Dans les tiroirs à Dupdup (1)

Il y a eu pas mal de discussions sur ce blog à propos de la « charade à tiroirs » qui est un type de charade très particulier. Et l’avis qui a été exprimé par certains d’entre vous, c’est qu’il est quasiment impossible d’en trouver la solution tellement ce type de charade est tarabiscoté.
Donc, quitte à faire, autant donner la solution dès le problème énoncé.
Ce que je fais illico après une première charade sortie tout droit des circonvolutions du cerveau à Dupdup.
Allez, je me lance ?

Mon premier est aux sports d’hiver
Mon deuxième aura du mal à se relever
Mon troisième finit de bronzer
Mon quatrième mange trop gras
Mon cinquième habite en Suisse au grand désespoir de Paul
Mon sixième mit fin à ses grimaces
Mon tout se prend pour un Tout.

La réponse est « Nicolas Sarkozy ».
Ce « tout », vous l’aviez évidemment trouvé tout seul.
Mais comment y arriver ? ça, c’est une autre paire de manches !

Je vous donne donc le cheminement :

Ni, car fait du« ski z’au frais, Ni » (schizophrénie)
Co, car « Co, loque à terre » (colocataire)
La, « car La Brunit » (Carla Bruni)
Sar, car « Sar dîne à l’huile » (sardine à l’huile)
Co, car « Co habite à Sion, Paul y tique » (cohabitation politique)
Zy, car « Zy gomma tics » (zygomatiques)

Faut vraiment avoir l’esprit tordu, non ?

Allez, si vous aussi ça vous tente, faites tourner vos méninges, ce blog vous est ouvert … !

30 réflexions au sujet de “Dans les tiroirs à Dupdup (1)”

  1. Petite précision quand même : comme j’ai fait une charade à tiroirs de ce type (dans un précédent commentaire) avec le nom de Ségolène Royal, ce présent article n’a pour but que de rééquilibrer politiquement les choses ! :tongue:

  2. Moi, j’aime bien le coup de la sardine à l’huile !
    On constatera tous que les circonvolutions du cerveau de Dupdup sont drôlement productives, et en plus, la production est de qualité ! :smile:

  3. Bon Je fais un essai de charade à tiroirs, mais ça n’est pas évident :

    Mon premier est bien attaché
    Mon deuxième pour une culture thaïlandaise mais sans filles
    Mon troisième boisson au goût de mon deuxième
    Mon quatrième un ami Belge confiant
    Mon cinquième bruit pas à kilo
    Mon sixième entre intelligent
    Mon tout , il nous arrive souvent de le faire sur ce blog … Moi le premier .

    Réponse : Sangloter sur son sort !!!

    1:Sangle : car  » sangle y est « ( sanglier)
    2:eau : car « eau , riz , fils » ( orifice )
    3:thé : car « thé au riz » ( théorie )
    4:sûr: car « Luc sûr « ( luxure )
    5:son : car « son à gramme » ( sonagramme)
    6:Sort : car « sort bête « ( sorbet )

  4. Bon ben à mon tour de m’y coller puisque Brind’paille a l’air de dormir. :sleeping:
    Faut bien une réprésentante du sexe féminin !
    Voici la charade :
    Mon premier donne un soufflet
    Mon deuxième est un esclave de Tilien
    Mon troisième sait toujours ce qu’il faut faire en verlan
    Mon quatrième enfanta
    Mon cinquième n’est pas comme tout le monde
    Mon tout est un peuple disparu.
    Voici la réponse :
    Mon premier est a car a bat joue (abajoue)
    Mon deuxième est la car la sert tilien (lacertilien)
    Mon troisième est ka car kayak (y’a qu’à en verlan)
    Mon quatrième est lu car lu mit naissance (luminescence)
    Mon cinquième est f car f est spécial (effet spécial)
    Mon tout est Alakaluf.

  5. Et pour ceux qui voudraient lire la relation de l’expédition « Le rêve de Darwin » dans cette région du monde terriblement inhospitalière, ou vivaient les Alakalufs …
    http://partnerpage.google.com/dell.com/fr_fr?hl=fr&client=dell-row&channel=fr&ibd=4081211
    Extrait d’un commentaire de François, un des alpinistes : »La Terre de Feu s’est chargée de nous rappeler ses règles implacables, utilisant l’ensemble de son arsenal météorologique, sur mer, sur terre, et dans les airs. »

  6. Un classique tout de même…

    Mon premier est la raison pour laquelle les jeunes filles se font dépuceler très tôt dans les pays miniers.
    Mon deuxième décrit deux animaux hématophages.
    Mon troisième est la réplique du jardinier face aux injures de ses outils. Mon tout est une pièce de musique romantique.

    réponse: Le concerto en sol mineur de Beethoven Allegretto Moderato explication:
    1- Le con sert tôt en sol mineur
    2- Deux bêtes aux veines
    3- Ah, les gros mots des râteaux !

