gueule d’ange ! :kissing: d’ange : . quelle voix, c’est vrai! mais je préfère m’imaginer que ce n’est pas 1 être humain : un ANGE , quoi!
j’ai le farinelli que je déteste car la mine tristounette forcée de la vedette (c’est qui déjà?) m’a écoeurée. pas aimé la mise en scène.
bon, tout ça, jenofa, pour dire que les influences dans l’enfance peuvent avoir un certain impact. mais j’insiste : on ne m’a jamais forcée; au fait, ce doit être génétique.
par contre, l’amour des tomates je ne vois pas d’où ça me :angel: :angel: vient… :biggrin:
Si si, la famille de ta mère jetait des tomates sur la famille de ton père dès qu’il mettait un disque de caruso. Voici l’explication … :w00t:
Bien beau témoignage que celui de Jean-François SAINT-BASTIEN et qui me fait espérer la rencontre avec cette voix exceptionnelle.
en attendant, tu peux trouver plein de vidéos sur le net-images et voix- le tout magnifique, et qui plus est, tu peux zapper des morceaux qui ne te plaisent pas….
le choix (et le bonheur) à l’état pur…
Effectivement, comme tu le dis, Marie-Jo, il y a plein de vidéos sur Jaroussky. En voici une, un peu au hasard :
Bonsoir Bernard,
Deux jours après le concert que vous évoquez, Philippe Jaroussky interprétait les mêmes oeuvres en la collégiale Saint-Martin à Angers et je me retrouve tout à fait dans le commentaire que vous faites.
Assurément un concert dont je me souviendrais toute ma vie.
De combien de concert se souvient-on pendant toute une vie ? Assurément peu et Jarousski fait indéniablement partie de ceux-là.
J’épouse complètement vos propos ! Peu de gens sont capables de nous faire vibrer de la sorte et laisser un souvenir impérissable ! :wub:
C’est dingue quand on aime quelque chose comme on peut vite jeter tout le reste …
:shocked:
Oh non, ce n’est pas ça du tout. Finalement, est-ce qu’il y a tant de musiques que ça qui arrivent à nous tirer les larmes des yeux !
Oui bien-sûr !!! Moi j’en ai des tas et de tous les styles qui me mettent la boule au ventre . Ne me dites pas que vous ne ressentez une émotion qu’avec le classique … C’est bien triste alors !!
Pour moi Jaroussky qui chante , c’est beau , je suis admiratif d’une telle voix … mais ça ne va pas plus loin .
Si la musique classique, à de rares exceptions près, Philippe Jaroussky, Klaus Nomi, Alexis Vassiliev, Fabrice Di Falco, entre autres, exacerbent ma sensibilité, un autre personnage extraordinaire, déclenche en moi une éléphantesque émotion : Nelson Mandela, homme magnifique, jusqu’au-boutiste, figure symbolique de la lutte contre l’apartheid, que ses 27 ans d’emprisonnement n’ont pas réussi à « casser ».
Voici un personnage d’actualité qui mériterait bien plus nos commentaires !
« Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé »
« En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant »
Deux citations à méditer sans doute !
Assistera-t-il à la finale ce soir et remettra-t-il le trophée aux vainqueurs ?
Il semblerait qu’il soit très courtisé en ce sens mais que sa famille est exaspérée qu’on ne respecte pas la mauvaise forme physique de Nelson Mandela qui est très âgé (92 ans).
Il est présent à la cérémonie de ce soir, arrivé sur une sorte de « rosalie », faisant le tour du stade, élégant, droit, fier, les yeux pétillants, sourire généreux, en un mot présentant une joie de vivre et son bonheur d’être présent, acclamé frénétiquement par tout un peuple pas seulement sud-africain mais du monde entier !
Un grand moment de frisson !
Grand respect pour Mandela …. Mais pour cette phrase , tout dépend du contexte .
« Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé »
Oui quand on veut s’associer pour le bien … Mais s’associer avec le mal n’est vraiment pas une bonne chose . Comme Pétain en son temps .
Lisez son autobiographie :
elle est très instructive, et vous y apprendrez que c’est un grand jardinier, même si cet aspect du personnage n’est qu’anecdotique dans son livre. Il s’agit avant tout de l’histoire de l’ANC, une organisation qui éclaire bien des voies… des voix !
Vous verrez tout de même que son jardin n’a rien à envier à celui de Dupdup !
Le lien que j’ai oublié, mais il y en a d’autres :
http://www.amazon.fr/Un-long-chemin-vers-liberté/dp/2253140635/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1278875601&sr=8-1
J’aime beaucoup la deuxième citation de Mandela que nous donne Francisca.
Pour la première, je suis assez sceptique, tout comme Yves. Et l’exemple qu’il cite de Pétain est un bon contrexemple.
Réponse à Jean-François SAINT-BASTIEN
Quel plaisir de voir que tu connais le Festival de Saint Michel en Thiérache. Je fais partie de l’association qui s’occupe de celui ci. A Saint Michel nous avions déjà eu la chance de recevoir Philippe Jarouski, et cette année nous avons passé un pur moment de bonheur lors de son concert et de simplicité lors des dédicasses, nous espérons le revoir bientôt. A tous les mélomanes et amateurs de musique baroque, je donne rendez vous à ce festival qui a lieu en juin juillet pendant 5 dimanches. Nous fétons en 2011, le 25 ème anniversaire de ce festival. A tous ceux qui ne connaissent pas notre abbaye, sachez que l’acoustique de ce lieu est extraordinaire. Je n’en dirais pas plus car vous pourriez penser que je prie pour ma paroisse. Alors, je vous mets au défit de vous voir en 2011!!!
Marijo
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Si il y a un Paradis Philippe Jarourssky est un de ces anges, après avoir écouté et regardé l’émission sur ARTE du 26 12 2010. Je donnerai tout pour un garçon comme lui, devenir son homme de compagnie ou de services son maître d’ hôtel son cuisinier serai un Honneur. Olivier Max
Si il y a un Paradis, Philippe Jaroussky, vous êtes un des ces anges. Je donnerai n’importe quoi pour être votre Maître d’ Hôtel votre Cuisinier votre votre blanchisseur, enfin bref, vous bichonner. Olivier
Le peu que j’ai vu de ce blu ray m’a tiré les larmes des yeux : c’est du TRES GRAND ART !
ça existe aussi en DVD.
Trois heures de concert ! Sublime ! :wub:
(c’était l’anniversaire de Joëlle hier !)