Hier soir, Jean-Pierre Bolard donnait un très beau concert consacré aux chansons de Pierre Louki. Il était accompagné de Pascal Michel et de Philippe Henckel, ses deux talentueux musiciens.
Lors de la première partie de ce concert, les deux accompagnateurs de Jean-Pierre ont d’abord chanté chacun quelques chansons, Pascal dans le répertoire de Brassens et Philippe chantant ses propres compositions.
Et j’ai eu l’honneur de faire également partie de cette première partie. J’ai interprété quatre chansons de Georges Brassens : « La ballade des gens qui sont nés quelque part », « le vieux Léon », « Les amours d’antan » et « Les trompettes de la renommée ».
Et je me réveille ce matin sans avoir la moindre idée de ce que je vais proposer au programme de ce petit dimanche musical qui est maintenant bien ancré dans les habitudes de ce blog.
Et comme l’inspiration ne vient pas (dur dur parfois, les dimanches matins !), je me suis dit que ces quatre chansons, interprétées par Brassens lui-même, pourquoi pas … (attention la qualité technique de ces documents d’archive n’est pas forcément au rendez-vous).
Bon dimanche à tous !
Franchement Bernard, tu exagères ! :angry:
Ce sont bien ces quatres chansons qu’on voulait écouter, mais interprétées par … Dupdup !
Benard, pourrais-tu nous dire où en sont les travaux de l’Impasse Florimont où habitait Jeanne, qui a hébergé Georges ?
On m’a dit qu’on allait pas mal transtormer le quartier !!! Vrai ou faux ?
En me relisant je constate que mon clavier « saute » des lettres (piles HS ?) et que Bernard devient Benard… Mille excuses !
« Mille excuses » écrit Emilien …
Ce « mille » sans « s » peut choquer et pourtant, Emilien a raison de l’écrire ainsi.
Il a fallu que je me replonge dans l’accord de vingt, cent …, pour l’expliquer à d’autres. Un peu compliqué quand même !
On apprend ce genre de truc en primaire ? Au collège ?
Je n’avais plus aucun souvenir de tout ça et même plus le souvenir de l’avoir appris un jour !!! :blush:
Il faut dire que depuis ce temps, j’ai tant appris de choses que mon cerveau doit bien être obligé d’en évacuer, comme Gaston Lagaffe qui trie le courrier en poussant d’un cran la première pile (autre genre de pile que celle dont parle Emilien) de courrier, ce qui repousse la seconde et ainsi de suite jusqu’à la dernière pile qui sort ainsi de son bureau et tombe dans la poubelle, placée évidemment à bon escient juste au-dessous. :biggrin:
Emilien, je ne sais rien sur les travaux dont tu parles.
Mais en faisant une recherche sur le net, j’ai découvert que Pierre Nicolas (le contrebassiste de Brassens) était né dans cette même impasse. Etonnant hasard, non ?
Cette impasse a accueilli Brassens jusqu’en 1966 (date à laquelle « la Jeanne » s’est remariée).
Tiens Brassens chanté en arabe … J’ai trouvé ça pas mal !!