Simple usure ? Prédation ? Intempéries ? Amours turbulentes ? …
Nos petites bêtes ailées ont parfois du mal à terminer la saison et il ne reste parfois plus grand chose de leurs beaux habits de printemps.
18 réflexions au sujet de “Papillon déchenillé”
Chacun ses inconvénients …
Pour certains ce sont les rides, pour d’autres, des bouts d’ailes déchirés, …
Mais c’est aussi peut-être un Tabac d’Espagne qui a voulu se déguiser en Robert-le -diable ?
Un Tabac d’Espagne déguisé en Robert-le-diable ?
Tu vois Robert, tu fais un tabac ! :silly:
Belle, cette idée selon laquelle les rides seraient des ailes déchirées.
Le papillon n’en continue pas moins de voler, j’espère…
Vous avez dit tabac. Tiens, je vais m’en rouler une.
Excellent l’association « papillon » et « déchenillé ».
Même les papillons sortent en guenilles , quelle époque !!!!
Alors les pros … tabac d’Espagne ou Robert-le-diable ce papillon aux ailes déchiquetées ?
Oh, moi dans un effort de conciliation, je pencherais pour le Tabac-du-diable, voire pour le Robert d’Espagne, si vous préférez.
On ne va quand même pas s’étriper pour une aile déchirée de papillon, non ?
Tabac d’Espagne , ce papillon pont au voisinage des violettes ses chenilles vivent à proximité de ces plantes jusqu’à la mue en chrysalide .
C’était trop facile, un papillon beau comme un bar-tabac …
Un bar- tabac …PMU ( Papillon Méchamment Usé )
ou les ravages du tabac… :cwy:
Tiens, « les ravages du tabac », ça aurait été aussi un bon titre pour mon article.
Ce qu’il y a de bien avec le tabac, c’est qu’il sert de bonne conscience absolue (et pas chère) à un bon paquet de non-fumeurs. En bavant sur le vice des autres, ils s’exonèrent d’en avoir, eux, des vices). Un exemple contemporain où le contentement de soi conduit non seulement à l’exclusion de l’autre mais plus encore à la mauvaise conscience de soi.
Oui, le tabac ravage beaucoup de non-fumeurs.
Pas tous, j’en connais de tolérants qui ont aussi, pour leur compte tiré un trait sur l’égotisme triomphant.
Il est aujourd’hui, parmi d’autres, un sujet d’exercice pratique de la tolérance : celui de la relation entre ceux qui fument et les autres.
Une tolérance réciproque évidemment.
OK, Bernard ! Je vais lire, un jour prochain de temps mauvais, l’article et ses commentaires.
Question de priorité : déjà profiter de ces merveilleuses journées de printemps automnal.
Ensuite, je te dirai ce que rétrospectivement ce dé(ta)bat m’inspire.
Une petite blague avec le mot » Tabac » et c’est partie !!
Faudrait-il changer le nom de ce papillon ou même l’interdire dans les jardins publics ?
Chacun ses inconvénients …
Pour certains ce sont les rides, pour d’autres, des bouts d’ailes déchirés, …
Mais c’est aussi peut-être un Tabac d’Espagne qui a voulu se déguiser en Robert-le -diable ?
Un Tabac d’Espagne déguisé en Robert-le-diable ?
Tu vois Robert, tu fais un tabac ! :silly:
J’ai d’ailleurs, par le passé, consacré un article à chacun de ces papillons :
http://www.leblogadupdup.org/2006/07/21/accroc-au-tabac-despagne/
http://www.leblogadupdup.org/2007/08/17/robert-le-diable/
Belle, cette idée selon laquelle les rides seraient des ailes déchirées.
Le papillon n’en continue pas moins de voler, j’espère…
Vous avez dit tabac. Tiens, je vais m’en rouler une.
Excellent l’association « papillon » et « déchenillé ».
Même les papillons sortent en guenilles , quelle époque !!!!
Alors les pros … tabac d’Espagne ou Robert-le-diable ce papillon aux ailes déchiquetées ?
Oh, moi dans un effort de conciliation, je pencherais pour le Tabac-du-diable, voire pour le Robert d’Espagne, si vous préférez.
On ne va quand même pas s’étriper pour une aile déchirée de papillon, non ?
Tabac d’Espagne , ce papillon pont au voisinage des violettes ses chenilles vivent à proximité de ces plantes jusqu’à la mue en chrysalide .
C’était trop facile, un papillon beau comme un bar-tabac …
Un bar- tabac …PMU ( Papillon Méchamment Usé )
ou les ravages du tabac… :cwy:
Tiens, « les ravages du tabac », ça aurait été aussi un bon titre pour mon article.
Ce qu’il y a de bien avec le tabac, c’est qu’il sert de bonne conscience absolue (et pas chère) à un bon paquet de non-fumeurs. En bavant sur le vice des autres, ils s’exonèrent d’en avoir, eux, des vices). Un exemple contemporain où le contentement de soi conduit non seulement à l’exclusion de l’autre mais plus encore à la mauvaise conscience de soi.
Oui, le tabac ravage beaucoup de non-fumeurs.
Pas tous, j’en connais de tolérants qui ont aussi, pour leur compte tiré un trait sur l’égotisme triomphant.
Il est aujourd’hui, parmi d’autres, un sujet d’exercice pratique de la tolérance : celui de la relation entre ceux qui fument et les autres.
Une tolérance réciproque évidemment.
Tiens Robert, ça me fait penser que j’avais écrit un article sur le sujet :
http://www.leblogadupdup.org/2008/01/04/une-loi-un-peu-fumeuse/
Et cet article avait suscité plus d’une centaine de commentaires.
OK, Bernard ! Je vais lire, un jour prochain de temps mauvais, l’article et ses commentaires.
Question de priorité : déjà profiter de ces merveilleuses journées de printemps automnal.
Ensuite, je te dirai ce que rétrospectivement ce dé(ta)bat m’inspire.
Une petite blague avec le mot » Tabac » et c’est partie !!
Faudrait-il changer le nom de ce papillon ou même l’interdire dans les jardins publics ?
Cher Yves, tout est prétexte !