  7. Ça doit être la vérité musicale :
    La première partie est un allegro moderato en sol majeur… J’ai bon ?

  8. Allez zeg, une sans tiroir, une fois.

    Charade congolaise.

    Mon premier est un système d’éclairage.
    Mon deuxième, une technique décorative artisanale.
    Mon troisième, un gaz très inflammable.
    Mon tout est une grande vérité historique.

    1, Lampe à néon
    2, émaux
    3, acétylène

    A lire à haute voix avec un pseudo accent congolais… :blush:

  9. Je la connaissais en encore mieux (m’en veux pas Luc ! :ermm: )

    Mon premier est un système d’éclairage
    Mon deuxième est un ustensile de cuisine
    Mon troisième est le port d’où Saint Louis partit en croisade
    Mon quatrième est un gaz très inflammable
    Mon tout est une grande vérité historique.

    1- lampe au néon
    2- pelle à tarte
    3- Aigues-Mortes
    4- acétylène

    Mais ce n’est pas une charade à tiroirs.

  10. Ce sont mes préférées : je préfère de loin les à peu-près aux calembours, n’en déplaise aux excellentes performances de mes blogueurs préférés !

    Une charade alsacienne pour illustrer le tout :
    Mon premier est un gros serpent
    Mon deuxième se trouve sur le toit
    Mon tout se trouve au garage

    1. Python
    2. Tuile
    Un python tuile (à prononcer sans l’accent congolais durement acquis !)

  11. Alors ça ! Je n’en sais rien, mais après tout, c’est sans doute bien que les choses reconnaissables entre toutes n’en portent pas. Elles se désignent elles-même.
    Et c’est agréable, lorsqu’on joue avec le mots, qu’ils nous échappent !

    C’est à l’opposé de l’analyse, de la philosophie (que je respecte), pour lesquelles on doit charcuter le sens et finalement découvrir des abîmes d’inconnues, desquels surgiront des montagnes de questions et de thèses, où le sens peut échapper. Dans l’à peu près, seul l’immédiat compte, sans plus d’explication. Très bête, mais reposant.

    Cela me rappelle un débat qui court entre les lignes, ici et ailleurs, et montre à quel point les mots peuvent être travestis, dévoyés, dénaturés, alors même qu’on a fourni des efforts énormes pour leur trouver une justesse… inopérante.
    La croissance négative, vous vous rappelez ?!
    Les nouveaux mots, les nouvelles expressions, remplacent et surtout cachent des mots simples qui feraient peur si on devait encore les prononcer : c’est le but de leurs hypocrites remplaçants.
    Dans l’à peu-près, pas d’hypocrisie, mais un remplacement évident, un simple jeu immédiat.
    Et aucune intelligence vraiment reconnue… ce qui est rassurant à l’examen de l’intelligence reconnue !

  12. Bon, tant pis, je l’ai déjà dit sur ce blog et je vais me répéter (c’est un peu l’âge qui veut ça) mais ça me fait toujours autant rire :

    « Beethoven était tellement sourd que toute sa vie il a cru qu’il faisait de la peinture ». :smile:

  13. Encore un truc qui me fait rire.

    L’histoire se passe lors d’un concert de musique classique.
    – Dis, le troisième type au fond avec un violon, ça serait pas Mozart par hasard ?
    – Ah ben non, Mozart il est mort y’a plus de 200 ans !

    Puis dix minutes plus tard :
    – P’têt’ qu’il est mort mais je t’assure : je l’ai vu bouger !
    :silly:

  14. Beethoven et Bach dans un bar .
    Le barman :
    – qu’allez-vous boire messieurs ?
    Bach :
    – Un whisky , un baby s’il vous plaît .
    Le barman en parlant fort à Beethoven :
    – Et vous monsieur ?
    Beethoven :
    – Moi …. Ben … comme Bach , un baby comme Bach !!!

    Et voilà comment fût créée cette célèbre chanson :
    « Come back , baby come back ….  »
    http://www.youtube.com/watch?v=_IGn0C-fk6Y&feature=related

  15. Une femme noire se fait examiner par le médecin; elle a plein de boutons et se demande si ce n’est pas dû à l’assiduité de son mari.
    Le docteur : impétigo
    la dame : oh non, docte’, c’est un un g’and maig’ ….

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