Rencontre entre James Brown, le monstre de la musique soul, et Luciano Pavarotti, monstre de l’opéra. Ouah, que c’est beau !
8 réflexions au sujet de “Rencontres musicales au sommet (3)”
Combien de kilos à eux deux ?
La fonction crée l’organe…
Cette phrase me vient à l’esprit en visionnant ce duo. L’organe c’est ce qu’on dit de la voix en sens second ; la fonction, c’est celle qui réunit ces deux monstres sacrés.
Evidemment, ils sont balèzes. Evidemment, il manque le punch de leurs vertes années. Mais ils maîtrisent totalement le sujet.
Ça fait tout de même drôle de voir à quel point ces deux corps voués à l’extrême à leur art ont pu être mis à contribution. Pour avoir traîné au festival de Marciac et entendu parler par les locaux du passage sulfureux de James Brown, pour voir la colonne d’air du fameux ténor posée sur un tabouret, difficile de ne pas voir les moumoutes, les fausses dents et d’imaginer les lignes de Coke, la vie folle des stars à qui tous les caprices sont possible.
Je ne peux m’empêcher de regretter, outre leur disparition, la folie de leurs vies désormais passées, mais une folie sans laquelle sûrement aucune expression n’aurait pu se produire.
Je me demande si l’entourage des artistes, désinhibé, n’est pas plus nocif que les substances consommées.
A Marciac, il a fallu aller chercher James Brown dans une Cadillac rose, accepter que tous le personnel se cache derrière un panneau devant Nina Simone… et quand Stan Getz a joué, il a fallu que plus aucune note de musique ne soit jouée dans ce trou qu’est Marciac tant que la bête n’avait pas quitté le sol français. J’étais par là et je peux vous dire qu’un paquet de musiciens avait de sacrés trucs à proposer !
L’image de ces deux corps malades m’interroge donc bizarrement, et ils savent pourtant tous deux diffuser une puissance et une profondeur hors du commun. Paix à leurs âmes… mais surtout à leurs corps !
Nina Simone, c’était le Whisky, James Brown la Coke et ses dérivées, Stan Getz l’orgueil ?!
Vous ne me croirez sans doute pas : j’ai placé mes commentaires sans lire l’article précédent sur les excès du ténor.
Je découvre donc que je suis tombé à plat et surtout que Bernard connaît tous les cancans du Web !
Pauvres stars… je retourne au blog voir les articles que je n’avais pas lu histoire de voir si je fais à nouveau un flop.
Au fait, j’ai vu l’article sur les bandits de grand chemin : ça ne m’a pas réconforté sur l’avenir du monde. Bravo à Bernard pour l’intelligence de sa réaction, je pense que toute autre solution était mauvaise.
Et je suis surtout content de vous savoir tous saufs.
Vous remarquerez au passage que finalement, je me permets de réagir où et quand je veux sur les articles de ce blog.
Et je me réserve en plus la possibilité de n’être point pertinent. Ouah ! Quelle puissance on peut trouver sur Internet ! Et je ne parle pas de débit, là-dessus, Vincent est plus fort que moi.
Allez, bonne rentrée à tous.
Si j’ai bien compris, heureusement Christophe que tu n’avais pas lu l’autre article avant, car nous n’aurions peut-être pas eu droit à ton commentaire et cela aurait été vraiment dommage !
Pavarotti/Brown… ou la rencontre improbable d’un semi-remorque et d’une Harley Davidson !
On me donnerait à choisir entre les sourcils teintés/taillés de Pavarotti et la coiffure « mise-en-pliée » de Brown, j’avoue que j’aurais du mal à choisir !
Combien de kilos à eux deux ?
La fonction crée l’organe…
Cette phrase me vient à l’esprit en visionnant ce duo. L’organe c’est ce qu’on dit de la voix en sens second ; la fonction, c’est celle qui réunit ces deux monstres sacrés.
Evidemment, ils sont balèzes. Evidemment, il manque le punch de leurs vertes années. Mais ils maîtrisent totalement le sujet.
Ça fait tout de même drôle de voir à quel point ces deux corps voués à l’extrême à leur art ont pu être mis à contribution. Pour avoir traîné au festival de Marciac et entendu parler par les locaux du passage sulfureux de James Brown, pour voir la colonne d’air du fameux ténor posée sur un tabouret, difficile de ne pas voir les moumoutes, les fausses dents et d’imaginer les lignes de Coke, la vie folle des stars à qui tous les caprices sont possible.
Je ne peux m’empêcher de regretter, outre leur disparition, la folie de leurs vies désormais passées, mais une folie sans laquelle sûrement aucune expression n’aurait pu se produire.
Je me demande si l’entourage des artistes, désinhibé, n’est pas plus nocif que les substances consommées.
A Marciac, il a fallu aller chercher James Brown dans une Cadillac rose, accepter que tous le personnel se cache derrière un panneau devant Nina Simone… et quand Stan Getz a joué, il a fallu que plus aucune note de musique ne soit jouée dans ce trou qu’est Marciac tant que la bête n’avait pas quitté le sol français. J’étais par là et je peux vous dire qu’un paquet de musiciens avait de sacrés trucs à proposer !
L’image de ces deux corps malades m’interroge donc bizarrement, et ils savent pourtant tous deux diffuser une puissance et une profondeur hors du commun. Paix à leurs âmes… mais surtout à leurs corps !
Nina Simone, c’était le Whisky, James Brown la Coke et ses dérivées, Stan Getz l’orgueil ?!
Vous ne me croirez sans doute pas : j’ai placé mes commentaires sans lire l’article précédent sur les excès du ténor.
Je découvre donc que je suis tombé à plat et surtout que Bernard connaît tous les cancans du Web !
Pauvres stars… je retourne au blog voir les articles que je n’avais pas lu histoire de voir si je fais à nouveau un flop.
Au fait, j’ai vu l’article sur les bandits de grand chemin : ça ne m’a pas réconforté sur l’avenir du monde. Bravo à Bernard pour l’intelligence de sa réaction, je pense que toute autre solution était mauvaise.
Et je suis surtout content de vous savoir tous saufs.
Vous remarquerez au passage que finalement, je me permets de réagir où et quand je veux sur les articles de ce blog.
Et je me réserve en plus la possibilité de n’être point pertinent. Ouah ! Quelle puissance on peut trouver sur Internet ! Et je ne parle pas de débit, là-dessus, Vincent est plus fort que moi.
Allez, bonne rentrée à tous.
Si j’ai bien compris, heureusement Christophe que tu n’avais pas lu l’autre article avant, car nous n’aurions peut-être pas eu droit à ton commentaire et cela aurait été vraiment dommage !
Pavarotti/Brown… ou la rencontre improbable d’un semi-remorque et d’une Harley Davidson !
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-953295@51-951729,0.html
On me donnerait à choisir entre les sourcils teintés/taillés de Pavarotti et la coiffure « mise-en-pliée » de Brown, j’avoue que j’aurais du mal à choisir !